Les épidémiologistes peuvent aussi être chargés d'étude, ingénieurs d'étude, chercheurs, dans des structures telles que les bureaux d'étude travaillant en épidémiologie, les caisses d'assurance maladie, les organismes de recherche du secteur public, les laboratoires universitaires et hospitalo-universitaires d' ...
Il peut être amené à expliquer le résultat de ses recherches auprès des décideurs politiques (ministère de la santé, Agence nationale de santé publique, collectivités territoriales...). L'épidémiologiste travaille le plus souvent au sein d'une équipe de recherche.
La formation en épidémiologie donne accès à une grande diversité d'emplois en recherche et en santé publique. Peu importe vos formations antérieures, l'épidémiologie vous permettra de travailler dans le domaine de la santé.
Ils surveillent les maladies et autres problèmes de santé publique et en rendent compte, conçoivent et évaluent des systèmes de surveillance de la santé publique afin de surveiller la progression des maladies, réalisent des analyses épidémiologiques et communiquent les constatations de santé publique à de nombreux ...
L'épidémiologie a pour objectif général la connaissance des problèmes de santé dans les populations et de leurs déterminants. Dans ce cadre, un des ses buts est l'étude de l'impact des facteurs comportementaux, professionnels et environnementaux sur la santé.
Classiquement, on divise l'épidémiologie en trois branches : l'épidémiologie descriptive, l'épidémiologie explicative (ou analytique ou étiologique) et l'épidémiologie évaluative (ou d'intervention).
De bac + 5 (diplôme d'ingénieur spécialisée en biologie, master en épidémiologie, en recherche clinique, en génie cellulaire, en santé publique...)
L'unité Master en épidémiologie cherche à contribuer à l'amélioration de la santé des populations en renforçant les capacités des étudiants, professionnels de santé et fondamentalistes en matière de description de l'importance d'un problème de santé, de recherche de ses déterminants et d'évaluation des interventions ou ...
L'épidémiologiste étudie les maladies à travers différentes données. Il peut, par exemple, s'agir du lieu, mais aussi de la population ou des facteurs de risque favorisant l'apparition de certaines pathologies.
Hippocrate, le père fondateur de l'épidémiologie
Dans son traité des airs, des eaux et des lieux publié au Vème siècle avant JC, ce médecin grec s'intéressait déjà au rôle des facteurs environnementaux dans les maladies.
La biostatistique est indispensable à la réalisation de ces missions. Cette finalité est destinée aux étudiants qui souhaitent travailler dans divers secteurs qui collectent, gèrent, utilisent des données de santé.
En tant que débutant, il peut espérer percevoir un salaire mensuel brut compris entre 1600€ et 3300€. Lorsqu'il obtient le statut cadre avec des années d'expériences à son actif, il peut espérer une rémunération entre 3700€ et 6600€ brute mensuelle.
Médecin, pharmacien, infirmière, aide-soignant, kiné... : le travail ne risque pas de manquer pour ces professionnels de la santé, et ce d'autant plus que la population continue de vieillir. Ils sont plus d'un million à exercer aujourd'hui dans le secteur du médical et du paramédical.
Étude des rapports entre une maladie et divers facteurs (mode de vie, particularités individuelles, exposition à un produit toxique,etc.) qui peuvent influer sur la fréquence ou l'évolution de cette maladie.
Le savant belge Adolphe Quetelet « est considéré comme le fondateur de la statistique moderne des populations, discipline-mère de l'épidémiologie, de la statistique, de l'économétrie…
Débouchés : Biostatisticiens, Biomathématiciens et des Bioinformaticiens pour les secteurs industriels ou académiques de la recherche en santé.
Au sens le plus général, l'utilité des études peut s'envisager au niveau individuel et recouvrir la notion de gain individuel, en termes de compétence professionnelle, de carrière, de profit, comme celles d'accomplissement personnel ou, plus simplement, de pleine intégration à la communauté (comme citoyen, comme ...
un master Analyse et politiques économiques (ou master économie) un master Humanités et sciences. un master Sciences cognitives.
Pour devenir économiste de la santé, il est indispensable d'acquérir des connaissances en gestion, mais également des connaissances techniques et législatives dans le secteur de la santé. Une formation qualitative de niveau Bac+5 est à suivre pour les étudiants qui souhaitent choisir ce parcours professionnel.
directement après le M2 de recherche : 3 années de doctorat suivies de 3 années de préparation au Diplôme de formation approfondie en sciences médicales (DFASM) avant l'internat ; ou au bout de 3 ans de DFASM à la fin de l'internat.
Pour devenir ARC (attaché de recherche clinique) et TEC (technicien d'étude clinique), il faut passer le DIU Farc (diplôme interuniversitaire de formation des assistants de recherche clinique), accessible aux titulaires d'un bac + 2 minimum dans les domaines biologie/santé.