180 pas par minute serait la cadence la plus efficace. Celle qui donne la foulée la plus fluide. Celle qui est la plus économique en énergie car on utilise au maximum l'effet de rebond lié à l'impact au sol. Un pas bref, sous forme de rebond au sol qui se ressent réellement lorsque l'on court.
L'expérience suivante sera fort révélatrice : commencez à courir très lentement en vous échauffant durant 5 à 10 minutes, puis accélérez graduellement la vitesse chaque minute jusqu'à atteindre l'effort maximal.
Pour la calculer, il suffit de compter le nombre de fois que vos pieds vont toucher le sol sur une minute. Classiquement, on situe la cadence de course « idéale » à 180 ppm (pas par minute) à plus ou moins 10.
Restez une minute à chaque palier (endurance, allure course, seuil, fractionné) pour vous adapter au rythme. Comptez vos pas durant 30 secondes, multipliez par deux et notez le résultat avant de passer au palier suivant. Vous allez remarquer qu'à mesure que votre vitesse augmente, votre cadence aussi.
Surtout, ils sont très légers ! Car, évidemment, plus on est grand, plus on est lourd. Donc plus coûteux en énergie à l'heure de se mouvoir ! On est aussi plus difficile à refroidir en cas de surchauffe.
Fibres musculaires «rapides»
Celles-ci réagissent très rapidement et fortement, mais ne peuvent maintenir la force ou rester contractées qu'un court moment. Elles peuvent être fabriquées par un entrainement adéquat, mais certaines personnes naissent avec déjà plus de fibres rapides que les autres.
De nombreuses études ont en effet prouvé que les africains de l'Ouest avaient des prédispositions génétiques pour les courses rapides comme le sprint, les jamaïcains en sont les descendants.
180 pas par minute serait la cadence la plus efficace. Celle qui donne la foulée la plus fluide. Celle qui est la plus économique en énergie car on utilise au maximum l'effet de rebond lié à l'impact au sol. Un pas bref, sous forme de rebond au sol qui se ressent réellement lorsque l'on court.
La marche normale et dynamique : à une vitesse comprise entre 4,8 et 6,4 km/heure. Cela correspond au travail effectué de 45 à 70 % de la VO2 max et à une fréquence cardiaque de 135 à 160 battements par minute. La marche rapide : à une vitesse comprise entre 6,4 et 8 km/heure.
Courir lentement permet d'améliorer la capacité d'apports sanguins dans les muscles. En endurance fondamentale, non seulement le cœur prend du volume, mais le coureur renforce dans le même temps la capillarisation des muscles. « Les capillaires, c'est le petit réseau qui va dans les muscles.
Une cadence idéale et optimale serait, selon plusieurs études scientifiques et sportives, une cadence de 180 pas par minute, ce qui correspond à une foulée très rapide. En effet, la plupart des coureurs sont à 140 pas / minute de manière générale.
Pour y arriver, l'idéal est d'adopter une foulée médio pieds (le médio pied entre en 1er en contact avec le sol. Cette foulée est considérée comme la manière « naturelle » de courir), d'augmenter sa fréquence de course et d'atteindre les 170-180 pas par minute.
La fréquence cardiaque moyenne au repos étant de 70, chaque minute notre cœur envoie 4 900mL, 4,9 L, dans l'organisme. Prenons un athlète entraîné, ce volume peut monter à 27 000mL, soit 27L par minute sur un effort submaximal à 180 pulsations minute.
Pour améliorer sa foulée et courir sur le milieu du pied, il faut adopter une cadence entre 170 et 190 pas par minute en général. Il est donc conseillé de s'approcher d'une cadence de pas autour de 170 pas par minute afin d'améliorer sa foulée de course.
Cela correspond simplement au nombre de pas que vous faites par minute lorsque tu cours. Un coureur débutant a tendance à courir autour de 155 à 160 pas par minute alors qu'il a été démontré scientifiquement que la « cadence idéale » est de +/- 180 pas minute.
Les séances de vitesse spécifiques au 10 km se divisent en 3 parties. Les répétitions courtes n'excédant pas les 30 secondes. Comme les 30/30, 8 x 200 m ou les sprints ils ont pour but de développer la VMA et la puissance musculaire. Ensuite, les fractionnés moyenne distance, leur durée ne dépasse pas les 2 minutes.
Pour brûler des calories issues des graisses, il est nécessaire de maintenir la vitesse entre 5 km/h et 8 km/h pendant 30 à 50 minutes au minimum. Prévoyez d'ailleurs toujours 10 minutes d'échauffement avec une marche à votre vitesse naturelle pour prévenir le corps, le cœur et la tête !
La course améliore plus nettement la santé que la marche, et c'est un meilleur investissement en terme de temps, puisque les bénéfices arrivent plus rapidement. Toutefois, même un tout petit peu de course augmente les risques de blessures.
Un mouvement de marche efficace utilise presque tous les groupes de muscles qui se trouvent dans les jambes, pas seulement un. Pendant que vous marchez, visualisez la poussée de votre pied en arrière qui utilise les muscles de vos cuisses pour se propulser vers le talon de l'autre pied.
Courez en côte sur une distance d'environ 150 m avec une intensité de 90 à 95 % de votre effort maximum et répétez cet exercice entre six et dix fois. Faites de longues et puissantes foulées avec un tronc fort et stable. Pour vous reposer, redescendez en marchant ou en courant lentement.
"Le marathon peut être couru quel que soit l'âge, même à 70 ans ! Il faut juste courir régulièrement avant de se lancer dans une telle course, et avoir gagné l'habitude de courir plus de 2 heures. [...] La course est le sport le plus facilement accessible à tous.
Pour expliquer cette emprise africaine sur la course de fond, depuis bientôt trois décennies, tout un tas de scientifiques avancent différentes thèses. Bien évidemment : l'alimentation, la façon de s'entrainer, l'altitude, la charge d'entrainement, (quasi) tout a déjà été étudié.
Plus précisément, ces athlètes brilleraient au niveau mondial parce qu'ils sont issus de régions situées en altitude, ce qui aurait conduit à engendrer chez eux des adaptations spécifiques qui expliqueraient leurs performances.
L'Antiquité
montrent des scènes de courses ; le site de Cnossos a révélé que le sport était pratiqué en Crète dès le xv e siècle avant J. -C. ; mais le véritable acte de naissance de l'athlétisme se situe en 776 avant J. -C., à Olympie.