Il habite l'astéroïde B 612, où il y a trois volcans, et où poussent des baobabs et une rose compliquée. Un matin, il quitte sa planète et visite quelques astéroïdes où il rencontre un roi, un vaniteux, un ivrogne, un businessman, un allumeur de réverbères et un géographe.
Jour après jour, le petit prince raconte son histoire au narrateur. Il vit sur une autre planète, appelée par les grandes personnes « l'astéroïde B 612 », « à peine plus grande qu'une maison ».
Les aventures du Petit Prince commencent sur son astéroïde, nommé astéroïde B612, où un jour pousse une rose. Le Petit Prince devient l'ami de cette rose fragile et belle. Il décide ensuite de visiter d'autres mondes, car il s'ennuyait sur sa petite planète.
Le Musée des Arts Décoratifs présente la première grande exposition muséale en France consacrée au Petit Prince, chef-d'œuvre intemporel de la littérature.
Sa planète est vaste, mais il ne sait pas s'il y a des fleuves ou des montages car « le géographe est trop important pour flâner ». Le géographe apparait comme quelqu'un qui a besoin du récit des autres pour connaître les choses, alors que pour le Petit Prince l'effort est nécessaire pour connaître les choses.
Le Petit Prince comprend qu'en apprivoisant, il arrive à faire sortir de la « masse » un être qui devient, pour lui, « unique au monde ». Par ces mots Saint-Exupéry veut nous faire comprendre que nos yeux seuls ne peuvent pas percevoir la singularité d'un individu, d'une chose.
La raison pour laquelle le Petit Prince voulait un mouton s'est révélée peu à peu car il a expliqué le problème des baobabs. Les bonnes graines de baobabs sont invisibles et dorment dans le secret. Seul un mouton est capable de les reconnaître et de les manger avant qu'elles ne poussent.
Le Petit Prince est un conte mélancolique. Le héros croise des personnages très tristes, et il est lui-même attristé car il ne voit plus sa rose. Quand il comprend qu'il aime sa rose, il est trop tard, il ne la reverra sans doute jamais. Le conte explique ainsi que l'amour se suit toujours d'une douloureuse séparation.
Il est le prince de sa planète, non ? De primus (« premier ») et capio (« prendre »), étymologiquement : « celui qui est le premier à prendre (l'initiative) » donc « celui qui décide ».
1° titre :le petit prince Auteur :Antoine de Saint-Exupéry Date de parution : 2° Ce livre est un conte merveilleux 3° l'action se situe en Afrique dans le désert du Sahara 4° Il y a 2 personnages principaux : le petit prince et l'aviateur - L'aviateur : c'et le narrateur de l'histoire.….
Celui-ci, guidé par le petit prince finit par découvrir un puits dans le désert : « Ce qui embellit le désert, dit le Petit Prince, c'est qu'il cache un puits quelque part. » Peu après, le petit prince explique au narrateur qu'il doit rentrer sur sa planète pour s'occuper de sa fleur dont il se sent désormais « ...
Le Petit Prince est une excellente option pour commencer à lire. Les enfants qui lisent dès leur plus jeune âge - entre 2 et 5 ans - ont tendance à mieux réussir sur le plan scolaire.
Après la guerre, Horst Rippert devient journaliste et reporter sportif à la deuxième chaîne de télévision allemande. Il est connu pour avoir déclaré, à la fin de sa vie (sans en apporter la preuve), avoir abattu le 31 juillet 1944 le pilote et écrivain Antoine de Saint-Exupéry.
Écrivain polygraphe
Collaborateur à la revue Monde, créée par Henri Barbusse, dès 1928, il en est le rédacteur en chef de 1931 à 1933. En 1931, il rencontre Saint-Exupéry : c'est le début d'une grande amitié. Ce dernier lui dédicacera Le Petit Prince, dédicace où il le qualifie de « meilleur ami que j'ai au monde ».
Gratuits le 1er dimanche de chaque mois, du 1er novembre au 31 mai inclus.
La Rose du « Petit Prince », longtemps ignorée, niée par les premiers biographes de Saint-Exupéry, c'est elle, Consuelo Suncin, sa femme, sa muse, née au pied d'un volcan du Salvador en 1901, morte en 1979 à Grasse.
Il renonce à son enveloppe corporelle qui n'est pas l'essentiel, mais son âme rentre chez lui. Ce n'est pas un suicide au sens propre du terme. Oui je le voyais comme Kilmeny, une sorte de renoncement du corps mais l'âme qui rejoint quelque chose de fabuleux, l'essentiel ...
Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c'est fatigant, pour les enfants, de toujours et toujours leur donner des explications ».
Dans le conte de 1943, traduit dans 318 langues, le petit garçon blond comme les blés, qui demande au narrateur de lui dessiner un mouton, meurt mordu par un serpent : « Il n'y eut rien qu'un éclair jaune près de sa cheville. Il demeura un instant immobile. Il ne cria pas.