Elle est due au gel d'une mince couche d'eau laissée sur la chaussée antérieurement par une fine pluie ou par la fonte de neige quand la température était au-dessus du point de congélation.
Les tempêtes de verglas sont causées par la pluie verglaçante, qui se produit lorsque les gouttelettes tombent d'une couche d'air chaud dans une couche d'air sous le point de congélation et passent à l'état de surfusion.
Le verglas se forme sur les routes et trottoirs quand les températures sont négatives ou proches de 0, souvent le soir ou tôt le matin. Il apparaît notamment à l'ombre, dans les sous-bois ou sur les ponts.
Le verglas se forme en hiver lorsque des précipitations tombent d'un nuage évoluant dans une couche d'air dont la température est inférieure à 0°c. Ces précipitations traversent alors une couche d'air plus doux, dont la température est supérieure à 0°, puis terminent leur course sur le sol.
La recette est simple : mélanger 2/3 de part d'alcool à friction avec 1/3 d'eau, mettre la solution dans une bouteille et pulvériser directement sur les vitres. Après quelques secondes, vous verrez la glace disparaitre comme par magie.
Si vous roulez sur une plaque de verglas et que vous dérapez, contre-braquez. Si vos roues arrière dérapent vers la droite, tournez le volant vers la droite. Si vos roues arrière dérapent vers la gauche, tournez le volant vers la gauche. Ne lâchez jamais le volant et ne freinez pas car cela pourrait bloquer vos roues.
En cas de neige, de verglas ou de pluie, adaptez votre vitesse à l'état de la route et, en tout état de cause, ne dépassez pas les limitations de vitesse qui sont abaissées lorsque la chaussée est mouillée : 110 km/h sur autoroute (au lieu de 130 km/h), 100 km/h sur les rocades (au lieu de 110 km/h), 80 km/h sur les ...
Évitez tout mouvement brusque. Adoptez une conduite souple, sans à-coup. Si vous devez ralentir, lâcher l'accélérateur, et freinez avec délicatesse. Si vous sentez que « ça part », lâchez le frein et tentez, en douceur, de maintenir le cap en vous éloignant d'un éventuel obstacle.
Vous connaissez le verglas d'hiver, mais saviez-vous qu'il existe également le verglas d'été ? C'est un phénomène moins connu, mais tout aussi dangereux qui survient après de fortes chaleurs.
Cela pourrait être dû à la neige qui traverse des couches d'air plus froides et qui fond partiellement lorsque elle atteind des couches plus basses et plus chaudes. Dans ce cas, la couche situé au sol est au-dessus de la température de gel et il y aura de l'eau sur la route. Mais, cela pourrait aussi être l'inverse.
Ainsi, nous voyons de la pluie tomber au lieu de la neige. Ces fines particules d'eau gèlent dès qu'elles entrent en contact avec quoi que ce soit de froid. Cela forme une couche de glace à la surface des objets. C'est ce qui est appelé la pluie verglaçante, cette pluie qui se congèle uniquement au contact du sol gelé.
La recette classique d'une pluie verglaçante est une couche d'air chaud au-dessus d'une couche peu profonde d'air froid. Les gouttes de pluie tombent des nuages dans la couche d'air chaud, puis traversent la couche d'air froid où la température se maintient tout près du point de congélation.
Le 6 janvier 1998 commencent à tomber sur le sud-ouest du Québec plusieurs millimètres de pluie verglaçante. Au jour 3 de la tempête, soit le 8 janvier, la Ville de Montréal déclare l'état d'alerte et met en œuvre son plan de mesures d'urgence.
Elle tombe souvent entre 0°C et -5°C. Elle contient davantage d'eau liquide ce qui la rend lourde et pâteuse. C'est une neige aux effets dangereux : elle se compacte et adhère à la chaussée, aux câbles électriques, voire aux caténaires de la SNCF.
Freiner bien avant le virage. L'idée, c'est que la neige ayant une adhérence très minime, elle peut "coller" jusqu'à un tout petit nombre de G d'accélération... après ça glisse, patine, chasse du cul, sous-vire, part en vrille... Donc si on a une côte à monter, accélérer doucement mais longtemps à l'avance.
– La mauvaise pression des pneus.
– Des éléments de suspension avant ou arrière avec une rigidité déséquilibrée peuvent causer, dans certains cas, un survirage ou un sous-virage. Faites réviser votre véhicule pour que cela ne se produise pas. – Une mauvaise adhérence des pneus.
Tournez doucement le volant pour suivre cette direction. Par exemple, si l'arrière de la voiture glisse vers la gauche, tournez le volant vers la gauche. Vous ne devez en aucun cas lâcher le volant ou appuyer fortement sur la pédale de frein. Si vous roulez quand il neige abondamment, pensez à allumer vos phares.
Fixez les chaînes sur les roues motrices (à l'avant sur la plupart des véhicules) et retendez-les en cas de léger battement. Attention avec des chaînes la vitesse doit être limitée à 50 km/h maximum. 2) Le B-A BA : Prendre le temps de bien nettoyer son pare-brise et ses vitres. priorité absolue à la visibilité !
Au quotidien, passer un chiffon humidifié d'alcool à 90° sur le pare-brise la veille au soir aide également, tout comme du gros sel dans une chaussette. De même, il est conseillé de laisser un chiffon imbibé d'eau salée sur le pare-brise, sous les essuie-glaces.
Afin d'éviter ou de limiter la formation de givre pendant la nuit, l'idéal est de mettre en place une couverture ou une bâche de protection pour pare-brise. Il en existe de toutes sortes, en magasin ou en ligne. Certaines se fixent avec des crochets, d'autres sont prises dans les fermetures de portières avant.
L'alcool peut s'avérer être très efficace comme préventif contre le givre sur votre pare-brise : Versez de l'alcool à 90 degrés sur un chiffon et passez le sur l'extérieur du pare-brise, le soir et le matin, un jour sur deux : ceci vous assure une protection contre la formation de givre sur le pare-brise de la voiture.