Les cellules cancéreuses sont confinées aux canaux et aux lobules ; le cancer du sein infiltrant aussi appelé carcinome infiltrant. Les cellules cancéreuses envahissent le tissu mammaire et peuvent s'étendre et affecter les tissus avoisinants.
Le siège habituel des cancers du sein est le quadrant supéro- externe dans environ 40 % des cas, suivi de la région centrale. Les autres quadrants sont moins souvent atteints. Cette topographie s'explique par la quantité de tissu glandulaire toujours plus présent dans la partie centrale et supéro- externe.
Le cancer du sein
Son premier signe palpable peut justement être une masse solide, indolore et bien distincte du reste du tissu mammaire. Elle s'accompagne parfois d'un gonflement des ganglions des aisselles, d'un changement dans l'aspect de la peau du sein ou du mamelon ou encore d'écoulements.
Le cancer du sein est souvent indolore dans ses premiers stades, mais il peut provoquer un gonflement de l'aisselle, du sein ou de la clavicule. Si vous ressentez une douleur ou une grosseur mammaire, prenez rendez-vous avec votre médecin.
Comme la plupart des pathologies cancéreuses, le cancer du sein se distingue par son caractère typiquement évolutif. Il se développe d'abord à un niveau local, alors que des cellules de la glande mammaire, auparavant saines, se mettent à proliférer de manière anarchique et incontrôlable.
Sueurs nocturnes. Perte d'appétit. Douleur nouvelle et prolongée. Problèmes de vue ou d'audition.
Les tumeurs cancéreuses peuvent induire chez les patients 3 types de douleurs : mécaniques, inflammatoires et neuropathiques.
Avant tout, il faut consulter devant un phénomène inhabituel qui persiste : toux, douleurs, grosseur, tache sur la peau, problèmes digestifs, urinaires, plaie, saignements, perte de poids inexpliquée, etc. Le premier examen, clinique, est fait par le médecin.
Quand faut-il commencer à s'alarmer ? La présence d'une petite boule indolore ou d'un gonflement plus dur que le reste est souvent une indication d'un cancer du sein. Beaucoup de personnes pensent: «je n'ai pas mal, je me sens bien, donc tout va bien».
Le cancer du sein précoce est décrit par la présence d'une tumeur mesurant 20 mm ou moins et une maladie qui ne s'est pas propagée à plus de 3 ganglions lymphatiques. La tumeur peut aussi mesurer entre 20 et 50 mm et la maladie ne pas s'être propagée aux ganglions lymphatiques.
Cette masse habituellement non douloureuse est découverte le plus souvent fortuitement par la patiente. À peine 1,2 à 6,7 % des femmes auront de la douleur comme symptôme de présentation du cancer du sein 1.
La tumeur glomique se forme autour des vaisseaux sanguins, habituellement sous la peau des doigts ou dans les mains, les poignets et les pieds. Elle apparaît comme une petite masse rouge bleuté sous la peau et peut être assez douloureuse. Il existe aussi une forme cancéreuse, qu'on appelle tumeur glomique maligne.
La tumeur est un amas de cellules sans nerfs ; elle n'a donc aucune sensibilité et n'est pas douloureuse. Pour qu'un cancer fasse mal, il faut que la tumeur ou des métastases touchent, compriment ou envahissent une partie sensible du corps.
Les cancers du sein à un stade précoce d'évolution au moment du diagnostic (cancers in situ ou peu étendus) présentent un taux de survie de plus de 90%. Les cancers plus évolués, mais sans métastases, présentent un taux de survie de 80%. En cas de cancers métastatiques, le taux de survie descend à 25%.
Les différents cancers du sein
Le cancer du sein hormonodépendant. Le cancer du sein triple négatif. Le cancer du sein HER2 surexprimé
La tumeur phyllode se développe souvent très rapidement, et elle peut être assez grosse quand on la diagnostique.
Cette propagation porte le nom de métastase. Le cancer primitif inconnu (CPI) est un cancer qui a été détecté dans le corps, mais pour lequel il est difficile de dire où il a pris naissance. Il est parfois aussi appelé cancer primitif occulte ou cancer d'origine primitive inconnue.
des signes respiratoires, comme une toux, un essoufflement ou une sensation d'oppression dans la poitrine ; des maux de tête, des courbatures, une fatigue inhabituelle ; une perte brutale de l'odorat (sans obstruction nasale), une disparition totale du goût ; une diarrhée.
Troubles du transit, constipation, diarrhées, saignements… sont des symptômes qui peuvent alerter.
Un test sanguin qui permettrait de dépister la présence ou non d'une tumeur chez les personnes à risque. Il y a donc un réel besoin d'identifier de nouveaux marqueurs tumoraux qui pourraient aider au diagnostic et au suivi de l'efficacité des traitements.
Perte de poids
Selon le type de cancer, 30 à 80 % des patients perdent du poids à cause de leur maladie. Le métabolisme des personnes touchées se modifie, ce qui peut entraîner une augmentation des besoins en calories et en protéines (ce qu'on appelle la cachexie cancéreuse, du grec : « amaigrissement »).
Un cancer apparaît comme une prolifération incontrôlée de cellules. La masse de cellules cancéreuses grandit et envahit les tissus voisins petit à petit. Cela conduit par la suite à une tumeur qui envahit peu à peu l'organisme et alterne son fonctionnement.
Environ 10% des cas de cancer du sein se manifestent chez les femmes âgées de moins de 35 ans et près de 20% avant 50 ans. Le cancer du sein se développe le plus souvent autour de 60 ans. Près de 50% des cancers du sein sont diagnostiqués entre 50 et 69 ans et environ 28% sont diagnostiqués après 69 ans.
Contrairement aux kystes qui ont une paroi, les tumeurs n'en ont pas, même si elles sont souvent bien circonscrites (ou dit aussi encapsulées). Une tumeur peut être bénigne ou maligne, autrement dit cancéreuse.
Rétractation de la peau près du nodule. Peau rouge et épaissie sur le sein. Écoulement sanguinolent provenant du mamelon. Ganglions sous l'aisselle confluents ou collés à la peau et la paroi thoracique.