Une pression atmosphérique très faible
Sur Terre on peut observer ce phénomène lié à la pression atmosphérique, dans une moindre mesure, lorsque l'on fait bouillir de l'eau en altitude. Au sommet de l'Everest, l'eau bout à 60 degrés, alors qu'au niveau de la mer, c'est à 100 degrés précisément.
En haute montagne, à 4000 m d'altitude par exemple, la pression est plus faible; la température d'ébullition de l'eau n'est que de 85°C : la cuisson des aliments est donc plus lente! En revanche, dans un autocuiseur fermé et chauffé, la pression est élevée; l'eau bout à une température supérieure à 100°C.
Faire bouillir de l'eau en altitude
Un alpiniste atteignant le sommet du Mont Blanc verra son eau bouillir à environ 85°C, mais seulement 72°C s'il est au sommet de l'Everest. Il faudrait monter à environ 12km pour voir l'eau bouillir à 55°C.
Une baisse de pression réduit la température d'ébullition de l'eau, une hausse de pression l'augmente. Par exemple, en haut du mont Blanc où la pression (p = 0,5 bars) diminue de moitié par rapport à la pression atmosphérique, l'eau bout à 85°C, en haut de l'Everest, elle bout à 72°C.
Ainsi, pour chaque pallier de 300 mètres d'altitude, l'eau bout environ un degré plus bas. Par exemple, l'ébullition a lieu à 93° à 2000 mètres, à 85° au sommet du Mont-Blanc, et à 72° à la pointe de l'Everest – et elle ne deviendra pas plus chaude.
La pression atmosphérique diminue avec l'altitude. Plus on s'élève dans l'atmosphère, moins il y a d'air au-dessus et donc moins le poids est grand. Il y a moins d'air au-dessus du niveau de 12 km qu'au-dessus du niveau de 5 km.
C'est ce qui se passe quand le sous-sol profond (plus de 100 mètres) s'effondre sur une nappe phréatique. L'écrasement agit alors comme une main sur une éponge humide, et l'eau chassée emprunte les fissures naturelles pour s'échapper. Celles qui mènent à la surface, voire au sommet d'une montagne, donnent des sources.
Les montagnes retiennent l'eau qui tombe des nuages. On la trouve sous forme de pluie (liquide), de glaces ou de neiges. 30 a 60% de l'eau provient des bassins versant d'altitude .
La température d'ébullition descend même jusqu'à 70 °C au sommet de la montagne la plus haute sur Terre: le Mont Everest, à 8848 m d'altitude.
« Les risques de maladies cardiovasculaires ou de cancers sont moins élevés lorsque l'on vit au-delà de 1300 mètres. » Si l'altitude facilite en effet le flux sanguin, elle est également un remède simple et efficace contre l'obésité.
« Ce qui change, c'est la pression dans l'atmosphère, plus basse à haute altitude : le nombre de molécules d'oxygène dans un litre d'air diminue au fil de l'ascension... et l'on est obligé de ventiler davantage pour récupérer la quantité d'oxygène qui permet de fournir un même effort », décrit le Dr Samuel Vergès, du ...
Le sel augmente au contraire le point d'ébullition. L'eau salée mettra plus de temps à bouillir. En effet, en se dissolvant dans l'eau, le sel se décompose en ions chlorure et en ions sodium qui génèrent des liaisons avec les molécules d'eau.
Lorsque l'air chaud s'élève, il se dilate en altitude en raison de la diminution de la pression. La dilatation de l'air nécessite de l'énergie, et cette énergie est puisée dans la chaleur transportée. Cela signifie qu'en se dilatant avec l'altitude, l'air ascendant devient de plus en plus froid.
Une des principales réponses du corps à l'altitude est la stimulation de la production de globules rouges. À des altitudes plus élevées, où l'oxygène est moins abondant, le corps réagit en augmentant la production de globules rouges, qui sont responsables du transport de l'oxygène vers les tissus.
Plus on s'élève, plus la pression de l'air diminue. Si la pression est plus faible, alors l'air se dilate pour conserver le même volume, ce qui va lui coûter de la chaleur, donc il se refroidit. L'air perd en moyenne 1 degré tous les 100 mètres. Au contraire, quand on comprime de l'air, il se réchauffe.
Le Créateur a ceint l'orbe terrestre, tout autour et en son milieu, par l'eau qui converge de toutes parts vers le centre de la terre et, parce qu'elle tend vers l'intérieur, ne peut tomber.
La différence entre les deux types d'eaux vient de la composition et de la teneur en minéraux. Ce qui explique pourquoi les eaux minérales à forte teneur en fluor par exemple (1,5 mg) ne sont pas recommandées aux bébés.
Eau Neuve est obtenue par les pluies et la fonte des neiges à 2300M d'altitude. Elle est filtrée naturellement pendant 5 ans à travers la roche jusqu'à son aquifère à 43M de profondeur où elle est captée sans jamais être en contact avec l'air et la lumière.
L'eau pourrait également être issue de la nébuleuse protosolaire, avoir ensuite été stockée à l'intérieur lors de la formation de la planète puis relâchée par dégazage des magmas (contenant de l'eau liée aux silicates des minéraux hydratés et des gaz emprisonnés dont l'hydrogène et l'oxygène).
Dans le vide, l'eau bout et s'évapore à des températures beaucoup plus basses qu'à la pression atmosphérique normale. Ce phénomène est utilisé dans la transformation des aliments à la fois pour le refroidissement rapide, et économe en énergie, et pour la concentration des produits.
L'eau minérale naturelle Mont Blanc
Elle naît dans l'univers exceptionnel du Mont-Blanc.
La pression de l'eau est absolument immense à partir de 4 000 mètres de profondeur. À ce stade, la pression atteint un point de 2 kilos de pression par centimètre carré. Cette pression est absolument énorme, et engendre des mutations au sein des espèces marines survivant à de telles profondeurs.
La pression atmosphérique diminue lorsque l'on gagne de l'altitude puisqu'elle est causée par le poids de l'atmosphère (voir l'haletant article « l'origine de la pression atmosphérique« ) .
Le principe de Pascal stipule qu'une variation de pression appliquée en un point dans un fluide en milieu fermé est répartie uniformément dans toutes les directions.