Cette cote peut être recueillie sur l'Atlas des Zones Inondables (AZI) et/ou dans le Plan de Prévention des risques d'Inondation (PPRI). Il faut noter que selon l'AZI considéré, cette cote de référence n'est pas toujours disponible.
En interrogeant les objets de la carte, vous afficherez entre autres informations : les cotes NGF des PHE relevées et les dates des crues correspondantes.
Ce document est disponible à la préfecture, sur le site de la préfecture, ou à la mairie. Il est important de noter que le PPRI a plusieurs objectifs : Identifier les zones qui risquent d'être inondées, ainsi que du niveau d'aléas.
Le département du Gard est particulièrement sensible au risque d'inondation. Au cours des 50 dernières années, ce n'est pas moins de 200 épisodes pluviales de très forte intensité qui ont été recensés.
La « cote de référence » correspond, pour un terrain donné, à la cote altimétrique* qu'atteindrait l'eau sur ce terrain pour une crue exceptionnelle (souvent la crue centennale) augmentée d'une marge de sécurité (ex : 0,15 m, 0,30 m, 0,50 m).
Elle est exprimée en mètres NGF. La cote de référence à retenir est celle du profil situé en amont du bâtiment. Elle représente le niveau d'eau atteint par la crue de référence (crue historique de 1960). Dans l'exemple ci-contre : Zref = 117,00 m NGF.
Lorsque le réseau est organisé suivant plusieurs ordres, la précision moyenne découle essentiellement du processus de calcul. Par exemple, 2 points situés à 25 km l'un de l'autre et nivelés à partir du 3ème ordre NGF/IGN69 ont des précisions relatives en altitude de 3 mm x (25 km)1/2 = 1,5 cm.
Par exemple, en 2050, l'océan Atlantique pourrait avoir grignoté les côtes de l'estuaire de la Gironde. Saint-Nazaire, Nantes et les rives de l'estuaire de la Loire risquent de ne pas être épargnées non plus, et Noirmoutier pourrait être engloutie.
Touchés de plein fouet par l'érosion des falaises, le Nord et la Normandie sont directement menacés, tout comme la Bretagne et la façade Atlantique. Dans ces régions, des centaines d'habitants vivent sous le niveau de la mer.
Parmi les grandes villes les plus à risque entre 2020 et 2050, on trouve Le Havre (de loin la grande ville la plus menacée), Caen, Bordeaux, Arcachon, Deauville, Bayonne, Toulon et Sète. « Au Havre, par exemple, 3,6 % des biens vendus entre 2016 et 2021 vont devenir inondables avant 2050 », selon le cabinet Calendar.
Comment savoir si je suis en zone inondable ? Vous souhaitez savoir si vous risquez de vous faire inonder ? Pour le savoir, il vous pouvez vous renseigner directement auprès de votre préfecture ou votre mairie. En effet, celles-ci possèdent les documents où sont notifiées les différentes zones inondables.
Le site Géorisques met à la disposition de chacun des dossiers thématiques, l'état des risques majeurs pour chaque commune de France… Il est complété par le portail interministériel www.risques.gouv.fr. l'information des citoyens passe également par l'entretien de la mémoire des événements passés.
Il est aussi possible de trouver cette information sur le site internet édité par le site Argus. Enfin il vous aussi possible de demander cette cote auprès de votre garagiste, mécanicien réparateur automobile (MRA) ou en concession automobile afin de faire évaluer par exemple une reprise de votre véhicule.
La cote auto de l'argus est disponible en quelques clics. Il vous suffit de vous rendre sur le site internet de l'Argus. Puis soit vous entrez directement votre plaque, soit vous sélectionnez les caractéristiques techniques de votre véhicule occasion. C'est à vous de choisir ce qui correspond à votre voiture.
Les Glénan, Molène, la côte du Pays bigouden, L'Île-Tudy, Fouesnant, le littoral autour de Morlaix ou encore Landerneau pourraient se trouver sous les eaux en 2050… Dans sa dernière étude, l'association Climate Central montre un littoral finistérien grignoté par la mer.
La Bretagne est la plus exposée au recul du trait de côté (41 communes). La Charente-Maritime, la Gironde et les Bouches-du-Rhône représentent plus de la moitié des surfaces perdues, selon le Commissariat général au développement durable (CGDD). Les risques de submersions ou d'érosion pèsent sur 850 000 habitants.
C'est le cas des Hauts-de-France (première française) qui se classent au 121e rang. Arrive ensuite la Provence-Alpes-Côte d'Azur (176e), le Grand Est (200e), l'Occitanie (237e), les Pays de la Loire (239e), la Nouvelle-Aquitaine (243e), l'Auvergne-Rhône-Alpes (253e) et enfin la Normandie (260e).
Pourquoi Marseille a la réputation d'avoir la meilleure eau potable de France.
L'Association des villes et villages où il fait bon vivre publie le palmarès des villes du littoral issu de l'étude diffusée en janvier par le JDD. Annecy, Bayonne et La Rochelle sont en tête des villes ; Guéthary, Théoule-sur-Mer, Ploulec'h dominent le classement des villages.
Ainsi, l'Espagne, le Maroc, l'Algérie, la Tunisie, mais aussi l'Arabie saoudite, le Pakistan ou encore le Kazakhstan, verront leurs ressources en eau pompées à plus de 80 % chaque année, relève la cellule spécialisée dans les questions environnementales.
Le NGF est un réseau de repères altimétriques présents sur l'ensemble du territoire. On les trouve généralement à la base des édifices publics ou bien sur les soubassements des ouvrages d'art.
Le zéro de nivellement est à 1,661 m sous le repère fondamental situé dans le local du marégraphe de Marseille.
Comment avoir une côte NGF ? Il peut être calculé par différence entre le niveau d'inondation de référence (Zi ref en m NGF) et le niveau du sol dans l'espace au droit du point de référence extérieur (Zd en m NGF). La hauteur de l'eau obtenue est exprimée en mètres.