Le calendrier grégorien, conçu à la fin du XVI siècle, est divisé en 12 mois selon une alternance presque parfaite de mois de 30 et de 31 jours. Pour juillet et août, s'il y a 31 jours alors que ces deux mois se suivent, c'est juste à cause d'une histoire d'égo entre deux empereurs romains.
Le calendrier passe à 365 jours et pour se conformer au cycle solaire, un jour tous les quatre ans (année bissextile) est ajouté au mois de février. Les autres mois alternent 30 et 31 jours : 31 jours pour juillet, renommé « Julius » en l'honneur de l'empereur César, et 30 jours pour août.
Avec l'ajout de ces deux mois, il a été décidé que l'un porterait le nom de Jules César pour lui rendre honneur. Le 6 premiers mois étant dédiés aux dieux et déesses, le 7e mois lui a été accordé et c'est ainsi que fut créé le mois de juillet et ses 31 jours, comme le précédent en avait 30.
Concrètement, pour Jules César, une année comporterait 12 mois alternant successivement 31 et 30 jours. On retire 1 jour à février pour obtenir un compte de 365 jours (sauf année bissextile). On avait ainsi le mois Quintilis qui comportait 31 jours, et le mois Sextilis 30 jours.
Pour les grands mathématiciens qu'ils étaient, le calcul n'a pas fait un pli: ils ont pris une année solaire (365 jours) et l'ont divisée par la durée d'un cycle lunaire (30 jours). Autrement dit, en langage mathématique: 365÷30=12,2 et des poussières. En arrondissant, on obtient donc bien 12 cycles lunaires par année!
Une année zéro a été inventée par l'astronome Jacques Cassini en 1740 dans ses Tables astronomiques. En astronomie et plus particulièrement dans les calculs d'éphémérides, l'année zéro est donc celle qui précède immédiatement la première année de l'ère chrétienne.
Lundi, mardi, mercredi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche, sept jours composent une semaine. Ce chiffre correspond aux phases de la lune, qui changent environ tous les sept jours un quart. Un rythme qui avait déjà inspiré les Egyptiens au temps des pharaons.
Notre calendrier divisé en 12 mois et 365 jours date de 46 avant J.C. Il a été inventé par Jules César.
En l'honneur de l'empereur Jules César, le mois de Quintilis fut renommé Juilius, qui est devenu juillet. Les mois alternaient alors entre 30 et 31 jours : 31 jours pour Juilius (juillet) et 30 jours pour Sextilis (août).
Le 7e mois est nommé Julius (juillet), en l'honneur de l'empereur. Mais voilà qu'arrive Auguste, le successeur de César. Pour l'honorer à son tour, le mois suivant est rebaptisé Augustus (août).
le mois d'aout
Son nom vient du latin Augustus, nom donné en l'honneur de l'empereur romain Auguste en 8 av. J.C.. Pour la petite histoire, Auguste ajouta un jour au mois d'août pour avoir autant de jours dans le mois qui porte son nom que dans celui au nom de Jules César (juillet).
Le 31 août ou 31 aout est le 243e jour de l'année du calendrier grégorien, 244e lorsqu'elle est bissextile.
Son nom vient du latin Julius en l'honneur de Jules César qui imposa en 44 av. J. -C. le calendrier julien également à son nom.
Le calendrier julien est un calendrier solaire utilisé dans la Rome antique, introduit par Jules César en 46 av. J. -C. pour remplacer le calendrier romain républicain.
Pour rendre hommage à Jules César et à l'empereur Auguste, un jour supplémentaire a été ajouté de façon permanente aux mois de juillet (Jules) et août (Auguste) ; donc deux jours furent retirés en fin d'année, donc au mois de février. Le mois eut 28 jours au lieu de 30.
En fait, il n'y en a pas. La veille du 1er janvier de l'an 1 est le 31 décembre de l'an 1 avant Jésus-Christ. Quand le moine Denys le Petit suggère, au VIe siècle, de fonder le calendrier sur la vie du Christ, il omet le zéro. Pour une bonne raison : ce nombre était encore inconnu en Occident.
La proposition de Denys-le-Petit est d'emblée adoptée par l'Église. (en 532), puis se généralise au VIII e siècle, et, à partir de l'an 1000, seul ce calendrier figure sur les actes officiels. Il n'y a pas d'année " 0 " car ce chiffre. n'était pas en usage dans la numération romaine.
L'an zéro est censé correspondre à la naissance du Christ, un repère connu de tous qui symbolise le début de l'ère chrétienne.
Du latin ecclésiastique dies dominicus «jour consacré à Dieu, au repos», le mot dimanche est selon le CNRTL d'abord apparu dans le calendrier sous les formes didominicu puis diominicu par «dissimilation consonantique».
Étymologie. De quinze et de jour. Au départ, cette locution avait le sens légal d'une durée équivalente à la moitié d'un mois creux. Petit à petit, le sens commun a glissé sur deux semaines, au point de donner une synonymie quasi parfaite entre les deux.
Dans ce mot, il y a deux noms issus du latin : lunis, de lunæ, qui veut dire « lune », et dies, qui veut dire « jour ». Lunis + dies = lundi, qui s'est d'ailleurs écrit « lunsdi » par le passé. Cette origine transparaît encore davantage dans l'italien lunedi, voire dans l'espagnol lunes.
Denys le Petit place l'annonciation le 25 mars et la naissance de Jésus neuf mois plus tard, le 25 décembre de l'année 753 de Rome (c'est-à-dire l'année -1 du calendrier actuel), principalement pour qu'elle coïncide avec le début d'un cycle pascal.
Pour les chrétiens de toutes obédiences, la fête de Noël, le 25 décembre, commémore la naissance de Jésus-Christ, à l'origine du christianisme. En ce qui concerne l'année de sa naissance, la tradition la situe en l'an 753 de la fondation de Rome, sous le règne de l'empereur Auguste.
Avant Jésus-Christ. — Note d'usage : Utilisé pour nommer les années, les siècles et les millénaires avant l'année supposée de la naissance de Jésus-Christ telle qu'elle fut évaluée au VI e siècle. L'an 1 av. J.