Cette expression est née au cours du XXe siècle et est utilisée dans le langage courant pour désigner les personnes de profil moyen représentant la société dans laquelle elles vivent.
Le commun des mortels,
n'importe qui, tout un chacun.
Définition "le commun des mortels"
Les gens, les êtres humains.
Le poète, un être sensible
Être plus sensible que le commun des mortels, il perçoit le monde de façon plus aiguë et ressent d'une façon plus intense tout ce qui l'entoure.
1. Qui est sujet à la mort, par opposition aux dieux, à l'Être éternel : L'être humain est mortel. 2. Qui est susceptible de mourir à un moment ou à un autre : Nos civilisations sont mortelles.
Synonyme : endormant, ennuyeux, lassant, lugubre, pénible, sinistre, soporifique. – Familier : assommant, enquiquinant, mourant, rasant, rasoir, soûlant, tuant. – Populaire : emmerdant, suant.
mortalis «sujet à la mort, périssable; humain, mortel; des mortels» − subst. «être humain» − ; «mortel, qui donne la mort», spéc.
Hugo privilégie dans la fonction du poète : la communion avec les autres et leurs souffrances, leurs problèmes. Il confie au poète la mission d'orienter l'histoire, de guider vers la lumière, le progrès.
Quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. », préface des Contemplations, 1856. Le grand romantique du XIX ème siècle aborde dans cette citation la fonction universelle du poète. Même si le poème est lyrique, développe l'expression de sentiments personnels de l'auteur, il possède une portée générale.
Pour Baudelaire, la poésie est un moyen d'expression du moi, de l'intériorité et de l'intime. C'est aussi le cas, par exemple, de Lamartine. En effet, la poésie permet au poète d'épancher des sentiments, des passions, des états d'âme, souvent teintés de désespoir et de mélancolie.
2. Qui se rencontre fréquemment. Synonyme : accoutumé, banal, connu, courant, fréquent, habituel, ordinaire, répandu, usuel.
Locution adjectivale. Que l'on ne rencontre pas ordinairement.
(Littéraire) (Vieilli) Les mœurs générales, les événements ordinaires de la vie, par opposition à la condition des princes, des héros, etc.
communément adv. Suivant l'usage commun ; couramment, habituellement, généralement.
Qui appartient, qui s'applique à plusieurs personnes ou choses (opposé à particulier, individuel).
Au pluriel. Les communs, dans un hôtel particulier ou un château, les bâtiments qui abritent les cuisines, les écuries, les garages et, plus généralement, les différentes parties du service.
Dans cette formule de Rimbaud, il y a une association paradoxale entre le « je » et « autre » qui sont deux concepts opposés. Rimbaud identifie le « je », le « moi » à « autre », à l'altérité, à ce qui est autre que le moi.
quand je vous parle de moi, je vous parle de vous. Comment ne le sentez-vous pas? Ah! insensé qui croit que je ne suis pas toi!"
Est-ce donc la vie d'un homme ? Oui, et la vie des autres hommes aussi. Nul de nous n'a l'honneur d'avoir une vie qui soit à lui. Ma vie est la vôtre, votre vie est la mienne, vous vivez ce que je vis ; la destinée est une.
Pour traduire cela, le poète choisit des symboles : La Route, pour la destiné ; Le Cyprès, pour l'angoisse de mort ; L'Ombre du cyprès pour l'écoulement du temps ; La Haie, pour les épreuves ; La Flûte, pour l'expression d'une poésie lyrique simple et naïve ; La Lune qui se lève, pour l'espoir naissant…
Malheur à qui prend ses sandales Quand les haines et les scandales Tourmentent le peuple agité ! Honte au penseur qui se mutile Et s'en va, chanteur inutile, Par la porte de la cité !
létal, létale, létaux
1. Se dit d'un gène, d'un génotype ou d'un remaniement chromosomique qui n'est pas compatible avec la vie de l'individu. 2. Qui entraîne la mort.
MORTIFÈRE, adj. Qui cause la mort. Synon. mortel, vénéneux, toxique, délétère.
Qui a cessé de vivre, décédé.