En cas de problème lors des phases de décollage ou d'atterrissage nocturnes, susceptibles de conduire à un accident, la réduction préalable de l'intensité lumineuse dans la cabine permet aux yeux des passagers de s'adapter à l'obscurité.
On diminue les lumières pour des raisons de sécurité
Il faut savoir que la plupart des accidents se passent au décollage ou à l'atterrissage et que ce sont donc des moments critiques du vol où les conditions de sécurité doivent être maximales.
En effet, au décollage ou à l'atterrissage, le personnel de bord a besoin que les stores des hublots soient ouverts afin de pouvoir s'apercevoir le plus rapidement possible s'il y a un problème à l'extérieur de l'avion. Ainsi, il n'y a aucun angle mort ou presque.
Tout d'abord, cela permet à vos yeux de s'adapter à la luminosité extérieure. Si vous volez de jour, vous ne vous retrouverez pas à sortir en plein soleil d'un appareil plongé dans le noir en clignant des yeux ; si c'est un vol de nuit, vous verrez mieux !
Garder les hublots ouverts permet en réalité aux agents de bord d'avoir la vue dégagée et ainsi juger par quel côté de l'avion une potentielle évacuation serait la plus sûre.
Si les avions sont conçus pour résister aux turbulences, ce n'est pas le cas des êtres humains. Garder sa ceinture attachée permet tout simplement de ne pas être blessé lors de « trous d'air », ou de turbulences imprévues.
Mais surtout, on va activer le fameux signal « Attachez vos ceintures ». Début du stress pour un tiers des passagers de chaque avion. L'objectif de ce signal est dans ce cas d'inciter les passagers les personnels de cabine à s'asseoir et s'attacher afin d'éviter de se cogner…
Fort heureusement, l'avion est passé en pilotage automatique et n'a pas connu d'incident majeur. Une mésaventure qui renforce les craintes sur l'épuisement des pilotes. Y a-t-il des pilotes dans l'avion ? Oui, mais ils dorment.
Des mythes à déboulonner et des questions qui trouvent réponse dans l'univers du voyage et de l'aviation. Dans les appareils Boeing, les pilotes vont dormir dans un espace situé près du poste de pilotage, entre le plafond de la cabine et la carlingue de l'avion.
L'air passe sur ses ailes bombées et quand la vitesse est suffisante, l'accélération les fait monter comme si elles étaient aspirées vers le haut. En même temps, le dessous de chaque aile étant plat, l'air qui arrive par en-dessous “pousse” l'appareil.
Les éclairages des avions sont abaissés lors des décollages et des atterrissages ainsi que la nuit. La raison en est toute simple, à savoir, le fait d'habituer les yeux des passagers et des membres du personnel à l'obscurité.
Que ça soit pour rouler au sol ou voler, un avion utilise la même source de poussée : ses moteurs. Certes, le régime des moteurs au sol est très faible mais c'est bien lui qui permet d'avancer, et non une quelconque motorisation située dans les roues, d'où la problématique de la marche arrière.
Pour les avions
En général, les aéroports se ferment aux vols commerciaux entre 23h et 06h du matin, afin de respecter des accords en matière de nuisances sonores. En pratique, ce n'est pas une règle universelle puisqu'il n'est pas rare, surtout l'été, de voir des vols commerciaux atterrir après 2 ou 3h du matin.
Les feux. Comme tout véhicule (sauf les cyclistes suicidaires la nuit), les avions possèdent des feux. Il y a les principaux : les phares d'atterrissage qui éclairent la piste lors du décollage ou de l'atterrissage, mais aussi les phares de roulage utilisés au sol.
On se sent fatigué
En effet, la quantité d'oxygène dans un avion est comparable à celle rencontrée à une altitude de 2 000 mètres en montagne. Notre sang absorbe moins d'oxygène à cette hauteur, c'est pourquoi on se sent fatigué, voire étourdi.
Les recourbures au bout d'ailes, communément appelé « Winglets », permettent de réduire la trainée induite et par conséquent réduire la consommation de carburant. Comment ? L'écoulement de l'air au-dessus et en-dessous de l'aile crée des tourbillons en bout d'aile créant ainsi des frottements supplémentaires .
Le siège du pilote se trouve juste devant le moteur et entre deux radiateurs et ils portent un casque et plusieurs couches de vêtements résistant au feu, de sorte que le cockpit d'une voiture de F1 devient très chaud et les pilotes peuvent perdre plusieurs kilos de poids en transpiration pendant une course et finissent ...
Les hôtesses de l'air qui sont affectées sur les longs courriers disposent de véritables petites cachettes à bord des appareils. Ces endroits sont parfaits pour faire une sieste ou un repos de quelques heures durant le vol.
Un galet est la zone de préparation et de stockage des prestations alimentaires de l'avion. Voici une petite observation de l'organisation d'un galet. Beaucoup de caissons. Organisés par des étiquettes à codes barres.
Après le bac
2 ans pour préparer le diplôme d'élève pilote de ligne de l'Enac (École nationale de l'aviation civile). La formation est accessible sur concours avec un bac + 1 scientifique.
Le passager aérien est une personne qui utilise les services d'une compagnie aérienne pour effectuer un déplacement.
Dans le souci de préserver la vie privée de nos passagers, les données d'embarquement et détails du vol ne seront révélés à aucun tiers.
Essayez de vous dégager de l'allée aussi vite que possible pour permettre aux autres de passer. Si l'avion est plein, ne mettez pas votre manteau ou petite valise dans le compartiment des bagages à main avant que tout le monde ait embarqué dans l'avion.
Leur utilité est indispensable pour éviter les troubles d'hypoxie c'est-à-dire la diminution de la quantité d'oxygène dans le sang et donc l'asphyxie. Pour retrouver un air respirable, le pilote doit descendre rapidement l'appareil sous une altitude de 3 000 mètres, là où l'air est suffisamment oxygéné.
La ceinture de sécurité doit passer sur l'épaule, et non à la base du cou. La sangle basse doit appuyer sur les os du bassin qui peuvent supporter une pression considérable en cas de choc, contrairement au ventre qui est le centre d'organes vitaux.