Des rapports sexuels trop fréquents, ne tenant pas compte d'une possible sécheresse vaginale et qui vont pouvoir créer des micro lésions dans le vagin. Un régime alimentaire déséquilibré, riche en sucres et à tendance acidifiante : le Candida se nourrit de sucre ! Mais aussi l'alcool et le tabac.
Comment éviter la mycose après les rapports sexuels ? Pour limiter le risque de mycose suite à un rapport sexuel, il est recommandé de pratiquer une toilette intime systématique après votre câlin.
Si les mycoses sont récidivantes, il faut alors penser aux traitements par probiotiques et attendre sans doute 3 mois de traitement avant de noter une amélioration. Pour la vaginose, il faut consulter un médecin car le traitement nécessite la prescription d'un antibiotique.
Côté sexo, les rapports sexuels sont possibles, même s'il est généralement conseillé de s'abstenir de faire l'amour jusqu'à la guérison totale de la maladie, en général au bout d'une quinzaine de jours, à l'aide de traitement sous la forme d'ovules vaginaux antifongiques, notamment.
Certains facteurs peuvent favoriser l'apparition de mycoses, par exemple la prise de certains médicaments (qui diminuent l'action du système immunitaire), un manque d'hygiène, un excès d'hygiène (qui altère la flore protectrice) ou une maladie chronique.
Une alimentation trop peu variée ou comprenant trop de produits industriels, Une toilette intime trop fréquente, ou réalisée avec des produits inadaptés à cette zone (antiseptiques, gel douche classique), Le port de vêtements synthétiques qui ne laissent pas suffisamment respirer la peau.
Il existe un certain nombre de facteurs de risque qui vont impacter ta flore vaginale, ton système immunitaire et amener à un terrain favorable pour la candidose, d'où les récidives ! Une hygiène intime trop rude : savon trop agressif, bains moussants trop fréquents, douches vaginales vont perturber le pH de ton vagin.
Le sexe est possible, mais déconseillé.
Si vous avez envie d'avoir des relations sexuelles malgré les symptômes de la mycose vaginale, vous le pouvez.
Il est possible de transmettre la mycose vaginale à votre partenaire, en particulier s'il s'agit d'une femme.
Un nouvel ovule doit être introduit avant tout nouveau rapport. Il faut absolument proscrire toute toilette vaginale avant le rapport sexuel et de 6 à 8 heures après, pour conserver une protection maximale. En revanche, la toilette externe est possible avec de l'eau pure immédiatement après.
Les antifongiques permettent de lutter contre la levure Candida albicans et sont d'efficacité équivalente. Parmi eux, nous pouvons citer : ÉCONAZOLE BIOGARAN ovule. LOMEXIN capsule.
Sous traitement adapté et selon la zone du corps infectée, une mycose guérit généralement en 1 à 3 semaines, parfois plus si l'infection est sévère. Consultez à nouveau votre médecin si votre mycose persiste, s'aggrave ou récidive.
Si vous souffrez de mycoses à répétition, cela démontre qu'un déséquilibre important touche votre microbiote vaginal, c'est-à-dire votre flore intime (ou flore de Döderlein pour la communauté médicale).
Il est très rare qu'une mycose disparaisse seule, sans aucun traitement. Nous vous conseillons de (télé)consulter un médecin.
Chez l'homme, le champignon atteint généralement le bout du pénis (gland). La mycose génitale peut alors débuter par les symptômes suivants: démangeaisons du gland, gland douloureux et inflammé, prépuce gonflé et démangeaisons ou sensation de brûlure à la miction ou lors des rapports sexuels.
Les principaux symptômes d'une mycose bucco-génitale
Des démangeaisons au niveau de la vulve, du vagin et/ou de l'anus qui ne sont pas forcément intenses. Des pertes vaginales blanches épaisses. Si elles sont malodorantes, cela peut être une infection de type vaginose ou vaginite, et non une mycose.
On ne parle pas de transmission car la mycose n'est pas réellement une infection sexuellement transmissible (IST). La candidose peut être effectivement réactivée lors de rapports non protégés, mais il ne s'agit pas de transmission à proprement parler.
Utilisez simplement de l'eau ou un gel lavant gynécologique et jamais d'antiseptiques, sauf sur prescription médicale. Évitez également le port de vêtements trop serrés, de sous-vêtements en matières synthétiques et de protections hygiéniques asséchantes durant vos règles.
En réalité, négliger le traitement d'une mycose intime vous fait surtout courir le risque de passer à côté d'un autre trouble qui se manifesterait par le même genre de symptômes. Certaines MST et infections virales ou bactériennes sont elles aussi source de démangeaisons et de sécrétions vaginales inhabituelles.
La prise d'antibiotiques régulière ou sur de longues périodes entraîne également une modification du terrain et de la flore vaginale. L'usage de produits d'hygiène ou de cosmétiques inadaptés : les savons trop acides ou inadaptés, les douches intra-vaginales… perturbent l'équilibre de la flore.
L'utilisation du vinaigre de cidre pour traiter la mycose d'ongle est souvent cité parmi les remèdes naturels. Le vinaigre, grâce à son pH acide, élimine les champignons et bactéries en cas de début de mycose ou de mycose légère de l'ongle.
En cas de mycose cutanée, les principaux antifongiques à appliquer sont : les imidazolés. Parmi eux, l'éconazole est un des plus utilisés ; il est l'actif clef d'Econazole, de Mycoapaisyl, de Pevaryl et de Mycosedermyl).
Les produits industriels tels que biscuits, gâteaux, bonbons, pâtisseries et viennoiseries sont également très riches en sucres simples et raffinés. Mieux vaut mettre tous ces aliments de côté le temps de soulager votre mycose intestinale.
Vous pouvez vous adresser à votre pharmacien et traiter par vous-même, en automédication, la mycose vaginale. Des ovules médicamenteux, des capsules vaginales , des comprimés gynécologiques antifongiques et des crèmes adaptées sont vendus en pharmacie, sans ordonnance.