Le cerveau est logé dans la boîte crânienne qui le protège des chocs. Il est également entouré de trois membranes protectrices, les méninges (dure-mère, arachnoïde, et pie-mère). Chez l'adulte, il pèse environ 1,3 kg et contient plusieurs milliards de cellules nerveuses : les neurones.
Dans notre tête, il n'y a pas que le cerveau.
En anatomie, on distingue l'encéphale du cerveau proprement dit, qui n'en est qu'une partie. Dans l'encéphale, le cerveau surplombe le tronc cérébral, situé dans le prolongement de la moelle épinière, et domine le cervelet, logé en arrière du tronc cérébral.
Un cerveau qui contrôle lui-même la douleur
C'est ainsi que des scientifiques du CNRS ont réussi à identifier de petits neurones, situés dans la région du cerveau nommée hypothalamus, ayant la capacité d'inhiber la douleur.
Utilise l'entièreté de ton cerveau pour mieux apprendre
Par défaut, c'est donc notre cerveau gauche qui assimile les informations telles quelles, de manière séquentielle et analytique. Pour bien mémoriser ton cours, tu dois donc apprendre pas à pas les données qui ont déjà été enregistrées lors du cours.
Les hémisphères
Le cerveau est divisé en deux parties appelées « hémisphères », soit le droit et le gauche. L'hémisphère droit contrôle le côté gauche du corps, alors que l'hémisphère gauche, lui, contrôle le côté droit. Certaines fonctions dépendent des deux hémisphères.
L'exposition prolongée ou répétée à l'agent stressant épuise les capacités énergétiques de l'organisme, le taux de glucose dans le sang est au plus bas, les cellules ne sont plus nourries : l'état d'épuisement est atteint. L'état d'épuisement devient un terrain propice au développement des maladies.
Le système limbique est la zone du cerveau la plus fortement impliquée dans les émotions. Celui-ci contribue également à la mémoire et aux apprentissages. Plusieurs structures le composent, celles jouant les rôles principaux sont : l'hypothalamus, le thalamus, l'amygdale et l'hippocampe.
L'encéphale représente la partie majeure du cerveau humain et est associé à des fonctions supérieures comme le contrôle des comportements volontaires. Penser, percevoir, planifier, et comprendre un langage, toutes ces fonctions sont sous le contrôle des hémisphères cérébraux.
Pour comprendre la mélatonine, il faut passer par le cerveau, et plus précisément par sa base, là où est situé l'hypothalamus. C'est en effet dans cette partie du cerveau que le processus de veille et de sommeil est régulé.
L'hémisphère gauche, lui, serait le siège de la logique et de la rigueur. Il serait plutôt monotâche, ne traitant qu'une seule information à la fois, et nous permettrait de planifier des taches et de se fixer des objectifs.
Les maux de tête (ou céphalées) constituent le symptôme le plus fréquent, quel que soit le type de tumeur cérébrale. Ils se manifestent souvent le matin, parfois accompagnés de nausées et/ou de vomissements. Ils sont dus à la masse de la tumeur qui comprime la région où elle est localisée.
Symptômes de la douleur neuropathique
La douleur neuropathique peut être perçue comme une sensation de brûlure ou de picotements, ou, parfois, comme une hypersensibilité au toucher ou au froid.
Lorsque vous touchez une plaque très chaude, des récepteurs spécifiques situés sur votre main vont envoyer un signal électrique jusqu'au cerveau. Le cerveau va traiter ce signal, comprendre que la situation est dangereuse, et produire une douleur que vous ressentirez au niveau de la main.
Quoi qu'il en soit, l'accident vasculaire cérébral étant pour le cerveau ce que l'angine de poitrine est pour le cœur, ses facteurs de risque sont bien connus, les principaux étant le tabac, l'hypertension, l'excès de cholestérol, l'obésité et le diabète de type 2.
A ces heures, l'oxygénation de l'organisme se met en branle. Un réveil entre 3h et 5h du matin peut alors signifier des soucis de respiration (en raison de la fumée, du stress, rythme respiratoire élevé). Au niveau psychologique, les poumons sont associés à la mélancolie, aux désillusions sentimentales et à la peine.
Un sentiment négatif peut être mémorisé puis expurgé durant la nuit. Au contraire, le manque de sommeil peut avoir des effets néfastes sur nos capacités cognitives : il nuit à notre attention et à notre vigilance, réduit nos capacités à ressentir, à imaginer et à créer, affecte notre humeur et nos émotions, etc.
On compterait environ 500 millions de neurones(1) dans notre intestin, constituant ainsi un système nerveux à part entière : le système nerveux entérique. Il s'agit du second système nerveux de l'organisme, d'où le nom de « deuxième cerveau ».
Le cortex moteur
Le contrôle des mouvements volontaires des différentes parties de notre corps y revient au « cortex moteur », situé dans le lobe frontal. Si cette zone est détruite, par exemple à la suite d'un accident cérébro-vasculaire, le sujet sera paralysé, incapable d'initier le moindre mouvement.
Le cerveau se compose d'un hémisphère droit et d'un hémisphère gauche. Le cerveau gauche est souvent associé à un raisonnement logique et rationnel, et le cerveau droit à l'intuitif et l'émotionnel. Certaines personnes utiliseraient davantage un côté que l'autre.
L'amygdale, un système qui régule nos actions face à la peur - Département de psychiatrie - CHUV.
Leur nombre varie se- lon les études, cependant on en retient généralement six : la joie, la surprise, la peur, la colère, le dégoût et la tristesse (une septième émotion, le mépris, est parfois ajoutée).
On présente souvent le cerveau gauche comme associé au raisonnement logique et rationnel, le cerveau droit étant plutôt intuitif et émotionnel. Il y aurait ainsi des personnalités plutôt « cerveau gauche » ou « cerveau droit », qui utiliseraient plus un côté du cerveau que l'autre.