Pourquoi faut-il éviter de le faire pendant ses règles ? Il n'est bien évidemment pas interdit de s'épiler durant les règles. Seulement éviter de le faire à la cire autant que possible. En effet, durant le cycle menstruel la peau est plus sensible et par conséquent l'épilation sera plus douloureuse.
Contrairement à l'idée reçue, vous pouvez tout à fait vous faire épiler pendant vos règles. Lors de votre rendez-vous, il suffit de mettre un nouveau tampon ou une coupe menstruelle bien nettoyée au préalable. C'est au moment de vos règles que votre peau est la plus sensible.
Le meilleur moment de la journée pour chouchouter sa peau, c'est le soir. Vos pieds et jambes ont bougé toute la journée, votre circulation sanguine est prête. Mais en plus, votre corps sera au repos après l'épilation, et aura le temps de récupérer la nuit pour lutter contre les rougeurs.
Pour bien s'épiler à la cire froide, assurez-vous que vos poils soient courts. Chauffez ensuite les bandes dans votre main et séparez-les. Collez-en sur la partie à épiler en mettant un peu de pression au niveau de votre main pour que la bande soit bien plaquée. Attendez quelques secondes et arrachez d'un trait.
À quelle fréquence s'épiler ? Dans le cas d'une très jeune fille de 10 ans à forte pilosité (et qui procède à la cire), "l'idéal est de le faire deux fois dans l'année" conseille Sandrine Azoulay. Mais pour une jeune fille qui a déjà passé sa puberté, il est préconisé de se rendre en institut 6 fois par an.
Si les filles commencent généralement à vouloir s'épiler entre 11 et 12 ans, Laura Doponte, esthéticienne et professeure en esthétique à L'Académie Edith Serei mentionne qu'il n'y pas d'âge idéal pour commencer à éliminer les poils superflus.
La crème dépilatoire, et rien d'autre ! On laisse tomber l'épilation à la lumière pulsée pour les ados, le rasage et la décoloration des poils.
L'épilateur électrique et la cire arrachent les poils et créent aussi des brèches. La crème dépilatoire qui dissout les poils s'avère la méthode la plus douce et la moins onéreuse. Mais attention au temps de pose et à la proximité des grandes lèvres qui peuvent facilement être brûlées.
Malheureusement, l'épilation et le rasage du pubis peuvent constituer un risque important de micro-blessures, qui de par leur emplacement, peuvent entraîner une infection et/ou transmettre des IST (infections sexuellement transmissibles) comme la chlamydia, la gonorrhée et les infections à papillomavirus (HPV).
Il est conseillé de mettre du talc sur les aisselles et le maillot pour enlever la transpiration et éviter que la peau ne tire. Enfin, un gommage corps est indispensable. Il permet d'enlever les cellules mortes de la peau, d'enlever plus de poils et surtout d'éviter les poils incarnés.
Vous devez attendre 3 à 4 semaines après votre dernière épilation à la cire (ou 2 à 3 semaines après votre dernier rasage) pour que les poils soient assez longs pour accrocher à la cire et pour qu'ils puissent être retirés dès la racine. Alors si vous avez un peu honte de la longueur de vos poils, ou de leur quantité…
La zone du maillot est particulièrement douloureuse même si nous ne sommes pas forcément très sensible. Quelle que soit la technique d'épilation choisie, réaliser une épilation intégrale du maillot n'est pas chose aisée. En effet, la peau est bien plus fine et il existe bien plus de nerfs à cet endroit qu'à autres.
Dans le même ordre d'idée, il est recommandé de ne pas envisager d'épilation définitive avant 20 ans. D'abord, car cette opération représente une somme importante, ensuite car la pilosité est encore instable à cet âge-là et que cela pourrait s'avérer contre-productif et provoquer une repousse plus importante.
L'épilation du maillot est souvent considérée comme délicate car c'est la plus douloureuse. La peau est très sensible, les poils plus épais que sur d'autres parties du corps : il faut donc choisir avec soin sa technique d'épilation.
Poils du pubis : ils jouent un rôle dans l'attirance sexuelle en retenant les phéromones, limitent le risque de sécheresse vaginale, protègent les muqueuses génitales contre les infections.
Raser dans le sens du poil
Les poils pubiens sont plus épais et drus que les poils sur le reste du corps c'est pourquoi des poils incarnés se forment fréquemment après le rasage. Plusieurs conseillent de raser par tout petit coup, dans le sens du poil, et de bien rincer après chaque coup pour libérer les lames.
En tout cas, les poils au menton sont dits hormono-dépendants : ils sont directement liés à la sécrétion de testostérone, une hormone masculine (ou androgène) que produisent les hommes, mais aussi les femmes en plus petite quantité.
Le sillon interfessier, appelé aussi pli interfessier, rainure interfessière, sillon interglutéal ou pli interglutéal (crena analis, crena ani, crena interglutealis, sulcus glutealis en latin ou plus communément « raie des fesses ») est le creux qui sépare chacune des deux fesses, formant un arc médian suivant la ...
Le sif, c'est le sillon inter-fessier. C'est ce qu'on appelle communément la raie des fesses ! Et aujourd'hui, hommes et femmes sont de plus en plus adeptes de l'épilation du sif. Car oui, nous avons tous des poils au niveau de la raie.
Tu pourrais lui dire que tu n'oses pas aller à la piscine de peur que tes poils sortent du maillot de bain, il est probable qu'elle te propose de te faire épiler le maillot. Si elle ne te dit rien, tu pourras toi-même le lui demander.
Avant l'épilation, on désinfecte à l'aide d'un antiseptique incolore qui ne pique pas type mercryl ou hexomédine. Ainsi on évite les petits boutons. Si on s'épile à la cire chaude ou tiède, on talque un peu la zone pour protéger la peau et redresser les poils, dès lors plus faciles à attraper.
C'est au début du XXe siècle que l'épilation féminine se popularise en Occident. «Aux Etats-Unis, les femmes commencent à épiler leurs aisselles dans les années 1910-1920, leurs jambes à partir de 1940-1950, et enfin leurs organes génitaux à partir des années 1990-2000, poursuit-elle.
Après la puberté, choisir le bon moment
L'épilation dite “de confort”, elle, s'envisage éventuellement après la puberté, lorsque la pilosité adulte apparaît. Vers l'âge de 13 ou 14 ans, lorsque l'adolescent en fait la demande (inutile de lui en parler, si l'envie ne s'est pas encore manifestée).