Au printemps, en provenance entre autres des Carolines aux États-Unis, elles migrent vers le nord dans les tourbières boréales et sur les lacs et les étangs d'eau douce jusqu'à la Baie d'Hudson.
4.6 Migration
Au printemps, les bernaches migratrices arrivent dans le sud du Canada à partir de la fin mars, et elles repartent habituellement en avril pour leurs aires de nidification dans le nord. Au printemps, elles peuvent se nourrir de jeunes pousses de cultures récemment ensemencées.
Mais la plus grande majorité voyage plus au sud, vers les États-Unis ou même le Nord-Est du Mexique. La migration printanière des Bernaches qui se reproduisent dans les régions septentrionales commence à la fin de l'hiver et peut durer plusieurs semaines.
Elles sont en route vers le Grand Nord du Québec. C'est dans les basses terres des baies de James et d'Hudson et des côtes de l'Ungava qu'elles terminent leur migration. Elles y passeront l'été et vont s'y reproduire.
De nombreux oiseaux lancent de simples « cris en vol ». Ceux-ci permettent sans doute d'informer les autres oiseaux de l'endroit où ils se trouvent pour éviter les collisions.
Rapaces. On peut utiliser des faucons, des aigles ou d'autres oiseaux de proie pour faire fuir les bernaches d'un site comme un terrain de golf ou un parc urbain.
Ces populations, qui nichaient dans un habitat s'étalant de la région des Grands Lacs aux Rocheuses, migraient juste assez vers le sud chaque hiver pour trouver de la nourriture et des eaux libres de glace.
Il s'agit pourtant de deux oiseaux totalement différents, la bernache étant un oiseau aquatique avec des pattes palmées et un bec rond comme ceux d'une oie alors que l'outarde est un oiseau terrestre avec des pattes non-palmées et un bec pointu ressemblant à ceux d'une poule.
Dates de passage
Le passage post-nuptial s'étale de septembre à la mi-décembre, généralement en deux vagues (2e quinzaine d'octobre et mi-novembre). Remarque: le passage pré-nuptial des oies semble se décaler dans le temps, il a gagné en précocité deux semaines entre 1980 et 2006.
Espèce nuisible
Face à la multiplication de l'espèce sous nos contrées, la Bernache du Canada est désormais considérée comme une espèce exotique envahissante. Elle est classée comme nuisible et chassable, car ses excréments polluent les sols et les cours d'eau.
Des appels de bienvenue de type mun-mun-mun et quelques petits cluk et double cluck devraient attirer les oiseaux à portée de tir. Assurez-vous de bien vous fondre dans le décor en vous dissimulant dans des fossés, lignes de branches, champs de maïs, etc.
La bernache du Canada adopte un régime alimentaire végétarien. Elle se nourrit principalement de céréales, d'herbes, de graminées, de baies et de plantes aquatiques.
Lieu de vie :
L'outarde canepetière vit dans les milieux ouverts à végétation haute, les steppes, les prairies, les champs cultivés.
En effet, une moitié de l'hémisphère cérébral dort pendant que l'autre moitié est en plein éveil. La bernache du Canada, communément appelée outarde, ne dort au besoin, que d'un seul œil. Cette particularité lui permet de monter la garde sur ses oisillons tout en se reposant.
Oui. Seule le détenteur d'un permis peut manger les bernaches abattues, il ne peut pas les donner à quelqu'un d'autre.
Il existe de nombreuses espèces d'outardes en Europe, en Afrique et en Australie entre autres. Les outardes ne sont pas dans la famille des oies. Au lieu d'avoir un bec qui ressemble à celui d'un canard, leur bec est pointu.
En France la population d'Outarde canepetière est estimée, en 2016, à 2455 mâles environ répartis entre le pourtour méditerranéen (2142 mâles) et le Centre-Ouest (313 mâles) de la France. Dans le Sud, environ 20% de la population niche sur des terrains d'aviation.
Les oies bernaches se donnent rendez vous en Bretagne pendant quelques mois d'hiver (de novembre à mars). Ces oiseaux migrateurs quittent la Sibérie en novembre et y repartent fin mars pour se reproduire et nicher (mai à juin).
Outarde kori- Ardeotis kori Les cris sont rares dans cette famille, mais l'Outarde du Bengale (Houbaropsis bengalensis) émet un « chik » répété au cours des parades de menace.
Chaque année, au cours du mois de mars, les bernaches nonnettes (Branta leucopsis), des sortes d'oies, quittent les régions tempérées et migrent vers le Nord pour se reproduire.
On la faisait souvent braiser avec des légumes, des pommes ou des pruneaux, ou en la préparait en pâtés divers comme le cipaille, en compagnie de viandes domestiques. Enfin, le civet d'outarde se pratiquait aussi dans le Bas-Saint-Laurent.
À l'automne, les Oies se dispersent depuis la région de Québec, à la fin d'octobre, et parcourent une courte distance en direction sud-ouest vers le lac Saint-Pierre ou le nord du lac Champlain, où elles se nourrissent dans les champs de maïs et où certaines restent jusqu'à la mi-novembre et même jusqu'en décembre.
Au printemps, des milliers d'oies blanches font halte sur les bordures du fleuve pendant leur migration entre les États-Unis et l'Arctique.