Causes. Le trouble de dépersonnalisation/déréalisation apparaît souvent chez des personnes qui ont connu un stress sévère, notamment : Une maltraitance affective ou une négligence au cours de l'enfance. Une maltraitance physique.
La déréalisation est une pathologie dissociative qui rend tout autour de soi comme irréel. hypothèse. stress prolongé ou intense, le cerveau va chercher à se protéger de ce stress en s'anesthésiant. C'est ce qui provoque la déréalisation.
Les personnes qui présentent ce trouble ressentent une impression d'étrangeté. Dans certains cas, la notion d'existence peut être remise en question par le sujet lui-même. L'état de déréalisation peut être fugace ou permanent et touche majoritairement les personnes qui présentent une grande anxiété.
Il s'agit de la dépersonnalisation, un des symptômes fréquents de l'anxiété. Elle se caractérise par l'expérience prolongée ou récurrente d'un sentiment de détachement et d'une impression d'être devenu un observateur extérieur de son propre fonctionnement mental ou de son propre corps.
Se sentir vide est associé à la tristesse, à la peine. Ce sentiment est souvent dû à une rupture du quotidien, comme nous l'explique Joëlle DENOYER, notre psychologue. On peut alors ressentir l'abandon, la solitude et une sensation de rejet. Un sentiment qui se situe dans le ventre et le thoraxe.
La déréalisation est en quelque sorte l'expérimentation concrète d'un doute métaphysique. Elle n'est pas une maladie à proprement parler. Autrement, il peut s'agir d'un symptôme dissociatif qui peut être vécu lors de périodes de stress intense et prolongé.
Une dépersonnalisation et/ou une déréalisation empirique peut survenir chez un patient à cause d'un état d'anxiété, d'un stress temporaire, tandis que la dépersonnalisation chronique est concerne des individus ayant fait l'expérience d'un traumatisme ou d'une angoisse/ d'un stress prolongé.
« Etat de dissociation » : sous ce jargon médical se rangent une série de sensations étranges. Toutes traduisent une déconnexion de la réalité. Ce peut être une « dépersonnalisation », avec un sentiment de ne pas être soi-même – on se voit allongé comme si l'on surplombait son propre corps, par exemple.
1) La fatigue: la concentration nécessite de la vigilance. Laquelle fait forcément défaut après une mauvaise nuit, une journée harassante, la prise d'alcool ou de certains médicaments sédatifs ou anxiolytiques. Mais aussi quand on évolue dans un environnement bruyant.
Le trouble de dépersonnalisation/déréalisation peut disparaître sans traitement. On ne traite la personne que si son trouble persiste, est récurrent ou est source de souffrance. La psychothérapie. Ainsi, de nombreux troubles mentaux peuvent désormais être traités avec presque autant de succès...
Comment faire face à la dissociation : traitement
Le traitement de la dissociation et des troubles dissociatifs, selon les experts en psychologie, implique l'intégration du corps en tant que partie principale qui a vécu l'expérience traumatisante.
Le trouble est souvent déclenché par un stress sévère. Le diagnostic repose sur des symptômes spécifiques après que les autres causes possibles aient été écartées. Le traitement consiste en une psychothérapie ainsi qu'un traitement médicamenteux en cas de dépression comorbide et/ou d'anxiété.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
La dissociation peut être définie comme une rupture de l'unité psychique : « une perturbation touchant les fonctions qui sont normalement intégrées comme la conscience, la mémoire, l'identité ou la perception de l'environnement », selon le DSM 5.
Le stress devient négatif quand il se répète. On parle alors de stress chronique qui se révèle pathologique quand il entraîne des symptômes psychosomatiques comme l'anxiété, des troubles du sommeil, l'asthénie, des migraines, des troubles cardio-vasculaires, des douleurs abdominales ou articulaires, etc.”
Le yoga et la méditation sont des exemples connus de pratiques relaxantes. Les exercices de visualisation positives ou le relâchement musculaire progressif en sont d'autres toutes aussi efficaces.
Un tel état peut aussi être déclenché par la fatigue et l'épuisement, le stress, un environnement étranger, la consommation de drogues ou une frayeur subite. Toutefois ce sentiment d'étrangeté ne dure généralement que quelques secondes, parfois quelques minutes.
Le sujet borderline se consumme en essayant d'établir des relations exclusives où le risque d'abandon n'est pas envisageable, mais une fois l'intimité atteinte, la relation désirée, surgit l'angoisse de pouvoir être dévoré par l'autre.
Un changement de régime alimentaire, un sommeil réparateur et la pratique d'une activité physique de préférence à l'extérieur peuvent permettre de lutter contre le brouillard cérébral.
L'exposition à la situation sociale redoutée provoque de façon quasi systématique une anxiété qui peut prendre la forme d'une Attaque de panique liée à la situation ou bien facilitée par la situation. La personne atteinte redoute ces situations et développe de nombreuses stratégies pour éviter de s'exposer aux autres.
L'anhédonie se caractérise par le fait de ne ressentir aucune émotion positive et il s'agit en réalité d'un système de défense généré par notre cerveau. L'alexithymie, en revanche, est un trouble qui rend le patient incapable de discerner ses émotions.
On peut avoir l'impression d'être seul, même s'il y a des gens autour. C'est alors un sentiment d'isolement qui apparait, comme si on était emprisonné dans une tour invisible des autres. Ce sentiment ne correspond pourtant pas forcément à la réalité, c'est une illusion qui peut modifier la vision du monde.