Si cela peut être engendré par une mauvaise installation, c'est aussi le résultat d'une condensation. Celle-ci est formée par la rencontre de l'air chaud et de l'air froid qui circulent dans les gaines VMC. Parfois, c'est assez léger, on parle de quelques gouttes seulement.
Dans la plupart des cas, il s'agit d'air chaud qui rencontre de l'air froid à l'intérieur des gaines. Lors du contact, une condensation se forme au sein du conduit. Un manque d'entretien des équipements. Le moteur fonctionne moins bien, l'air circule également moins bien et donc l'eau s'accumule.
La condensation peut entraîner la formation d'eau sous forme de gouttelettes ou même de givre, en fonction de la température de l'échangeur. Cette eau condensée est ensuite évacuée du caisson VMC. Pour cette raison, il est nécessaire de s'assurer de la bonne évacuation des condensats pour éviter un dégât des eaux.
Entretien VMC simple flux Les entrées d'air : il faut retirer délicatement l'entrée d'air du hublot (parfois en dévissant), retirer la mousse éventuelle et la laver avec une brosse ou un chiffon humide. Vous pouvez également utiliser un aspirateur. Cet entretien est à faire tous les 6 mois.
Placez-la devant une des bouches d'extraction de votre système, dans votre salle de bain ou votre cuisine, par exemple. Si elle se colle contre la grille, c'est le signe que votre VMC aspire et, donc fonctionne. Dans le cas contraire, vous êtes face à une panne.
Une VMC simple flux hygroréglable peut avoir une durée de vie entre 10 et 15 ans, voire plus, si elle est correctement entretenue, si l'installation respect l'avis technique et si cette dernière est de qualité.
La réglementation impose qu'un logement soit ventilé en permanence. Nos VMC dotées de moteurs à deux vitesses permettent d'adapter l'aspiration en fonction de l'humidité provoquée dans votre logement, soit de façon automatique par détection d'humidité soit via un interrupteur.
Il peut aussi réaliser si nécessaire un nettoyage en profondeur des bouches, des gaines et du moteur. Les artisans dont les compétences sont les plus adaptées sont : Les chauffagistes ou frigoristes, dont la spécialité est la maintenance des équipements thermiques, frigorifiques et sanitaires, dont la VMC.
Ce nettoyage est recommandé tous les 5 ans afin de garantir l'hygiène et la meilleure qualité d'air intérieur. Cette opération consiste à brosser les gaines qui ont pu transiter à travers le filtre du caisson et à récupérer les particules par aspiration simple.
Vous pouvez essayez d'incliner ne serait-ce que toutes les gaines posées à l'horizontale afin de bien faire circuler l'eau et d'éviter qu'elle ne stagne dans les conduits. Naturellement, il faudra songer à évacuer l'eau de manière naturelle.
Créer des pentes sur les parties horizontales du circuit d'air afin d'évacuer les condensats vers les conduits d'eaux usées et d'éviter leur accumulation dans les gaines de VMC.
L'idéal serait d'aspirer la saleté accumulée dans les tuyaux une fois tous les ans minimum. Une fois le courant coupé, il faut nettoyer avec minutie à la fois l'intérieur et l'extérieur des tuyaux. Dès que la poussière est aspirée, laver l'intérieur avec un chiffon humide.
La plus efficace sera d'introduire de l'eau dans le fourreau bouché. Si un simple bouchon s'est formé au fil des années dans la gaine, un tuyau d'arrosage ou encore mieux, un nettoyeur haute-pression ( type Kärcher, Nilfisk etc…) avec si possible un furet rotatif, fera l'affaire pour libérer le passage.
Les plus simples de ces vannes sont les vannes air/vide, également connues sous le nom de vannes d'évacuation d'air. Ces vannes sont dotées d'un flotteur interne qui s'ouvre automatiquement lorsque le fluide s'écoule et se ferme dès que le niveau du liquide monte.
Vous pouvez retenir que vous devez idéalement faire : tous les 6 mois : le nettoyage des entrées d'air et des bouches d'extraction ; tous les 6 à 12 mois : le changement des filtres (dans le cas d'une VMC double flux) ; tous les 3 ans : l'entretien et nettoyage plus complet assuré par un professionnel.
Il y a une méthode toute simple et peu coûteuse qui consiste à placer du polystyrène dans le trou, tout en laissant la grille de l'entrée d'air en place qui servira à dissimuler la cavité. En supplément, placez un petit filet de mastic silicone autour de l'entrée d'air pour la rendre encore plus étanche.
La méthode traditionnellement utilisée consiste à accéder en bas de versant à la souche de cheminée au moyen d'une échelle de toit. Le matériel (canne et hérisson) doit être apporté au poste de travail et le ramonage s'effectue en insérant canne et hérisson dans le conduit.
Un plombier-chauffagiste : Si le problème de votre VMC est lié à des performances, un plombier-chauffagiste peut intervenir pour effectuer les réparations nécessaires. Il est important de choisir un professionnel qualifié et expérimenté pour le dépannage de votre VMC, afin d'assurer un fonctionnement optimal.
un chauffagiste/climaticien ; un frigoriste ; un plombier.
Les propriétaires doivent veiller à ce qu'elle fonctionne et les locataires à son entretien. Une loi du 6 juillet 1989 stipule que le locataire doit prendre en charge l'entretien courant de son logement et des équipements mentionnés au contrat dont fait partie la VMC, à condition qu'elle soit en état de fonctionner.
Exemples de consommations électriques de VMC
Pour un fonctionnement permanent (365 jours dans l'année) sa consommation sera équivalente à 720 W par jour soit 262,8 kWh/an. En prenant comme tarif de base 1 kWh à 0,1740 €, cela nous donne un coût à l'année d'environ 45 €.
Non ! La qualité de l'air intérieur étant un enjeu de santé public, la réglementation RT 2012 impose que les logements soient ventilés afin de renouveler l'air de façon permanente, il est donc fortement déconseillé d'arrêter son système de ventilation.
Cela peut entraîner une perte de chaleur, ce qui peut être un inconvénient en hiver. Une VMC simple flux autoréglable n'est pas équipée d'un système de récupération de chaleur, ce qui la rend sensible aux conditions extérieures.