La liaison est obligatoire quand il y a un déterminant et après un nom. Par exemple, on dit “un_ami”. Ce que je t'ai dit dans le cas général est toujours vrai. Le premier mot doit se terminer par une consonne, le deuxième doit commencer par une voyelle.
La liaison se fait toujours : Entre le déterminant (un, des, les, mon, ton, son, mes, tes, ses, nos, leurs, aux, aucun, tout, quels, quelles, quelques) et le nom.
Aujourd'hui, l'absence de liaison est devenue monnaie courante. "On ne fait plus de liaisons car on n'apprend plus la règle des adjectifs numéraux", précise Jean-Joseph Julaud, un ancien professeur de français qui organise la dictée du Salon du livre de Paris samedi 19 mars.
I. Règle générale
On fait, à l'oral, une liaison entre deux mots lorsque le premier se termine par une consonne muette et le second commence par une voyelle ou par un 'h' muet. La liaison unit à l'oral deux mots séparés à l'écrit et se fait entendre au début du deuxième mot.
La liaison est obligatoire après un déterminent pluriel tel que les, aux, mes, tes, ses, ces, quels, quelles, certains, certaines, différents, différentes, divers, diverses, quelques et plusieurs. Par exemple : Les oiseaux se prononce les. Z.
On ne fait pas la liaison quand le deuxième mot commence lui aussi par une consonne. Par exemple, ça ne marcherait pas de parler d'un bon repas. On ne dit pas un “bonne repas”, on ne fait pas de liaison quand le premier mot se termine par une consonne et celui d'après commence aussi par une consonne.
La liaison est interdite devant les noms d'origine étrangère commençant par la semi-voyelle (aussi appelée semi-consonne) [j] (ces noms commencent généralement par la lettre y) ainsi que devant oui, ouistiti, whisky et devant un, huit, huitième, onze et onzième.
La liaison covalente est la plus forte ; c'est une liaison assurée par un partage d'électrons. Grossièrement, elle se forme lorsque chacun des atomes fournit un électron « célibataire » de sa couche externe. Les deux électrons s'apparient alors pour former la liaison.
C'est ce qu'on appelle faire un pataquès ! En effet, l'expression désigne à l'origine ces liaisons inadaptées qui se glissent dans nos conversations du quotidien. Mais alors, pourquoi «pataquès»?
Il existe trois principaux types de liaisons chimiques: les liaisons covalentes, qui se forment spécifiquement entre les éléments non métalliques, les liaisons ioniques, qui se forment entre un métal et un non-métal, et les liaisons métalliques qui se forment entre métaux.
Une liaison est la prononciation d'une consonne finale qui n'est pas prononcée lorsque le mot s'écrit seul. La liaison se fait lorsque le mot suivant commence par une voyelle ou un « h » muet. Les liaisons se font avec les consonnes : n, t, p, r, z, p et rarement g.
La liaison se distingue de l'enchaînementSelon les rectifications de l'orthographe, on peut aussi écrire : enchainement.. L'enchaînement se produit lorsqu'un mot se terminant par une consonne qui est toujours prononcée est suivi d'un mot commençant par une voyelle ou par un h muet.
Faire une liaison, c'est prononcer la consonne finale, habituellement non prononcée d'un mot pour le relier avec le mot suivant qui commence par une voyelle. On prononce donc une nouvelle syllabe qui a la structure consonne-voyelle, structure de 50% des syllabes en français.
Tout d'abord, les caractéristiques de liaisons permettent de décrire les nombreuses façons de lier ensemble des pièces dans un objet technique. Par conséquent, une liaison peut être (1) directe ou indirecte (2) démontable ou indémontable (3) rigide ou élastique et (4) complète ou partielle.
Liaison hydrogène (liaison faible) : un atome d'hydrogène portant une forte charge partielle positive est attiré par un autre atome très électronégatif. Elle se forme entre des molécules mais aussi entre différentes régions d'une même grosse molécule (par exemple une protéine).
Si deux atomes partagent deux liaisons covalentes, on parle de double liaison, s'ils partagent trois liaisons covalentes, on parle de triple liaison. Les liaisons doubles sont plus stables et fortes que les liaisons simples. Les liaisons triples sont encore plus stables.
Les liaisons les plus communes sont les liaisons covalentes et les liaisons ioniques.
Le h de «haricot» est «aspiré». En cela, il interdit la liaison et «impose que ce mot soit prononcé disjoint de celui qui le précède». Et ce, au singulier comme au pluriel. Ainsi, on prononce «le haricot» et non pas «l'haricot» ; «les/ haricots» et non «les-z-haricots»; «un beau haricot» et non «un bel haricot».
Synonyme : association, cohérence, cohésion, corrélation, correspondance, enchaînement, filiation, lien, relation, suite, trame, transition. – Littéraire : connexité.
En plus, il faut savoir quel mot comporte un "h" muet ou un "h" aspiré. C'est justement la question d'Amina : dans le cas de "haricots", c'est ce qu'on appelle un "h" aspiré, qui ne permet pas la liaison.
On a parfois tendance à lier à l'oral deux mots par une consonne qui n'existe dans aucun des deux mots. C'est ce qu'on appelle les fausses liaisons.
Origine. En général, en français moderne, le « h » initial est aspiré pour les mots d'origine germanique et muet pour les mots d'origine latine. En latin, la lettre « h » est devenue muette dès l'époque de l'Empire et les locuteurs du gallo-roman ignoraient la fricative laryngale [h].