(Lettre) Appelé i grec en raison de l'emprunt de la lettre upsilon dans l'alphabet grec ancien où il dénote tout d'abord le son \y\ (u français) absent du latin avant de se prononcer — en latin comme en grec — \i\. (Pronom personnel 1) Du latin hic (« ceci ») ; a évincé l'ancien français iv , du latin ibi (« ici »).
Nom. En latin, Y est appelé Y graeca, « Y grec », et prononcé I graeca, « I grec », puisque le son du grec classique /y/, semblable au ü de l'allemand moderne ou au u français, n'était pas un son natif pour les locuteurs latins, la lettre ayant été initialement utilisée pour épeler des mots étrangers.
Cette lettre se prononce u ( ύψιλον). Pour des historiens philologues, cette lettre est vraisemblablement passée dans l'alphabet latin pour dénoter le son u absent du latin. Dans le latin tardif, et dans notre Moyen Âge, elle a finit par se prononcer i, la graphie y devenant une forme alternative de notre i.
Le Y était le symbole de la secte pythagoricienne. Il représente symboliquement la croisée des chemins (bivium), le choix que doit faire chaque adepte pour entrer dans la secte et suivre ses commandements, censés faire de lui un homme divin.
Y remplace un lieu introduit par une préposition (sauf DE !) Dans ce cas-là, il répond à la question “Où ?”, c'est donc un Complément de Lieu. Il s'agit souvent de la préposition À mais pas toujours !
Le pronom y remplace un complément de lieu. Ce complément de lieu (le lieu où l'on est, le lieu où l'on va) est généralement précédé d'une préposition comme “à”, “dans“, “chez“, “sous“, “en” etc. Il répond à la question “où ?” et peut être remplacé par le pronom “y”.
Richelet signale en 1680 que la « lettre qu'on appelle y [i] grec » est « presque aujourd'hui bannie de la Langue Françoise ». Adobe stock. Son pied symboliserait l'enfance, et sa fourche le choix à faire entre le vice et la vertu.
Le [y] est une voyelle typique du français : elle se prononce avec les lèvres projetées en avant, comme si on soufflait les bougies d'un gâteau d'anniversaire. Beaucoup de sons du français se prononcent avec l'avant de la bouche, les lèvres arrondies, projetées, la langue bombée.
La lettre Y est la sixième voyelle de notre alphabet. Mais, phonétiquement, on peut la considérer comme une voyelle ou comme une semi-consonne, cela dépend de son environnement. En position initiale et devant une consonne, le y joue son rôle de voyelle : ysopet, ypérite.
Dans ce sens strict, c'est l'alphabet grec, issu du phénicien, qui serait le premier alphabet. L'alphabet latin, le plus largement employé de nos jours, provient directement du grec (via Cumes et les étrusques).
Réponse originale : Pourquoi le "y" s'appelle "i grec" ? Le Y (upsilon) était prononcé u [y] en grec, mais i en latin, d'où son nom de i grec. Il passera en français avec la même valeur.
C'est la neuvième lettre de l'alphabet grec, la plus petite de toutes, qui correspond au « i » de notre alphabet.
"Y" peut remplacer un complément de lieu introduit par les prépositions dans, en, sous, sur, devant...
la lettre y après une consonne est strictement équivalente à la lettre i. 2. la lettre y après une voyelle à valeur de double i et de ce fait participe à deux syllabes.
C'est une ancienne ligature datant du Moyen Âge, réunion de deux V (d'où le nom en français, double v) ou de deux U (en anglais : double u). Chilpéric ajouta à l'alphabet quatre caractères de son invention, parmi lesquels un affecté à la prononciation qu'on a depuis rendue par le double v.
Amphigourique. Un «propos amphigourique» est un propos qui n'a pas de sens; qui est confus. Ce terme vient d'«amphigouri», à savoir «discours ou écrit burlesque, volontairement obscur ou incompréhensible», ainsi que le note Le Trésor de la langue française.
Re : Devinette: mots ayant le plus de sens différents
Comme dirait la Frisonne, c'est un «pie»-aller.
Le pléonasme est une figure de style où l'expression d'une idée est soit renforcée soit précisée par l'ajout d'un ou plusieurs mots qui ne sont pas nécessaires au sens grammatical de la phrase, et qui sont synonymes. C'est un mode d'expression aussi fréquent dans la langue littéraire que dans le langage familier.
« Y a-t-il » est la bonne formule
On ne peut pas appliquer cette règle de l'apostrophe et donc écrire « y-a-t'il » car le « t « ne remplace pas le pronom « te ». Le « t » est ajouté pour permettre de ce qu'on appelle, une liaison euphonique c'est-à-dire une liaison entre 2 voyelles.
There are peut se traduire par il y a ou il existe. There are prend systématiquement le pluriel.
« il/lui », « they/them », « elle/elle », « she/her/hers », « il/they », « il/elle » : toute une flopée de pronoms personnels sujets et compléments (et d'adjectifs possessifs) s'affichent.