En bref, la réduction du gaspillage alimentaire a un impact positif et pourrait avoir comme résultat : Plus de redistribution de la nourriture pour les plus vulnérables. Une réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une réduction de la dégradation des sols et des eaux.
Le Nigeria arrive en tête avec 189 kg de nourriture par personne jetées chaque année.
L'environnement : Lorsque de la nourriture est gaspillée, elle finit dans une décharge où elle se décompose et rejette du méthane, un gaz à effet de serre dangereux pour notre environnement. 8% des émissions mondiales de gaz à effet de serre proviennent des déchets alimentaires.
Le gaspillage alimentaire aggrave les externalités négatives de l'expansion agricole et de la monoculture en provoquant des pertes non justifiées de biodiversité (notamment la disparition de mammifères, oiseaux, poissons et amphibiens).
En bref, la réduction du gaspillage alimentaire a un impact positif et pourrait avoir comme résultat : Plus de redistribution de la nourriture pour les plus vulnérables. Une réduction des émissions de gaz à effet de serre. Une réduction de la dégradation des sols et des eaux.
Définition du gaspillage alimentaire
Selon la définition adoptée par le ministère de l'agriculture dans le cadre du pacte national de lutte contre le gaspillage alimentaire, il correspond à la perte de nourriture initialement prévue pour la consommation humaine qui est perdue à toute partie de la chaîne alimentaire.
Les impacts sociaux et économiques
endettement record des ménages; perte du sens critique, risque de dépendance à la consommation (achats compulsifs); stress et anxiété liés aux dettes et au travail (travailler plus pour gagner plus); malbouffe, conditions de travail dangereuses et non respectueuses.
Le gaspillage représente entre 15 et 25 % sur la plupart des continents. À l'exception de l'Amérique du Nord et l'Océanie où le gaspillage alimentaire représente 42 % de toute la nourriture disponible (Lipinski et al., 2013).
Augmentation des émissions de gaz à effet de serre et du réchauffement climatique : le cycle de production, de transformation, de conditionnement et de transport des aliments (un yaourt qui finit sa vie dans votre poubelle peut avoir parcouru 9 000 kilomètres) entraîne d'importantes émissions de gaz à effet de serre, ...
Des conséquences économiques
Selon la FAO, cette perte coûte près de 1.000 milliards de dollars (900 milliards d'euros) chaque année. Pour la France seule, cela représente 16 milliards d'euros par an, d'après une étude de l'Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Énergie (ADEME).
Le Gaspillage de l'eau et sa surconsommation amène de nombreuses conséquences: - Avant qu'elles ne puissent atteindre la mer les rivières s'assèchent. - On ne retrouve plus d'eau dans les nappes souterraines. - S'approvisionner en eau coûte de plus en plus cher dans le monde.
Concrètement, les Français contribueraient à hauteur de 73,6% au gaspillage alimentaire, loin devant la restauration (12,5% et 1,08 MT), l'industrie agroalimentaire (7,3% et 626.000 tonnes) et la distribution (6,6%). Les grandes surfaces sont souvent pointées du doigt dans les débats sur le gaspillage.
La Chine est l'un des producteurs les plus prolifiques d'une liste impressionnante d'aliments : Riz. Blé Pommes de terre, laitue, oignons, chou, haricots verts, brocoli, aubergines, épinards, carottes, concombres, tomates et citrouilles.
Car après tout, vivre c'est aussi consommer. Mais j'ai travaillé dur pour échapper à la surconsommation et au matérialisme. C'est quoi la surconsommation ? C'est lorsque l'on commence à acheter des choses inutiles, dont on n'a pas vraiment besoin au quotidien.
La production d'énergie et d'électricité est la championne des secteurs polluants. Elle est à l'origine de 31,5 % des émissions de GES.
L'époque de la production et de la consommation de masse commence à voir le jour avec la révolution industrielle du dix-neuvième siècle : « Le cycle I de l'ère de la consommation de masse commence autour des années 1880 et s'achève avec la Seconde Guerre mondiale.
Le gaspillage alimentaire est le fait de perdre ou jeter de la nourriture généralement destinée à la consommation humaine. Il se produit tout au long de la chaîne d'approvisionnement, de la production agricole jusqu'à la consommation, en passant par le stockage, la transformation, la distribution et la gestion.
Selon l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie), la première place du plus gros gaspilleur est attribuée aux producteurs. Les fruits et légumes mal calibrés sont mis de côté. Même les poissons trop petits et déjà morts sont rejetés en mer.
En effet, selon la définition retenue dans le Pacte national « anti-gaspi' » de 2013, le gaspillage alimentaire correspond à « toute nourriture destinée à la consommation humaine qui, à une étape de la chaîne alimentaire, est perdue, jetée, dégradée ».
En réduisant notre consommation d'eau domestique, nous réduisons les besoins en énergie des infrastructures nécessaires au traitement de l'eau douce. Du puisage de l'eau au traitement des eaux usées en passant par le traitement de potabilisation, de grande quantité d'énergies sont nécessaires.
La préservation des sources d'eau permet de préserver de nombreuses vies. Sans eau, il n'y aurait point de vie sur Terre. Sachez que c'est l'eau qui permet de générer de l'oxygène dans l'air, sinon, nous ne pourrions même pas respirer. L'eau potable est aussi précieuse qu'elle n'en ait l'air.