On déconseille l'éosine car elle masque l'état cutané et risque de cacher une aggravation à laquelle le soignant ne pourrait guère réagir. PLAIES : On déconseille l'éosine car celle-ci ralentie le processus de cicatrisation.
Aussi, après avoir nettoyé la plaie, il faut appliquer de l'éosine par l'intermédiaire d'une compresse imbibée d'éosine. Le but de ce rituel n'est autre que de dessécher la plaie et d'accélérer ainsi le processus de cicatrisation.
La merbromine, plus connue sous son nom commercial Mercurochrome, est un composé organomercuriel utilisé comme antiseptique topique. Ce produit n'est plus commercialisé aux États-Unis depuis le 19 octobre 1998 et en France depuis 2006 car cette substance présente des risques d'empoisonnement au mercure.
Quelle différence avec la bétadine ? La différence entre l'éosine et la bétadine relève de leur composition et de leur spectre d'activité. "La bétadine est composée d'iode qui est libérée lentement et progressivement et a un effet bactéricide qui va apparaître rapidement, au bout de 5 min in vitro.
Ce médicament à usage externe prévient la prolifération des bactéries et des micro-organismes susceptibles de surinfecter la plaie et d'entraîner la macération. L'éosine installe en effet un terrain favorable au processus de réparation et de cicatrisation des plaies.
La Solution d'Éosine à 2 % de Mercurochrome est une solution aqueuse qui comprend de l'éosine, un colorant réputé pour ses propriétés asséchantes. Légèrement désinfectant, ce produit permet surtout d'éviter l'humidité de la peau dans des zones propices à la macération et à l'infection.
Ne pas utiliser d'éosine. On utilise la TROLAMINE (BIAFINE) de préférence.
Les antiseptiques les plus couramment utilisés sont les biguanides (chlorhexidine et hexamidine), ainsi que les dérivés du chlore et de l'iode. Il faut préférer les antiseptiques sous formes unidoses ou les petits flacons (une fois ouverts, les antiseptiques peuvent, paradoxalement, être contaminés).
Les meilleurs antiseptiques pour la peau. L'alcool éthylique : en bouteille ou en compresse, l'alcool est très efficace contre les virus et bactéries : il tue neuf germes sur dix en trente secondes. Contrairement aux idées reçues, l'alcool à 70° est préférable à l'alcool à 90°.
Le sel marin aurait même tendance à irriter la peau. Il n'a en rien des capacités permettant de stériliser ou d'aider à cicatriser une plaie. L'eau de mer étant salée, elle possède un fort pouvoir décapant, ce qui risque de creuser la plaie.
Evitez : - l'alcool, qui est irritant et peut aggraver les lésions et retarder la cicatrisation car une peau blessée est très sensible. - l'éosine, le mercurochrome, la bétadine, qui vont colorer la plaie et camoufler une éventuelle complication.
L'Iso-Betadine est un désinfectant qui est, entre autres, utilisé pour soigner les plaies. Il contient de la polyvidone, d'où l'appellation désinfectant à large spectre. En effet, il tue les microbes, tels que les bactéries, les champignons et les virus. De plus, ce produit ne pique pas lorsqu'il est appliqué.
Éosine Cooper 2%, unidose est un antiseptique local. Ce médicament est préconisé en cas de peau irritée, notamment en cas d'érythème fessier du nourrisson (fesses rouges). Sa substance active est l'éosine disodique, dosée à hauteur de 2,00 grammes pour 100 ml de solution.
Quand faut-il laisser la plaie à l'air libre ? Si votre blessure est en phase de cicatrisation, vous devriez la laisser à l'air libre. En effet, en réduisant l'apport d'oxygène, vous pourriez favoriser la prolifération des bactéries qui aiment vivre « enfermées ».
Causes empêchant ou retardant la cicatrisation d'une plaie
Les infections dues à des bactéries, des champignons ou des parasites ont un effet négatif sur la cicatrisation. Des maladies du sang sous-jacentes telles qu'une anémie ou des troubles de la coagulation peuvent retarder la cicatrisation.
Le miel comme cicatrisant naturel
Il rappelle dans sa thèse « Le miel comme agent cicatrisant » que les plaies soignées avec du miel se referment de façon spectaculaire et en très peu de jours. Le miel permet aussi d'améliorer l'aspect des cicatrices.
Ce médicament est un antiseptique local qui contient de l'iode. Il est utilisé pour l'antisepsie de la peau avant une opération, des plaies, des brûlures superficielles peu étendues et dans le traitement d'appoint des lésions de la peau et des muqueuses, infectées ou exposées à un risque d'infection.
Protégez la plaie.
Recouvrez la plaie d'un pansement adhésif prêt à l'emploi ou confectionné vous-même, avec une compresse stérile et un sparadrap. Cela favorise la cicatrisation en maintenant la peau humide. Pour les brûlures au deuxième degré, employez de préférence un pansement gras (ou « interface »).
Pour aider la peau blessée à guérir, utilisez de la vaseline pour garder la plaie humide. La vaseline empêche la plaie de se dessécher et de former une croûte. Les plaies avec des croûtes mettent plus de temps à guérir. Cela aidera également à empêcher une cicatrice de devenir trop grosse, profonde ou irritée.
Lorsqu'une plaie ne cicatrise pas endéans le mois, on parle alors d'une plaie chronique.
Lorsqu'on a une plaie, le corps envoie des agents chimiques aidant la guérison. Parmi ces agents, il y a l'histamine (présente également lors de certaines réactions allergiques). Celle-ci provoque la démangeaison, et voilà le travail.
Ne pas utiliser EOSINE AQUEUSE STERILE TEVA 2 %, solution pour application cutanée en récipient unidose après la date de péremption mentionnée sur la boîte.
Grattez à l'aide d'une pierre-ponce puis passez sur la peau un linge doux imbibé de jus de citron mélangé à de l'eau oxygénée. Si cela ne suffit pas, frottez la peau avec une pierre ponce ou le côté abrasif d'une éponge mouillé d'alcool à 90°.