L'abord du cheval ne doit jamais s'effectuer par derrière. Le cavalier risquerait de générer chez l'animal des réactions de peur ou de surprise pouvant être dangereux. En sortant du box, il faut précéder le cheval pour ne pas se retrouver coincé ou que l'animal ne pose son sabot sur votre pied.
Derrière un cheval : attention aux coups de pied et aux ruades. Un cheval peut donner un coup de pied avec un de ses postérieurs, c'est même le geste d'agression le plus fréquent chez les chevaux.
Caressez et brossez doucement le cheval, mais ne le laissez pas vous manquer de respect. S'il se frotte contre vous, cela peut vouloir dire qu'il aime ce que vous faites ou qu'il vous éloigne de son espace privé, ne confondez pas les deux réactions. Ne montrez pas au cheval que vous avez peur de lui.
Soyez vigilant lorsque vous devez passer derrière un cheval.
Si vous n'avez pas la possibilité de circuler à bonne distance de la croupe, mieux vaut alors poser une main sur celle-ci afin de prévenir le cheval que vous allez passer derrière lui et rester le plus près possible de lui.
Comme pour toutes les actions que vous aurez à effectuer (monter en selle, mettre le filet etc.) La place est la même qu'on mène avec les rênes ou un licol et une longe. On place sa main gauche sur les rênes, à environ 40 centimètres de la bouche du cheval. On tient fermement, mais sans tirer ou bloquer le cheval.
Avec des jeunes chevaux, on va être dans une recherche de mise sur la main, pour que le cheval apprenne à soutenir son encolure et à tenir son dos.
Le plus souvent les boiteries ont pour origine la partie basse d'un membre : le pied ou le boulet. Commencez par les membres mais n'oubliez pas qu'un problème au niveau du dos par exemple peut être la cause d'une boiterie.
Lorsqu'on pratique l'équitation, deux types de blessures sont possibles : les blessures « traumatiques » et les blessures « de surutilisation ». Les blessures traumatiques sont les plus fréquentes. Elles sont causées par les chutes, mais également par les réactions de l'animal lorsque vous êtes à son contact.
Les personnes pratiquant l'équitation s'exposent à un risque de chute et de blessure, notamment à la poitrine, aux bras et aux jambes. Reposant sur les données de plus de 20 000 cavaliers, l'étude montre en outre que les dommages cérébraux ne sont pas rares chez les cavaliers.
L'équitation provoque plus de 6000 accidents par an
que vous avez le plus de chances de vous retrouver à l'hôpital. En effet, monter à cheval serait plus risqué que skier ou pratiquer la course automobile, selon une étude menée par des chercheurs américains (source : Trauma Surgery & Acute Care Open).
Le fait que les chevaux de votre écurie hennissent de cette façon quand vous venez les voir signifie que vous avez su créer une relation privilégiée avec eux. Probablement parce que vous les sortez au pré, leur donnez à manger quand vous venez les voir. C'est donc un bon signe !
Un lien entre cheval et humain
Le plus grand signe d'affection que peut vous donner un cheval est sa confiance. Vous le remarquerez à son attitude détendue et calme. Le cheval exprimera son bien-être, ce sentiment de sécurité, en vous suivant en liberté, tête basse et les oreilles relâchées.
Vous pourrez le voir en faisant attention à : Ses oreilles : lorsqu'un cheval a les oreilles relâchées en présence d'une personne, cela signifie qu'il l'apprécie. La position de tête : un cheval peut baisser légèrement sa tête et son cou en votre présence, pour montrer qu'il apprécie le moment qu'il partage avec vous.
Lorsque l'on tombe, c'est comme la voiture qui roule. Si vous tomber à plat, alors votre voiture s'est arrêtée d'un coup. Si vous voulez ralentir, mettez-vous en boule pour rouler. Ensuite, naturellement votre corps va ralentir.
Quand on tombe de cheval, la meilleure chose à faire est de remonter immédiatement en selle.
L'équitation est le plus dangereux de tous les sports. C'est le résultat d'une étude américaine qui bat en brèche l'idée reçue selon laquelle ce serait le ski, le football, le rugby ou la boxe qui occasionneraient le plus d'accidents.
Aujourd'hui encore, la pratique de l'équitation s'apparente à un sport de riche… Curieux quand on sait que ce sport est particulièrement prisé en Belgique, qui concentre de très nombreuses écuries sur son territoire ! Car oui, l'équitation est bien pratiquée par nombre d'enfants, d'adolescents et d'adultes.
Tout comme l'aérobic, le cyclisme ou les machines d'exercice, l'équitation permet de muscler et de définir les muscles de vos cuisses. Si vos cuisses étaient sous-développées lorsque vous avez commencé à monter à cheval, vous pourriez constater une augmentation plus sensible de la musculature de vos cuisses.
Certains chevaux aiment être montés et d'autres moins. Cela dépend beaucoup du cavalier, de la selle, du terrain et de la forme physique du cheval. Mais plus important encore, les chevaux sont des individus, et ils ont différentes activités qu'ils aiment et n'aiment pas.
Pressions de jambes, mouvements de bassin, maîtrise de l'équilibre, concentration et vigilance face aux obstacles, sont tant d'épreuves qui nécessitent une énergie constante. En effet, l'équitation génère une dépense calorique de 150 et 600 calories pour une heure de pratique.
Les symptômes de fourbure sont relativement caractéristiques avec une démarche raide, une attitude campée, des difficultés à tourner court en particulier sur sol dur, une chaleur des pieds et une augmentation du pouls digital (pulsations palpables à la base du boulet).
La fourbure correspond à une congestion et une inflammation des pieds des équidés. C'est une affection fréquente qui représente la 2ème cause de mortalité chez les chevaux.
Le syndrome naviculaire est une maladie bien connue et redoutée des cavaliers. Elle est classiquement responsable d'une boiterie chronique antérieure à l'origine d'une retraite prématurée des chevaux. Les causes de cette maladie sont multiples et ne sont pas totalement élucidées.
Un cheval qui s'encapuchonne et qui lâche le contact peut se traduire par différentes choses : La mauvaise position des mains du cavalier. Un mors mal adapté à la bouche du cheval. Un manque de tension sur la ligne du dessus du cheval.