Selon les mythes funéraires des Anciens Égyptiens, l'au-delà est le lieu où séjournent les dieux, les bienheureux et les damnés. Domaine d'Osiris, ce monde supranaturel est à la fois souterrain, terrestre et céleste.
Les Egyptiens considéraient que la mort était un passage vers l'au-delà. Cette conception découle du mythe d'Osiris, présent dans leur religion. L'embaumement, le Livre des Morts et la croyance dans le jugement de l'âme traduisent ces croyances dans la vie quotidienne.
Dans l'Égypte antique le dieu de la mort était Anubis, le dieu à tête de chacal. En plus de sa fonction de patron des embaumeurs, ce dernier était le gardien de la balance. Le rituel de la balance était le rituel de jugement de l'âme des défunts pour déterminer leur sort dans l'au-delà.
Dans l'Antiquité selon les croyances des Égyptiens, le jugement du mort par Osiris est l'étape indispensable entre la vie terrestre et la vie éternelle. Sa représentation figure sur de nombreux papyrus qui étaient placés dans le sarcophage où se trouvait la momie.
Le rite principal des Égyptiens était la momification : Ils commencent par enlever le cerveau du défunt, puis nettoient l'abdomen et le vide, pour le remplir par la suite de toutes les substances aromatiques connues à l'époque, à part l'encens, ils recousent finalement l'abdomen.
Selon les Egyptiens, pour que l'âme d'un homme accède à la vie éternelle après sa mort, il fallait conserver sa dépouille. C'est pourquoi les cadavres étaient momifiés.
Pour les hommes, des vêtements normaux feront l'affaire, des pantalons, des chemises, des T-shirts. Les shorts aussi peuvent très bien aller, mais cela dépend des lieux, car par exemple dans la capitale, les shorts ne sont pas très appréciés. De même que dans les restaurants ou bien au marché.
Au Moyen-Âge, on attribue également à Saint-Michel le rôle de juge des âmes. Muni d'une balance, il pèse les bonnes et les mauvaises actions des défunts, pour déterminer si leur place est au paradis ou en enfer.
Dieu de la Mort. Dans la mythologie grecque, Thanatos (en grec ancien Θάνατος / Thánatos) est la personnification de la Mort.
Le cerveau est le siège de l'âme, qui agit par l'intermédiaire des nerfs ; la poitrine est le siège des parties vitales et le ventre celui des parties naturelles.
« Les cinq noms de l'âme, sont, dans un ordre ascendant : la nêfesh (esprit), le ru'ah (souffle, anima), la neshamah (âme, spiritus), la hayyah (vie), et la yehidah (union).
Râ, le dieu solaire
Râ occupe la place la plus élevée du panthéon égyptien. Dieu du disque solaire, il était également considéré comme le créateur de l'Univers. Il est souvent nommé Horus et est représenté avec une tête de faucon.
Le mastaba est un édifice funéraire égyptien servant de sépulture aux rois des deux premières dynasties, ainsi qu'aux hauts dignitaires, de l'époque archaïque au Moyen Empire.
Les anciens Égyptiens croyaient que les principes fondamentaux de la vie, de la nature et de la société furent déterminés par les dieux lors de la création du monde.
Mais lorsqu'on l'a découverte en 1817, son corps momifié avait disparu. Au cœur de la vallée des Rois, derrière l'une des portes qui masquaient autrefois les entrées des sépultures royales se trouve une structure baptisée KV17 (King's Valley 17).
C'est un lieu souterrain où règnent le dieu Hadès et sa femme Perséphone.
Dans le désert de Karakoum, au Turkménistan, se cache un cratère géant qui brûle depuis 1971 sans interruption. L'endroit est devenu un incontournable pour les touristes. Surnommé les "portes de l'Enfer", un cratère géant crache du feu depuis quarante ans.
La Porte de l'Enfer est située au milieu du désert du Karakoum, à 260 km au nord d'Achgabat. C'est un champ de gaz naturel situé à Derweze (Darvaza, qui signifie "porte"), dans la province d'Ahal au Turkménistan.
Dans la mythologie égyptienne, Âmmout, « La dévoreuse des morts », est la déesse qui, lors de la pesée du cœur, dévore les âmes des humains jugés indignes de continuer à vivre dans l'au-delà. Elle est représentée avec un corps d'hippopotame, une tête de crocodile et des pattes avant de lion.
L'autre symbole des passeurs d'âmes est leur forte sensibilité. En effet, ils sont capables de ressentir l'énergie dégagée par chaque personne qui les entoure. Ils sont hypersensibles aux sentiments et émotions des autres. Ils sont également empathiques et sont capables de ressentir les souffrances des autres.
Porter des vêtements trop courts. Comme dans tout pays, il est important de respecter les coutumes locales. Et cela passe aussi par les tenues vestimentaires. Par respect des traditions égyptiennes, il faut donc éviter de porter des vêtements trop courts et trop moulants.
Éviter l'ingestion d'aliments potentiellement à risque (c'est-à-dire tout ce qui est cru ou cuit mais consommé froid), de boissons à risque (eau locale, en bouteille non capsulée, lait froid), de glaçons, sorbets et crème glacée.
Les Egyptiens sont très affectueux et n'hésitent pas à se dire qu'ils s'aiment. Ils diront “ahebbik” à une femme tandis que pour s'adresser à un homme ils diront “ahebbak”.