« Tout ne s'explique pas toujours », indique ainsi un infectiologue interrogé par France Inter . « On peut l'attraper ou pas parce qu'on est à l'instant T plus ou moins en forme avec un système immunitaire plus ou moins efficient.
Environ 15 % à 30 % des cas de COVID-19 seraient asymptomatiques. Mon impression, c'est que je suis un peu immunisé à la COVID-19, parce que j'ai un gène ou un anticorps quelconque.
Certaines choses échappent à une explication rationnelle
Un des axes de recherche serait, par exemple, de réussir à mieux cerner le profil immunitaire de chacun, pour pouvoir adapter efficacement la réponse vaccinale.
Au début de l'année 2021, 34 études comparant des patients à des « contrôles » ont ainsi rapporté une association entre le risque d'infection à la Covid-19 et le groupe sanguin. Ces études ont notamment pointé du doigts un risque diminué pour les personnes de groupe sanguin O, même si cette diminution reste relative.
La durée médiane d'incubation de la Covid-19 est initialement de 5 jours mais elle s'est réduite à 3 jours avec Omicron. On peut donc compter environ 3 jours entre le moment où on est en contact avec le virus et le moment où les premiers symptômes apparaissent si on est contaminé.
Les données d'Amy Barczak, publiées sur medRxiv, suggérant qu'un quart des sujets contaminés par le variant Omicron pourraient encore être contagieux plus de huit jours après l'avoir rencontré.
En observant des milliers de données, les chercheurs ont constaté que les patients du groupe sanguin O sont mieux protégés face au Covid-19. : "Le groupe sanguin O semble protecteur par rapport aux types non O."
Plus de risques de cancers pour le groupe sanguin A
Au niveau du cancer, les recherches scientifiques montrent que les personnes qui appartiennent au groupe sanguin A ont plus de risque de développer un cancer de l'estomac.
Quel groupe sanguin est le plus à risque de Covid selon les études ? Selon les études, le groupe O serait le plus protégé face à l'infection au Covid.
sensation de brûlures de la peau ; douleurs musculaires ou articulaires, mal au dos, avec sensation de faiblesse motrice, d'engourdissement désagréable ou de fourmillement au niveau des membres ; maux de ventre (brûlures et crampes de l'estomac, douleurs de l'intestin) ; douleurs le long des vaisseaux et acrosyndrome.
Positif ne signifie pas toujours contagieux
Ces débris d'ARN viral peuvent parfois rester dans l'organisme longtemps après la fin de l'infection et l'élimination du virus.
Mais alors, que se passe-t-il chez les personnes dont la température corporelle ne s'élève pas en cas d'infection? «Leur organisme présente peut-être un déficit sélectif de production de cytokines, ce qui peut entraîner un déficit de l'inflammation, avance Thierry Calandra.
Une première raison qui pourrait expliquer pourquoi vous tombez régulièrement malade est votre niveau d'exposition à un virus particulier et le fait que vous preniez ou non des précautions pour vous en prémunir. Ensuite, il y a la façon dont votre système immunitaire réagit à cette exposition.
Après un Covid il faut incontestablement se reposer ; mais sans, pour autant, rester inactif. Au contraire, il est important de retrouver une bonne condition physique le plus rapidement possible en renforçant ses muscles et en augmentant sa capacité pulmonaire.
Le risque est à son degré le plus élevé lorsqu'un membre de votre famille proche est atteint de certains types de cancer, comme le cancer du sein ou le cancer colorectal.
Taux de survie compris entre 20 % et 80 % : Cancer du côlon-rectum, de la bouche et pharynx, de la vessie, du rein, de l'estomac, du col de l'utérus, des ovaires, du larynx, ainsi que lymphomes non hodgkiniens et les leucémies aiguës.
Les personnes du groupe A semblent plus à même de développer des maladies que les autres. Après la Covid-19, le risque de subir un accident vasculaire cérébral précoce (avant 60 ans) serait plus important pour les personnes de ce groupe sanguin selon une nouvelle méta-analyse de 48 études publiée dans Neurology.
Aliments toxiques : Les céréales (surtout le blé) ainsi que les produits laitiers sont les aliments les plus nocifs pour les O. Oeufs, pomme de terre, porc, saumon fumé, jambon blanc, lentilles vertes, aubergine, fraise, café, noix de coco...
- Groupe B : les nomadesLes aliments à privilégier sont les viandes, sauf le poulet, la caille et le canard ; les œufs ; les produits laitiers ; la plupart des fruits et légumes, exceptée la tomate. Presque toutes les céréales sauf le riz, le millet et l'avoine. Les produits dérivés du soja sont à éviter.
Groupe O. Bien manger : si vous aimez la viande et que vous appartenez au groupe O, vous êtes paré. Ce régime met l'accent sur la viande rouge, les fruits de mer et la volaille, comme le poulet et la dinde. Certains légumes sont acceptables comme les épinards, le brocoli, le chou frisé et le varech.
En cas de symptômes, il est recommandé de faire rapidement un test et de respecter les gestes barrières. Si le test est positif, l'isolement n'est plus obligatoire mais vous devez respecter certaines mesures de précaution et surveiller l'aggravation des symptômes.
Les personnes ayant contracté le variant Pirola peuvent avoir des symptômes ressemblant à une grippe avec une fièvre de 38 °C pendant quelques jours, un rhume sévère et des maux de tête. L'une de ses particularités est sa nette asymptomaticité, rendant très compliquée sa détection.
Fin 2023, c'est le variant BA. 2.86 (aussi appelé Pirola) qui est sous surveillance. Il "reste à des niveaux faibles mais sa détection à l'échelle mondiale tend à augmenter lentement" souligne Santé Publique France. En France, une tendance à l'augmentation de BA.