Où acheter du gui. Le meilleur endroit pour trouver du gui sera chez votre fleuriste local.
Le gui (Viscum album) appartient à la famille des Santalacées. On le trouve en Europe, en Asie et en Afrique du nord où il s'installe sur certains arbres feuillus, rarement sur des conifères. Avec le houx, il appartient à la symbolique des fêtes de Noël et du nouvel an.
Le gui peut être gardé accroché partout dans la maison toute l'année. La tradition veut que le gui protège la maison d'être brûlée ou frappée par la foudre. Le gui doit être remplacé tout les ans pendant le solstice d'hiver quand de nouveaux fruits sont arrivés.
Le houx aime les espaces sombres. Ainsi, on le trouve souvent dans les forêts et dans les bois. Si ces environnements sont dotés d'un sol calcaire et/ou acide, vous aurez de grandes chances de tomber sur du houx. Le gui, quant à lui, ne pousse pas dans le sol puisqu'il n'a pas de racines.
C'est donc plus tard, au XVIIIe siècle, que les Anglais ont importé chez nous cette coutume de s'embrasser sous une boule de gui le 31 décembre à minuit, afin de se placer sous de bons auspices et que l'année soit propice.
Pour garder vos branches de gui encore plus longtemps, vous pouvez les conserver dans l'eau froide et les petites brindilles dans de frigo.
Il était alors d'usage d'accueillir les invités en les embrassant sous le gui pour leur porter chance, leur souhaiter de bonnes récoltes, la fécondité ou encore pour éloigner les mauvais esprits. Cette croyance a amené l'idée que s'embrasser sous du gui assurait pour l'année à venir prospérité et longue vie.
Pour le houx, c'est donc un bouquet de quelques branches, en évitant d'arracher salement les tiges de l'arbre. « C'est de la sensibilisation. Mais tout prélèvement intensif et trop volumineux peut faire l'objet d'une amende », prévient-on à l'ONF. La vente de houx sauvage est par ailleurs proscrite sur les marchés.
Le Gui est dispersé à plus ou moins longue distance par des oiseaux généralistes, Grive draine et Fauvette à tête noire essentiellement ; La fréquence des consommateurs. Quelques espèces d'oiseaux consomment et digèrent les graines de gui, ce qui va limiter sa propagation au sein d'une station.
Au Moyen Âge, l'usage voulait que l'on s'offre du gui en prononçant ce souhait « Au gui l'an neuf ». Dans le nord de l'Europe, il est d'usage de s'embrasser, à minuit, sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie.
Cette plante porte-bonheur, incontournable des fêtes de fin d'année, est symbole de fertilité, de bon augure et d'abondance. Le gui, ou Viscum Album, pousse en boules à la cime des pommiers, poiriers, noisetiers, robiniers, tilleuls, saules, peupliers, entre autres feuillus.
Couper les pieds de gui à ras
Il est important d'éliminer ce parasite dès les premières apparitions. Pour cela, couper le gui au ras de la branche, avec une serpe ou une serpette selon la taille de la touffe. Si les branches sont trop atteintes, mieux vaut les couper avec une scie d'élagage.
La tradition voulant que l'on s'embrasse sous le gui était courante en Gaule. On prêtait en effet des vertus médicinales et magiques à cette plante. Cette dernière était même parfois symbole d'immortalité, car ses feuilles étaient toujours vertes, même en plein hiver.
Comment planter son gui ? Le gui pousse en grande partie en Europe, mais il se rencontre aussi en Asie et en Afrique de nord. Il prend place sur l'écorce d'une branche avec l'aide des oiseaux en automne. La graine s'implante dans l'écorce et attend que la température grimpe au-dessus de 10°C pour se développer.
Cette tisane est aussi indiquée contre la toux, l'asthme et la diarrhée). – Macération à froid ou compresse au gui (15 à 30 g de rameaux et de feuilles de gui pour 200 ml d'eau. Recette : faites immerger les rameaux et les feuilles de gui dans l'eau, puis faites bouillir longuement.
Le gui est une plante qui parasite de nombreuses espèces d'arbres des régions tempérées, en particulier les pommiers et les peupliers. Lorsqu'il est très abondant, il affaiblit considérablement l'arbre-hôte et diminue la production de production de fruits.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Du temps des Gaulois, les druides allaient en forêt pour couper le gui sacré, le sixième jour de l'année celtique. Buisson toujours vert sur un arbre apparemment mort en hiver, il symbolisait la vie perpétuelle. Plante sacrée, les druides lui attribuaient des vertus médicinales et même miraculeuses.
Les feuilles et baies de gui sont également toxiques, voire mortelles, si elles sont consommées par les animaux domestiques et les herbivores des pâturages comme les vaches, les moutons ou encore les chevaux.
Sans autorisation de l'ONF* pour les forêts publiques ou du propriétaire pour celles privées, il est interdit de prélever de la terre, des pierres, du sable, des mousses, des herbes, des genêts et même des feuilles mortes. Si on vous surprend à le faire, vous encourez une amende de 750€.
Direction les sous-bois pour repérer le houx.
On en trouve le long de certains petits chemins, pour les plus faciles d'accès. Mais on peut aussi s'aventurer hors des sentiers pour en trouver cachés entre les arbres. Dès fin novembre, les baies rouges (ou jaunes / oranges selon les variétés) commencent à apparaître.
Le houx, le gui et le fragon ont toujours la cote à cette saison. Dans les forêts publiques, leur cueillette est tolérée en petite quantité et pour un usage exclusivement familial. Avant les fêtes de Noël, l'ONF effectuera des contrôles et veillera à ce que les ramassages se fassent avec modération.
Aussi appelé Viscum album, le gui ne possède pas de racines. Il se fixe sur un arbre feuillu (généralement les peupliers, les pommiers, tilleuls ou les saules), dont il va absorber l'eau et les minéraux. Le houx, lui, est reconnaissable à ses boules rouges et à ses feuilles dentées et piquantes.
Échanges passionnés des premiers temps de l'amour, nos effusions labiales s'espacent parfois avec les années. Pourtant, s'embrasser, c'est bon pour le moral mais aussi pour la santé, assurent les spécialistes.
Les druides celtiques ornaient leur bâton de houx et offraient aux hommes et aux femmes des villages des branches de cet arbuste afin de leur porter bonheur. Les Romains, eux, offraient du houx, symbole de bienveillance, aux jeunes mariés en guise de porte-bonheur.