La Sparte actuelle (en grec moderne Σπάρτη / Spárti) est une petite ville du Péloponnèse, chef-lieu du district régional de Laconie, du dème de Sparte et du district municipal des Spartiates. La ville est située dans la vallée du fleuve Eurotas, entre les montagnes du Taygète à l'ouest et du Parnon à l'est.
En 148, les Achéens attaquent Sparte, qui est vaincue. Rome doit intervenir, exigeant que Sparte et Corinthe soient séparés de l'Achaïe. Furieux, les Achéens reprennent les armes, mais ils sont écrasés par Rome en 146.
Sparte (appelée aussi Lacédémone) est une ancienne cité de la Grèce antique fondée il y a près de 3000 ans, dont il ne reste que peu de vestiges.
Sparte était l'une des plus importantes cités-États de la Grèce antique et était célèbre pour ses prouesses militaires. Les hoplites professionnels spartiates, bien entraînés, avec leurs capes rouges et leurs longs cheveux caractéristiques, étaient probablement les meilleurs et les plus redoutés des combattants grecs.
Sparte est ruiné par les guerres incessantes entre les cités grecques indépendantes pendant presque cinq siècles. Après cela la ville de sparte, ne s'est remise et est redevenu un village.
En grec et en tsakonien, cette langue est appelée "τσακώνικα" (tsakonika). Il se rapproche du dialecte grec antique de Sparte, et est donc nommé "néo-spartiate" par quelques linguistes. Carte des langues du Péloponnèse datant de 1890. Les régions où le tsakonien est parlé sont en bleu.
A l'époque classique, Sparte est, avec Athènes, la cité la plus puissante de Grèce. Les deux rivales s'affrontent lors de la guerre du Péloponnèse (431-404 av. J. -C.), qui voit la victoire de Sparte et la disparition de l'empire athénien.
Gorgo était la reine de la cité-état grecque de Sparte. Elle était fille du roi Cléomène (520-490 avant JC), épouse du roi Léonidas (490-480 avant JC) et mère du roi Pléistarque (480-458 avant JC). Dans l'histoire grecque, sa date de naissance et celle de sa mort sont malheureusement inconnues.
Léonidas était le roi spartiate qui s'illustra à la tête d'un petit groupe d'alliés grecs lors de la bataille des Thermopyles en 480 avant J. -C. Les Grecs défendirent vaillamment le passage par lequel le roi perse Xerxès cherchait à envahir la Grèce avec son immense armée.
Nom. Depuis qu'Éphialtès a trahi les Grecs aux Thermopyles, en grec Éphialtès signifie « cauchemar ». Éphialtès est également utilisé en grec comme synonyme de traître, de façon comparable à l'utilisation de « Judas » dans la langue française.
2.1.
Au nombre de quelques milliers au moment des guerres médiques, les « égaux » ne sont plus que 700 environ au milieu du ive s. avant J. -C. Ce sont eux les véritables Spartiates, le terme de Lacédémoniens désignant en grec ancien les habitants de l'État spartiate, par opposition aux citoyens de la ville elle-même.
Les 300 Spartiates qui l'accompagnaient constituaient un cadre d'élite que Léonidas avait choisi personnellement. Il voulait que seuls les soldats ayant une descendance l'accompagnent, car il savait qu'ils avaient peu de chances de survivre et voulait être sûr que leur lignée se perpétuerait.
Sparte acquerra deux puissants alliés, Corinthe et Élis, en débarrassant la première de la tyrannie, et en aidant la seconde à sécuriser le contrôle des Jeux olympiques. Les Spartiates poursuivaient des stratégies de ce genre afin de gagner d'autres alliés à leur ligue.
On ne laissait à personne la liberté de vivre à son gré ; la cité ressemblait à un camp militaire ; leurs habitudes et leurs occupations étaient réglées par la loi et consacrées au service de la cité ; de manière générale, les citoyens vivaient avec la pensée qu'ils ne s'appartenaient pas à eux-mêmes, mais à la patrie. ...
Divinité traditionnelle du panthéon spartiate, Athéna a manifestement un rôle significatif dans la vie civique et politique de la cité jusqu'à l'époque romaine. Les qualités guerrières de la déesse, et plus généralement celle de gardienne de la cité, sont fortement marquées dans le culte spartiate.
Gorgô (en grec ancien Γοργώ / Gorgô), née en 506 av.
Qu'elles s'appellent Sirènes, Gorgones, Grées (ces vieilles jeunes filles qui portent en plein visage les rides de la mer) ou Harpyes, semblables au vent de l'orage.
Entre toutes les cités grecques, Sparte et Athènes ont joué un rôle prépondérant. Leur rivalité fait le fond de l'histoire grecque. A Sparte, l'homme fut uniquement un soldat alors qu'à Athènes il fut un citoyen épris de liberté politique, d'activité commerciale, d'art et de littérature.
durant la bataille de Marathon, où le soldat Philippidès est entré dans l'histoire pour son acte. Lors de la seconde guerre, le roi perse Xerxès, fils du roi Darius, a attaqué Athènes et a détruit l'Acropole.
Les cités du Péloponnèse, dont Sparte, déclarent la guerre à Athènes. L'Attique est ravagée, la cité d'Athènes mobilise et perd de très nombreux citoyens. Une trêve est conclue entre 421 av.
«Thucydide d'Athènes a rassemblé par écrit la guerre des Péloponnésiens et des Athéniens». Thucydide a écrit la guerre du Péloponnèse: un sujet, Thucydide, un objet, la guerre, et, entre le sujet et l'objet, le verbe xyngraphô.
Au guerrier qui part au combat, les mères ou les femmes de Sparte tendent son bouclier avec ces mots : « Avec lui, ou sur lui ! » (grec ancien : « Ἢ τὰν ἢ ἐπὶ τᾶς » (ḕ tàn ḕ epì tâs), « Reviens (victorieux) avec ton bouclier, ou (mort) sur lui ».
Parle-t-on français ? Anglais ? Anglais et français sont parlés dans tous les lieux touristiques de la Crète.
Le français, qui n'est autre que la forme évoluée du latin parlé en Gaule (5) a donc hérité des mots grecs que la langue latine avait déjà assimilés. Les plus anciens éléments grecs de la langue française sont donc en fait des éléments "gréco-latins".