Les békés actuels de Guadeloupe sont tous originaires de la Martinique, où ils ont généralement toujours des liens familiaux ou des intérêts économiques. Le terme « béké » est parfois également employé comme adjectif.
1 - Bernard Hayot, le pilote du groupe le plus puissant de l'île. Aussi puissant que discret, Bernard Hayot, véritable patron économique de l'île, est le descendant le plus illustre de la famille Hayot, des Juifs hollandais arri-vés en Martinique à la fin du XVIIe siècle.
À une quarantaine de kilomètres de Pointe-à-Pitre, dans la région des Grands Fonds, dans la commune du Moule, vivent ceux que l'on appelle les « Blancs-Matignon » en Guadeloupe, et dont l'histoire est unique.
Le second est blanc, martiniquais « descendant d'esclavagiste », chef d'entreprise dans la publicité. Il incarne ceux qu'on nomme les békés, les blancs créoles héritiers des premiers colons européens et, aujourd'hui encore, aux manettes de nombreux secteurs économiques.
La population békée (NDLR : créole blanc) ne représente que 1 % de la population, ils sont 3 000 en Martinique et 2 000 en Guadeloupe. Ce sont les descendants des propriétaires d'esclaves et ils en gardent le plus souvent la mentalité. En 1794, une partie d'entre eux a résisté à la première abolition de l'esclavage.
Le 28 juin 1635, les Français Jean Duplessis et Charles de l'Olive, de la Compagnie des Isles d'Amérique (ou des Isles de l'Amérique), prennent possession de la Guadeloupe au nom du roi Louis XIII. C'est la plus ancienne dépendance française d'outre-mer.
Cinq familles martiniquaises sont dans le classement annuel des 500 premières fortunes professionnelles de France du magazine Challenge qui compte en tout treize familles liées à l'Outremer. La famille Hayot est la plus riche de Martinique.
L'île est reprise par les Français le 25 mars 1802 avant de retomber à nouveau aux mains des Britanniques en 1809 lors des guerres napoléoniennes. Cinq ans plus tard, « l'île aux fleurs » sera rétrocédée à la France après la première abdication de Napoléon Ier.
Ils l'appelaient Matinino, nom que Colomb traduisit par isla de las mujeres , « l'île aux femmes » et non l'île aux fleurs ainsi que l'affirment l'Encyclopædia Universalis ou la Britannica.
Cette demeure ainsi que la propriété d'Alain Huygues-Despointes sont situées à Cap Est, près du François, dans la partie Est de la Martinique, surnommée «Békéland». C'est là que vivent la plupart des békés, qui représentent entre 1 et 2,5% de la population martiniquaise.
Grande-Terre : le visage paradisiaque de la Guadeloupe
Grande-Terre est l'île la plus touristique de la Guadeloupe. C'est en effet ici que se trouvent l'aéroport de Pointe-à-Pitre et certaines des plus belles plages de l'archipel.
Les « Blancs-Pays » sont encore appelés « Blancs-créole » en Guadeloupe, « békés » étant le nom qu'on leur donne en Martinique.
Les inégalités sont également territoriales : les ménages du centre de l'île, ainsi que du Diamant, des Trois-îlets et de Sainte-Luce, concentrent les richesses. L'essentiel du revenu des Martiniquais provient des salaires (60 %).
Les Blancs créoles sont les descendants des premiers colons. Ils sont couramment appelés « Békés ». Cette appellation peut être ressentie comme péjorative [10]. Cependant, mes informateurs blancs créoles se désignent eux-mêmes comme « Békés ».
Il vous faut choisir en fonction de vos envies et de vos goûts personnels. Ainsi, la Guadeloupe pourrait être idéale pour les groupes d'amis en quête d'aventure de deux semaines, tandis que la Martinique serait plus propice aux familles pour un séjour plus court.
Le taux de criminalité est faible en Martinique. La petite délinquance constitue la menace la plus importante. Il se commet des crimes mineurs, comme des vols à la tire et des vols de sac à l'arraché, principalement à Fort-de-France, et dans son port. Des vols de voitures peuvent également se produire.
L'ameublement, l'entretien des maisons, l'habillement et l'électroménager sont autant de secteurs qui contribuent au coût de la vie sur l'île martiniquaise. En Martinique, le coût moyen de la vie est légèrement plus élevé qu'en France métropolitaine.
Les jeunes en particulier quittent davantage leur région de naissance. En effet, la poursuite des études ou la recherche d'un emploi sont les principales motivations des départs vers la France métropolitaine. Les retours se font autour de la trentaine, un peu plus tôt pour les femmes que pour les hommes.
25 700€, soit un peu moins de 2 150 € par mois.
En effet, le patronyme familial le plus porté dans notre pays n'est pas Dupont, et encore moins Durand ou Dubois, mais bien Martin ! Et ce parmi les quelque 208 561 noms de famille que l'on recense dans l'Hexagone. 235 846 personnes s'appelleraient donc Martin, d'après le dernier décompte en date.