Ceux qui écrivent le matin se sentent souvent «libre» pour accueillir une nouvelle journée. Ceux qui écrivent le soir ne rumineront pas toute la nuit les soucis du jour. Pour encore plus de bienfaits, on écrit à ces deux moments.
Quelqu'un peut souhaiter écrire son récit de vie : Pour utiliser le récit comme ressource thérapeutique que ce soit pour réparer une blessure, soulager sa conscience ou faire le point sur sa vie pour mieux repartir, l'écriture peut être source de réconfort, de paix avec lui-même.
Au début, on écrit pour soi, pour se faire du bien, parce que l'on en a envie. Mais en réalité, on écrit toujours pour quelqu'un, pour être lu. Si prendre la plume permet de se lâcher, d'être créatif, on a aussi envie d'être compris.
On écrit pour voyager, pour comprendre. On écrit par curiosité, on écrit pour savoir, pour transmettre des connaissances. On écrit pour faire passer quelque chose : des sentiments, des émotions. On écrit parce qu'on se sent seul, en colère, amoureux ou parce qu'on n'arrive pas à en parler.
Écrire, c'est lui livrer des pièces à convictions dont on ignore s'il les utilisera à charge ou à décharge. Parce que l'écrit fixe le langage, il renvoie souvent à la peur d'être jugé. La première lettre d'amour, comme tous les écrits qui font sens dans notre histoire, est toujours un examen de passage.
Du bon sens avant toute chose
Lorsqu'un auteur écrit comme s'il nous parlait, on ressent son authenticité. Faites des phrases courtes. La longueur idéale est comprise entre 12 et 15 mots. Au delà de 20 mots, la plupart des lecteurs ont besoin de relire la phrase pour la comprendre.
Ils ne sont pas simplement un défaut de mémorisation et une méthode de travail inadéquate. Plusieurs éléments peuvent se situer à la base des erreurs d'orthographe qui surviennent pendant une dictée ou lors de l'écriture d'un texte.
Grâce à l'écriture, on pouvait garder en mémoire des informations importantes et les transmettre. La première écriture est inventée à la fin de la préhistoire, vers 3500 avant J. -C., en Mésopotamie . Elle marque la fin de la préhistoire et le début de l'Antiquité.
L'écriture a été inventée pour faciliter le commerce et la communication, mais aussi parce qu'elle sert à compter. Par ailleurs, dans presque toutes les civilisations, l'écriture a un rapport avec les religions.
Elle poursuit que l'écriture relève d'un "bon narcissisme" : il permet de faire le point sur nous-même, de nous connaître davantage et donc de prendre place au milieu des autres. "C'est le contraire de l'exhibition du moi et de l'égocentrisme". Christilla Pellé-Douel souligne l'importance de la liberté.
Le discours écrit, en effet, n'est pas vivant, alors que le discours oral permet le dialogue. Le dialogue, c'est-à-dire la vie de la pensée. En effet, dialoguer ne signifie pas par parler à deux.
Ecrire permet de mettre de la clarté dans le tourbillon cérébral et émotionnel. Prendre le temps de les mettre en mots soulage, car, bien souvent, la prise de conscience est elle-même libératrice. Le papier devient alors le réceptacle de nos états d'âme et cela allège notre fardeau.
Interviewez quelqu'un qui joue un rôle dans l'histoire, si vous écrivez une biographie. Renseignez-vous sur sa naissance, son enfance, son éducation, son travail, sa vie amoureuse, quelques événements historiques importants mais aussi si elle a vécu des événements importants dans sa vie.
Ecrire, c'est ouvrir une porte sur le monde, son propre monde, son univers intérieur, mais aussi sur celui des autres. L'écriture permet à la fois un développement personnel, mais aussi un développement social et une ouverture interculturelle.
La rédaction clarifie votre pensée. Les pensées et les sentiments sont des choses nébuleuses dans le trou que représente notre esprit, mais la rédaction nous oblige à les cristalliser et à les ordonner de manière logique. Écrire régulièrement vous permet de vous améliorer.
Pour les auteurs de l'étude, cette propension à parler de soi renforce les liens sociaux et permet aux gens de mieux se connaître.
Dans ce sens strict, c'est l'alphabet grec, issu du phénicien, qui serait le premier alphabet. L'alphabet latin, le plus largement employé de nos jours, provient directement du grec (via Cumes et les étrusques).
L'écriture cunéiforme
Le cunéiforme est la première forme d'écriture inventée par les Mésopotamiens. Les premières traces de cette méthode de communication datent d'environ 3 300 ans av.
L'écriture favorise la reconnaissance et la mémorisation
L'écriture renforce l'attention portée aux informations, ce qui permet au cerveau de mieux évaluer et organiser les données reçues. Les idées et les concepts sont mieux assimilés et la mémorisation facilitée.
Écritures élamites
Le proto-élamite est le plus ancien et est apparu à la même époque que le cunéiforme mésopotamien, comme le montrent des tablettes d'argile, datant de 3300 av. J. -C. , découvertes à Suse, capitale d'Élam. L'écriture proto-élamite se serait développée à partir d'une écriture cunéiforme.
Vocabulaire. Une cité-État : petit État indépendant composé d'une ville et de la campagne qui l'entoure. L'écriture cunéiforme : écriture en forme de clous ou de coins, utilisée en Mésopotamie. Les hiéroglyphes : écriture formée de dessins stylisés, utilisée en Égypte.
En effet, le simple fait de coucher ses pensées sur une feuille de papier permettrait d'abord de connaître son “moi profond” mais aussi de gagner en confiance en soi, de dépasser sa timidité ou encore de faire le tri dans ses émotions. Tout un programme.
Écrire sans faute est une marque de respect. Cela démontre que vous avez pris soin de produire un écrit de qualité et que vous avez été attentif à la forme de votre message. Produire un écrit correctement orthographié vous permet de gagner en crédibilité et est une preuve de professionnalisme et de sérieux.
Chez les dysorthographiques, ce lexique orthographique n'est pas stabilisé. Ils sont ainsi capables d'écrire le même mot de manière différente d'une ligne à l'autre. L'orthographe des mots est aléatoire et souvent phonologique (les dysorthographiques écrivent comme ils parlent).