L'alcool vous fait éliminer une grande quantité d'eau dû à l'alcool et c'est donc les cellules ; et notamment celles du cerveau (neurones et cellules gliales) qui souffrent et sont déshydratés ! Votre organisme est en souffrance et a besoin de résoudre ce déficit hydrique.
La bière : Malgré la sensation de fraîcheur, la bière, à cause de l'alcool qu'elle contient déshydrate l'organisme.
Déshydratation
Tel un diurétique, l'alcool favorise la déshydrations de l'organisme et notamment de la peau. Si l'on encourage à boire beaucoup d'eau après les excès c'est notamment pour éliminer les toxines de l'alcool et permettre au corps de se réhydrater.
Effet bénéfique : la consommation d'alcool (légère à modérée) peut offrir une protection contre les maladies coronariennes aux personnes âgées de 40 ans et plus. L'alcool aide à augmenter le taux de bon cholestérol dans le sang. Par conséquent, il peut contribuer à la réduction de plaques dans les artères.
Les boissons contenant plus de 10 % d'alcool empêchent la synthèse de vasopressine. Elles inhibent donc cette réabsorption, au profit d'une production accrue d'urine. Laquelle est responsable de la déshydratation et de la sensation de soif.
Buvez 1,5L à 2L d'eau par jour
Il est donc important de bien boire, à savoir entre 1,5L et 2L d'eau par jour, pour que le foie puisse faire son travail correctement et éliminer les déchets. C'est pour cette raison qu'il est particulièrement important de boire beaucoup d'eau lorsque l'on consomme de l'alcool.
Le stade le plus précoce et le plus courant de la maladie du foie liée à l'alcool est appelé stéatose hépatique. La stéatose hépatique désigne une accumulation excessive de graisse à l'intérieur des cellules du foie, ce qui rend plus difficile le fonctionnement du foie.
Il augmenterait plus particulièrement le risque de développer certains cancers : voies digestives, œsophage, foie, sein, cancer colorectal. Pour limiter les risques de cancers, il est donc conseillé d'abandonner la consommation d'alcool ou de la réduire drastiquement.
L'alcool est une substance psycho-active: il modifie l'activité du cerveau, nos sensations et notre comportement. Consommer de l'alcool peut, par exemple, provoquer une désinhibition, des troubles de l'équilibre, de la mémoire ou des émotions.
Les chercheurs ont conclu qu'en terme d'hydratation, l'heureux gagnant, classé au numéro 1 du podium est… le lait écrémé.
Résultat : le lait écrémé arrive en tête. Bien que l'eau fasse un excellent travail d'hydratation et agisse immédiatement sur le corps, il manque quelques ingrédients clés pour qu'elle fonctionne vraiment efficacement dans l'organisme, expliquent les chercheurs.
Elle est peut-être simplement déshydratée. Sensation de tiraillement, peau rêche au toucher, persistance d'un pli après avoir pincé la peau entre deux doigts, sont les 3 principales indications qui doivent vous alerter.
Même sans être un très gros consommateur ou alcoolo-dépendant, la consommation d'alcool a une influence sur le développement de nombreuses pathologies : cancers, maladies cardiovasculaires et digestives, maladies du système nerveux et troubles psychiques...
Si vous êtes au régime, gardez en tête que la bière, le vin blanc sec, le vin rouge et le champagne sont les boissons les moins caloriques.
Des chercheurs du King's College London viennent de publier une étude dans le journal Gastroenterology, dans laquelle ils affirment que le vin rouge serait bon pour le microbiote intestinal.
Un ventre qui dégonfle
"Un ventre gonflé est typique des buveurs de bière par exemple, ce sont des gens très minces avec des gros ventres à cause de l'alcool, de son action déshydratante sur l'organisme et du manque d'eau" argue le spécialiste.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
En arrêtant brusquement une consommation excessive d'alcool, vous risquez de faire une crise d'épilepsie (que vous ayez déjà fait précédemment une crise d'épilepsie ou non n'a pas vraiment d'incidence).
Elle réduirait les risques de formation de caillots sanguins, révélait il y a quelques années le Journal de Montréal. Des études menées par Harvard ou encore le National Center for Biotechnology Information soulignaient que le whisky diminuerait les risques de crise cardiaque, en plus d'être riche en antioxydants.
Ces chercheurs se positionnent donc à contre-courant de la plupart des études qui démontrent un effet globalement néfaste de l'alcool sur les reins dû à une augmentation de la tension artérielle, facteur de risque de l'insuffisancerénale.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Oubliez l'idée reçue comme quoi les alcooliques sont minces parce qu'ils ne mangent pas assez. Au fait, il s'agit d'ordre métabolique. L'alcool agissant tel une« calorie vide » ne compte pas dans la prise de poids. L'alcool ingéré par les buveurs réguliers est métabolisé dans un système spécifique.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
Le rhinophyma (nez volumineux et sanguin).