La compression audio est un effet de dynamique qui permet de contrôler l'amplitude d'un signal, c'est à dire de gérer les différences entre les sons les plus faibles et les sons les plus forts d'une source sonore.
Le compresseur est la plupart du temps, inséré entre la basse et l'ampli, il permet donc de lisser les crêtes avant d'attaquer le pré-ampli. Il permet donc de régler le gain d'entrée du pré-ampli beaucoup plus haut, et permet l'obtention d'un meilleur volume sonore avec le même nombre de watt que sans compression.
Il est donc mieux entendu, y compris dans des lieux très animés comme la rue ou le métro. Mais en même temps ces sons véhiculent une énergie importante, ils fatiguent l'oreille qui n'est pas faite pour supporter cette stimulation permanente. L'oreille a besoin de temps de silence, de temps de récupération.
Compresser veut dire « atténuer » ou « diminuer ». La fonction première d'un compresseur est de diminuer, de lisser la dynamique d'un son. Cela veut dire : au delà de tel volume, il faut atténuer le son. Cela a pour conséquence de réduire l'écart entre les sons les plus faibles et les sons les plus forts.
De quoi s'agit-il ? Un son « compressé » est un phénomène qui consiste à réduire les écarts entre les sons forts et les sons faibles, en le « tassant » de manière électronique.
La première chose que vous allez devoir faire est d'assigner le kick dans un nouveau mixeur et d'ajouter un compresseur. Ceci va nous aider à donner plus de punch à notre kick et à mieux entendre les basses fréquences. Ensuite, allez-y et ajuster l'attaque.
En théorie, un compresseur est un processeur d'amplitude pouvant être utilisé pour réduire (comprimer) la plage dynamique d'un signal. Comme nous l'avons vu, un compresseur peut également être utilisé pour augmenter (élargir) la plage dynamique d'un signal, en accentuant les transitoires.
Généralement, un compresseur optique convient mieux aux signaux contenant moins de transitoires, car les temps d'attaque sont beaucoup plus lents. Les applications idéales seraient le chant, la basse ou les instruments à cordes.
Le 1176 est sans doute l'un des compresseurs les plus utilisés dans le monde de la musique. Versatile, il fonctionne aussi bien sur des voix, des batteries, des guitares que sur des synthétiseurs.
L'effet appliqué sur une basse permet de réduire le volume, généralement en début de temps, lorsque le kick tape puis le faire remonter progressivement. Alors de quoi s'agit il exactement? L'intérêt de ce process est de compresser le volume d'une piste en fonction de celui d'une autre piste.
Le principe du sidechain est d'affiner la réaction du processeur à partir d'un signal externe. Dans ce processeur, on a un circuit supplémentaire dont le signal, qui est le signal de commande, qui sert uniquement au déclenchement du traitement. Ce signal de commande n'est pas audible dans la sortie audio du processeur.
Elle s'exprime en Hertz, noté Hz, et correspond à un nombre par seconde. La hauteur d'un son pur est la fréquence de l'onde sonore associée. Plus la fréquence est élevée, plus le son est aigu. L'inverse de la fréquence, qui s'exprime en seconde, s'appelle la période de la sinusoïde.
Ainsi, les sons complexes sont les sons naturels, comportant plusieurs sons pouvant être séparés lors d'une analyse spectrale. Dans un orchestre, un violoncelle et un piano peuvent jouer la même mélodie, à la même hauteur, à l'unisson… et pourtant on distingue parfaitement les deux instruments !
La compression dynamique augmente le niveau des sons de faible intensité et/ou diminue ceux d'intensité supérieure afin de réduire les écarts entre les sons forts et les sons faibles.
C'est assez simple à régler, il faut limiter le signal à 0dB (seuil 0dB, taux de compression infini) si la sensibilité de sortie du limiteur est la même que la sensibilité d'entrée de l'ampli. Donc, il faut connaitre la sensibilité d'entrée de l'ampli… sur certains ampli « pro » elle se règle par cavaliers en interne.
Le taux de compression ainsi défini est donné par la formule : τ = [Volume final] / [Volume initial]. C'est donc l'inverse du quotient de compression q. L'autre définition exprime le taux de compression comme le gain en volume rapporté au volume initial des données.
Un circuit donne la valeur moyenne ou la valeur efficace du signal d'entrée. Ce signal d'enveloppe est comparé à un seuil (threshold). La sortie d'un comparateur est à zéro en dessous du seuil, et est égale au signal d'enveloppe au-dessus.
Avec un compresseur, vous allez compresser le son juste après les pics. Cela veut dire que vous devrez utiliser une attaque plus lente, pour que la compression ait lieu une fois le transitoire passé. De cette façon, les sons qui ne sont pas des pics seront atténués.
Equalisation. Si vous boostez les mêmes fréquences sur la basse que sur la grosse caisse, celles-ci vont entrer en compétition et créer un mix flou. Généralement j'applique un filtre pass-haut sur la basse pour couper les fréquences molles jusqu'à 30Hz, voir 47Hz.
Solution: Utilise la compression parallèle. Ce qu'il faut faire: Pour utiliser la compression parallèle, duplique ton signal. Le premier signal sera le signal clair, le second le signal compressé. Et puisque tu en as deux, vas-y à fond sur le deuxième, mets beaucoup de compression.
MXR Dynacomp – la plus polyvalente
Ainsi, le MXR Dynacomp est un compresseur multibandes parfaitement adapté au jeu à la guitare et il permet une utilisation simple via deux boutons. L'un contrôle le seuil de compression et l'autre le volume de sortie, et la pédale gère tout le reste (attaque, ratio, release…)