Les cancers de l'enfant sont plus fréquents chez les garçons que chez les filles. Ces cancers sont rarement héréditaires. Les cancers qui surviennent chez les adolescents, entre 15 et 19 ans, sont essentiellement des maladies du sang (lymphomes, leucémies), des cancers de la thyroïde et des cancers des os.
Ainsi, chez l'adolescent, les cancers les plus fréquents sont : les lymphomes (27 % dont 75 % des maladies de Hodgkin) ; les tumeurs cérébrales (17 %) ; les leucémies (14 %, dont 63 % de leucémies aiguës lymphoblastiques).
Les cancers les plus fréquents rencontrés à cet âge sont le cancer de la thyroïde, le cancer du testicule, le mélanome, le lymphome de Hodgkin, les lymphomes non hodgkiniens, les leucémies, les tumeurs cérébrales et les sarcomes.
Environ 10% des cas de cancer du sein se manifestent chez les femmes âgées de moins de 35 ans et près de 20% avant 50 ans. Le cancer du sein se développe le plus souvent autour de 60 ans. Près de 50% des cancers du sein sont diagnostiqués entre 50 et 69 ans et environ 28% sont diagnostiqués après 69 ans.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Le stress peut être à l'origine de comportements individuels qui contribuent à l'augmentation du risque de cancer : alimentation défavorable à la santé, consommation de tabac, d'alcool, etc.
Les biomarqueurs sanguins
La présence de marqueurs sanguins particuliers peut être recherchée. Il s'agit en général de protéines produites de manière anormalement élevéepar les cellules cancéreuses. Leur présence est simplement un indice pour le diagnostic, car elle peut également signer des pathologies non malignes.
Le cancer responsable du plus grand nombre de décès par cancer chez l'homme reste le cancer du poumon (23 000). Viennent ensuite les cancers colorectal et de la prostate (respectivement 9 000 et 8 000).
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Les cancers les plus fréquents chez l'homme sont les cancers de la prostate (59 885 nouveaux cas en 2023), puis ceux du poumon (33 438 cas) et le cancer colorectal (26 212 cas).
La probabilité pour un individu d'avoir un cancer au cours de sa vie est actuellement évaluée, sur la base de l'incidence 1988-1992, à 46,9 % pour les hommes (soit près d'un homme sur 2), et 36,6 % pour les femmes (soit plus d'une femme sur 3) (Ménégoz et Chérié-Challine, 1998).
Ainsi, pour les cancers de pronostic favorable 5 ans après le diagnostic, on observe à 20 ans une survie nette relativement stable quel que soit l'âge. C'est le cas des cancers du testicule (survie nette à 20 ans supérieure à 90 %), des mélanomes cutanés (> 80 %) et des cancers du sein (> 63 %).
Faits saillants. Le cancer de la prostate représente le plus grand nombre de nouveaux cas de cancer diagnostiqués. Toutefois, comparativement aux cancers du poumon, du côlon et du rectum et du sein, il cause le plus petit nombre de décès.
Taux de survie supérieur à 80 % : Cancer du sein, de la prostate, de la thyroïde, des testicules, des lèvres, mélanome, leucémie lymphoïde chronique et maladie de Hodgkin : ces huit localisations ont des taux de survie après cinq ans supérieurs ou égaux à 80 %.
le cancer du foie (830 000 décès) ; le cancer de l'estomac (769 000 décès) ; et. le cancer du sein (685 000 décès).
Les cancers rares que nous pouvons évoquer sont par exemple les sarcomes des tissus mous, de nombreux cancers pédiatriques et également certains cancers de l'ovaire.
Ainsi "la dépression est la cause prédominante de maladie chez les jeunes âgés de 10 à 19 ans", indique l'OMS (Organisation mondiale de la santé) dans un récent rapport dédié aux problèmes de santé affectant les adolescents.
Le cancer colorectal, un cancer silencieux
Bien souvent, le cancer colorectal se développe de manière silencieuse, sans symptôme. C'est principalement le cas des cancers localisés au niveau du côlon droit et transverse.
Quels sont les cancers foudroyants ? Bien que n'importe quel cancer puisse être particulièrement agressif, ceux qui sont de plus mauvais pronostic en raison de leur caractère foudroyant sont : les cancers des voies biliaires ; les cancers du pancréas.
Un cancer du poumon ou de la prostate peuvent provoquer des douleurs nociceptives au niveau du dos en cas de métastases vertébrales. La tumeur peut siéger au niveau d'un nerf. Elle occasionne des douleurs neuropathiques.
La recherche scientifique a démontré que l'embonpoint et l'obésité augmentent le risque de cancer. Essayez d'éviter les sucres ajoutés et dégustez, avec modération, des aliments contenant des sucres naturels. Ceci étant dit, voici une liste de conseils pour réduire la quantité de sucres ajoutés dans votre alimentation.
Typiquement le cancer du poumon, du pancréas ou encore du foie.
Il est recommandé de ne pas fumer, de modérer sa consommation d'alcool, d'avoir une alimentation diversifiée et équilibrée, de surveiller son poids, de pratiquer une activité physique régulière et d'éviter l'exposition aux rayonnements UV.
La prise de sang est l'une des voies conseillées pour éventuellement détecter la présence de cancer. En effet, un test sanguin permet d'obtenir des résultats sur une présence de tumeur chez les personnes qui manifestent différents symptômes de cancer.
Dans certains cas, une boule au niveau d'un ou des deux seins peut aussi être le symptôme d'un cancer. Il s'agit alors généralement d'une grosseur indolore, ferme, aux contours irréguliers et adhérente.
Dans la lutte contre le cancer, la détection de la maladie à un stade précoce est essentielle. Le diagnostic s'appuie aujourd'hui sur une série d'examens comprenant les tests d'imagerie, l'analyse anatomopathologique des tissus avec les microscopes, et le dosage de certains marqueurs tumoraux dans le sang.