Saint-Benoît, Le Port, Saint-Joseph, Saint-André et Saint-Louis affichent ainsi des taux de 44 % et 45 % selon les données 2019 de l'Insee [1]. Des niveaux de pauvreté trois fois plus élevés que la moyenne nationale (15 % en 2019).
La Seine-Saint-Denis est le département le plus pauvre de France métropolitaine. Selon une dernière étude de l'Institut national des statistiques et des études économiques (Insee), la Seine-Saint-Denis est le département le plus pauvre de France métropolitaine.
D'un point de vue géographique, les quartiers les plus pauvres se situent plus souvent dans le sud de la France, à Nice, Carpentras ou encore Nîmes, où les taux de pauvreté varient à des niveaux très élevés, de 69 % à 76 %.
Les chômeurs et les familles monoparentales sont les plus touchés par la pauvreté monétaire. La pauvreté monétaire touche en premier lieu les chômeurs (35,1 %). Parmi les personnes en emploi, les travailleurs indépendants sont plus vulnérables (14,6 %) que les salariés (6,3 %).
En France, le seuil de pauvreté monétaire est fixé à 60% du revenu médian français (1), qui était de 1 837€/mois pour une personne seule en 2019. On estime donc qu'une personne est pauvre si ses revenus sont inférieurs à 1 102€ par mois.
Selon l'Insee, 86 % des sans-domicile ont vécu dans leur enfance au moins un événement douloureux lié à leur environnement familial. La moitié une maladie, le décès de leurs parents ou d'un proche ou un accident grave, contre 16 % dans l'ensemble de la population.
L'Observatoire des inégalités l'a confirmé récemment : Grigny (Essonne) est bien la ville plus pauvre de France métropolitaine, avec 44 % d'habitants vivant sous le seuil de pauvreté.
Pour les actifs, occupés ou au chômage, le taux de pauvreté varie fortement selon la catégorie socioprofessionnelle : les ouvriers ont le niveau de vie médian le plus faible ; il représente 56 % du niveau de vie médian des cadres et professions intellectuelles supérieures.
Villes de plus de 20 000 habitants. Lecture : Saint-Benoît et Le Port à La Réunion arrivent en tête de notre classement des 20 villes aux taux de pauvreté les plus élevés. 45 % de leurs habitants vivent sous le seuil de pauvreté.
30,7 % des pauvres vivent dans les zones périurbaines et seulement 6,4 % dans les zones rurales isolées. Le taux de pauvreté est deux fois plus élevé dans les communes situées au centre des pôles urbains (20,7 %) que dans les couronnes périurbaines (10,6 %).
La Guyane est le département qui connaît le plus de précarité. La pauvreté est « cinq à quinze fois plus fréquente » en Outre-mer qu'en métropole, en particulier dans les familles monoparentales et chez les retraités, selon une étude de l'Institut national de la statistique (Insee) publiée lundi 11 juillet 2022.
La majorité des personnes pauvres à Paris vivent dans les arrondissements du nord-est de la capitale, selon un rapport publié mardi 6 décembre 2022.
1) Paris. Nous ne pouvions clôturer ce top 10 sans parler de notre magnifique capitale : Paris ! Sur place, les activités ne manquent pas et vous pouvez notamment visiter de magnifiques musées tels que le Louvre, le Musée d'Orsay ou le Musée Picasso.
Nous donnons les seuils de revenus pour six différents types de ménages, en leur attribuant un nombre de parts proportionnel à leur taille. Les personnes seules sont considérées comme pauvres si leur revenu est inférieur à 965 euros mensuels (Insee, données 2021).
Avec plus de 170 millions de pauvres en 2015, l'Inde totalise le plus grand nombre de démunis et ce chiffre représente près du quart de la pauvreté mondiale.
Il s'élevait à 8,3 % au seuil de 50 % du niveau de vie médian en 2019 selon Eurostat [1]. La Finlande présente le taux le plus faible, 5,1 %. Hormis la France, les pays européens les plus peuplés se situent au-dessus des 10 % : l'Allemagne (10,2 %), l'Italie (13,4 %) et l'Espagne (14,6 %).
Considéré comme le quartier le plus pauvre de la capitale, Python-Duvernois sera entièrement transformé pour le plus grand bonheur de ses habitants qui, pour l'instant, se sentaient complètement abandonnés. La décision fut prise le jeudi 4 avril 2019 par le Conseil de Paris à l'unanimité.
On commence le podium avec le top 3, les Yvelines, le 78, top 2, les Hauts-de-Seine avec le quartier de La Défense.
Mais ils occupent des emplois très précaires : 22 % déclarent ne pas avoir de contrat de travail et 15 % sont intérimaires, stagiaires ou saisonniers. En outre, deux sans-domicile sur trois travaillent depuis moins d'un an chez le même employeur, et trois sur cinq perçoivent un salaire inférieur à 900 euros par mois.
La Finlande, le pays où les SDF ont tous droit à un toit.
En France, les sans-abri vivent dans la rue, principalement à Paris, la capitale, mais aussi dans de grandes villes comme Lille, dans le nord, et Strasbourg, dans l'Est, voisine de l'Allemagne.