C'est une anomalie liée à une mauvaise fermeture du sphincter de la vessie. Donc cela peut être dû à un problème neurologique, à un diabète, à un médicament, à un problème ou une opération de la prostate.
La spermaturie est un état pathologique chez l'homme caractérisé par la présence de spermatozoïdes dans les urines. Le liquide alors émis est communément appelé spurine (contraction des termes sperme et urine).
Si dans un couple, le partenaire souffre d´éjaculation rétrograde, il est difficile de parvenir à une grossesse naturelle puisque la plupart des spermatozoïdes se trouvent dans l´urine.
En cas d'éjaculation rétrograde complète, les urines présentent des filaments de protéines venant du sperme. Ensuite, une analyse microscopique (avant et après centrifugation si nécessaire) va rechercher la présence (ou non) de spermatozoïdes.
Un sperme de couleur très transparente peut indiquer une faible concentration de spermatozoïdes et/ou une consistance plus aqueuse ou liquide. Au contraire, une couleur blanche intense peut indiquer une plus grande concentration de spermatozoïdes.
L'éjaculation douloureuse peut survenir qu'il y ait un rapport sexuel ou non. Elle est le plus souvent due à une prostatite chronique, pathologie encore mal connue que nous explique le Dr Vincent Hupertan, urologue, sexologue et ancien interne des Hôpitaux de Paris.
On distingue plusieurs types d'anéjaculation : l'éjaculation rétrograde, l'orgasme sans éjaculation (autrement appelé orgasme sec ou anéjaculation orgasmique), l'anéjaculation sans orgasme ou encore l'éjaculation asthénique. L'anéjaculation peut être définitive ou temporaire, primaire ou secondaire.
Dans le cas d'une douleur après un rapport sexuel, il peut s'agir d'une douleur liée à un problème de prostate, d'inflammation de prostate…" "Des douleurs après l'éjaculation, cela évoque des causes prostatiques. Il peut s'agir d'une prostatite chronique.
En effet, les tissus gonflent sous l'effet de l'excitation et sans orgasme, ils restent gonflés quelques heures parfois, ce qui peut entraîner une gêne, une sensation de lourdeur ou même des douleurs.
Une pénétration trop profonde peut avoir un effet sur les organes pelviens, comme l'utérus et le col de l'utérus. Tout contact avec le col de l'utérus peut provoquer une réaction vagale, qui entraîne des nausées.
Les pathologies du pénis au repos sont généralement des affections cutanées ou les dermatoses, inflammatoires (eczéma, psoriasis lichen scléro-atrophique...), des infections bactériennes, virales ou fongiques (balanite, syphilis qui est en recrudescence, herpès, condylomes dus à une infection à HPV, candidose...) " ...
Il n'y a rien à faire.... Il faut patienter. Il y a obligatoirement ce que l'on appelle une "période réfractaire" après une éjaculation. Période pendant laquelle aucune érection n'est possible.
Même si l'homme se retire à temps, une grossesse est toujours possible. Beaucoup d'experts pensent que le pré-éjaculat peut entraîner suffisamment du sperme dans l'urètre provenant d'une éjaculation précédente pour déclencher une grossesse.
La réponse de l'expert
Souvent, quand il est plus transparent et plus fluide, c'est lié à la fréquence des éjaculations, plutôt à des éjaculations plus fréquentes. Donc cela ne semble pas un signe inquiétant.
Volume de l'éjaculation : entre 2 et 5 ml. Concentration des spermatozoïdes : supérieure à 20 millions/mL de spermatozoïdes (entre 50 et 200 millions/mL). Mobilité des spermatozoïdes : 50 à 60% de forme mobile la première heure. Formes normales : supérieure ou égale à 50% de formes normales.
(Prostatodynie) La prostatite est une douleur associée à un gonflement, une inflammation, ou les deux, de la prostate. La cause est parfois une infection bactérienne. Des douleurs peuvent se manifester dans la zone comprise entre le scrotum et l'anus ou dans la région lombaire, le pénis ou les testicules.
La douleur dans le bas du ventre chez l'homme peut être le signe de différentes pathologies : l'appendicite, la diverticulose recto sigmoïdienne et la prostatite aiguë qui correspond à l'équivalent de la salpingite chez la femme avec chlamydiae, gonocoques avec une inflammation et une douleur au niveau de la prostate.
Douleur du côté gauche : quand la cause est ailleurs
un trouble du système digestif (reflux oesophagien) une maladie infectieuse virale (comme le zona intercostal) un trouble nerveux ou musculosquelettique (névralgie intercostale, fracture ou perte de mobilité au niveau du bassin)
La douleur au flanc gauche peut avoir de multiples causes : digestives, musculaires, rénales ou autres. Découvrez les diagnostic et les traitements pour chacune. Les douleurs situées dans la partie gauche de l'abdomen, que ce soit au niveau de l'hypochondre, du flanc ou de la fosse iliaque ne sont pas rares.
► Une inflammation.
Les douleurs sous-costales gauches peuvent être un signe révélateur de plusieurs affections telles que la colite (inflammation du côlon), la pancréatite (inflammation du pancréas), l'hydronéphrose et la tuberculose.
Cette sensation de brûlure est due aux sucs gastriques de l'estomac et s'appelle le reflux gastro-œsophagien. Il peut s'agir d'une hernie hiatale mais aussi d'un ulcère provoqué par une bactérie : l'Helicobacter pylori. La bactérie H. Pylori est capable de survivre à l'acidité de l'œsophage.
"La rate est un un organe fragile et très vascularisé qui peut se rompre en cas de traumatisme abdominal violent, qui provoque une hémorragie très sévère, des douleurs intenses et un état de choc.
Ces douleurs sont causées par la contraction de l'utérus afin d'éliminer la muqueuse utérine. Ces maux dans le bas du ventre peuvent donc se présenter sous forme de crampes et être fréquemment accompagnées de maux de dos (lombalgie), de migraines, de fatigue ou encore de symptômes abdominaux comme des ballonnements.
Peut-on prévenir l'appendicite ? Il est possible, mais non prouvé, qu'une alimentation saine et diversifiée, qui facilite le transit intestinal, diminue le risque de crise d'appendicite.
Pour les douleurs aiguës, il peut s'agir d'une colite infectieuse banale, d'une colite ischémique chez un patient tabagique, etc. En cas de fièvre, on pensera à l'appendicite ; en cas de vomissements, à une occlusion.