Elle tapisse la paroi supérieure des fosses nasales où se trouvent les cellules de l'odorat. En temps normal, cette muqueuse sécrète, grâce à de petites glandes, un liquide épais et collant : le mucus. Son rôle est d'humidifier et de réchauffer en permanence l'air inspiré.
Les glaires sont à la base du mucus, un liquide épais et visqueux sécrété par la muqueuse du nez. Ce mucus est utile puisqu'il humidifie et réchauffe l'air qu'on inspire. Il filtre les microparticules présentes dans l'air pour protéger nos poumons.
L'évacuation des glaires est normale et nécessaire pour nettoyer les bronches. Mais une expectoration excessive peut être le signe d'une maladie des voies respiratoires.
L'inhalation de vapeur d'eau légèrement salée et additionnée d'huiles essentielles telles que l'eucalyptus ou le romarin, sert à humidifier les muqueuses. On peut aussi déposer quelques gouttes de ces huiles essentielles sur un mouchoir et le respirer profondément pour aider à dégager les voies nasales.
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme.
Consistance du mucus
une consistance mousseuse témoigne de maladies comme la pneumonie et un reflux œsophagien ; une consistance très liquide peut être causée par une inflammation : sans infection (allergie, asthme) ; ou avec infections (sinusite, rhume, grippe).
"Les expectorations sont simplement le reflet du mucus qui contient plus ou moins des débris cellulaires. Et l'expectoration grise est une expectoration presque normale, elle est souvent blanche. C'est la couleur du mucus" rassure-t-il.
L'écoulement dans l'arrière-nez peut être provoqué par diverses affections, notamment la sinusite (une inflammation des sinus), des infections virales comme le rhume, la rhinite (un écoulement nasal qui se produit de façon soudaine ou chronique), des allergies ou des infections bactériennes.
La congestion de la poitrine est causée par un excès de liquides (mucus et mucosités) qui s'accumulent dans les poumons lorsque les muqueuses en ont trop produit. La surproduction de mucus résulte d'une irritation des membranes par des bactéries ou des virus, provoquant une inflammation.
Elle peut même provoquer des vomissements ou la fracture d'une côte si vous toussez très fort. La toux peut être sèche et quinteuse ou grasse et productive (expectorations). Il arrive parfois que les expectorations contiennent du sang provenant des poumons.
Du mucus est notamment sécrété au niveau des poumons, mais aussi du système digestif et du système reproducteur.
La toux grasse, aussi appelée toux productive, est un symptôme qui se manifeste par des expectorations de glaires ou crachats plus ou moins épais provenant de la gorge ou des poumons.
Si la toux est accompagnée d'expectorations (crachats) purulentes (jaunâtres ou verdâtres) ou plus abondantes que d'habitude, cela peut indiquer une infection ou une surinfection. Dans ce cas, une consultation et un traitement sont généralement nécessaires, cela d'autant plus en présence de fièvre.
En fait, le "râle" dans les poumons témoigne d'un problème lors du passage de l'air dans les bronches. Il peut s'agir d'un début de pneumonie, mais aussi d'une bronchite aiguë ou infectieuse (avec une respiration sifflante). Dans tous les cas, il faut consulter immédiatement son généraliste.
Des symptômes tels que mal de gorge, dysphagie (impression de gêne au cours de la déglutition), dysphonie (troubles de la voix), aphte persistant, ganglion cervical, saignement de nez, obstruction nasale, otalgie (douleur de l'oreille)… doivent alerter.
Les fluidifiants bronchiques les plus utilisés sont notamment l'acétylcystéine, la bromhéxine, la carbocistéine, l'ambroxol, l'erdostéine, la terpine, la guaïfénésine, etc.
La guaifénésine ou guaïacolate de glycérile est l'expectorant médicinal le plus utilisé dans les sirops et d'autres médicaments contre la toux. Le miel, la vapeur et la menthe poivrée sont des exemples d'expectorants naturels. Leur efficacité est optimale lorsqu'ils sont pris avec un expectorant médicinal.
Ainsi une simple prise de sang pourrait déterminer qui doit se voir conseiller un dépistage précoce avec une plus grande précision. Cette identification des patients à risque de cancer du poumon permet dès lors de les orienter plus rapidement vers des examens spécifiques (CT scanner à faible dose).
infections et pneumonies : les infections du poumon, dont font partie les pneumonies, peuvent occasionner des douleurs thoraciques et dorsales. Celles-ci sont accompagnées d'une forte fièvre, de toux et d'une gêne respiratoire. Ces infections doivent être prises en charge par un médecin.
Des douleurs persistantes dans la poitrine et dans les bras sont un signe de cancer du poumon à un stade déjà avancé, lorsque les tumeurs commencent à irriter les nerfs situés aux alentours de l'apex du poumon.
Il s'agit d'un mélange de pamplemousse, de citron et d'ananas. En effet, ces aliments sont dotés de plusieurs vertus plutôt expectorantes. Elles sont donc très utiles pour la purification des poumons. Avant le petit déjeuner (environ vingt minutes), il est recommandé de boire le jus de pamplemousse et de citron.
Par ailleurs, pour la bonne santé des poumons, il est conseillé d'éviter la consommation de certains aliments qui peuvent entraîner des difficultés respiratoires comme les graines raffinées, la viande rouge, les desserts trop riches et les aliments gras.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.