Avoir peur de s'attacher, c'est aussi avoir peur de faire le mauvais choix et de se retrouver coincé. e avec la mauvaise personne. En effet, nous avons peur que l'autre nous fasse du mal, alors plutôt que de prendre ce risque, nous écoutons notre peur et nous nous empêchons de trouver l'amour.
Lorsque nous aimons quelqu'un, nous faisons non seulement face à la peur de perdre cette personne, mais nous prenons davantage conscience de notre finitude. En entrant dans une relation émotionnelle, nos vies gagnent en valeur et l'idée de mourir devient alors plus terrifiante.
La peur excessive de ressentir de l'amour et de l'attachement dans une relation (amoureuse, amicale et familiale) est appelée philophobie. Elle est souvent liée à un évènement traumatique comme un divorce, un deuil, une rupture douloureuse... Parmi les symptômes, on retrouve l'isolement et/ou le refus de s'engager.
"Mais en réalité, la peur de l'amour est inconsciemment liée à la peur du rejet. Les personnes qui en souffrent ont énormément d'affection et d'attention à donner, mais ne souhaitent pas s'exposer aux blessures amoureuses", précise la psychologue. Femmes et hommes concerné.
Les difficultés à s'attacher sont liées à une peur, pas forcément consciente, autour du fait d'être envahi·e par l'autre et par la relation. Les personnes qui ont du mal à s'attacher ont tendance à ressentir rapidement que les besoins émotionnels du partenaire sont impossibles à satisfaire.
Les raisons sont à chercher au coeur de nos histoires personnelles. Ainsi, beaucoup de personnes ayant profondément souffert dans une ancienne relation n'osent plus se lancer de peur de souffrir à nouveau, d'autres qui ont été blessées ou trahies ne veulent pas accorder leur confiance de peur d'être trahies à nouveau.
Les conséquences c'est de vous mettre dans une situation de dépendance qui vous empêche de développer votre propre personnalité profonde. La dépendance ne crée pas l'amour mais l'atomise au contraire. Il est indispensable d'être d'abord soi même pour aimer vraiment.
Il est crucial de comprendre que cette peur n'est pas un signe de faiblesse ou d'insécurité de votre part. Elle est plutôt une réaction humaine naturelle face à une expérience douloureuse. Cependant, il est important de ne pas laisser cette peur prendre le contrôle de votre vie et de votre relation.
Il est normal d'avoir peur des PN dans les cas où on est proches d'eux, vraiment très proches! Notamment en présence de liens familiaux ou en relation de couple. Parce qu'en dehors de ce contexte de proximité, ils peuvent paraitre complètement inoffensifs parfois même exemplaires!
La sensation éprouvée par l'haptophobe peut se caractériser par des frissons et une angoisse. Il se peut aussi qu'il fasse une crise d'angoisse lorsqu'il est dans un lieu où il est collé à d'autres personnes.
Attachement dissuasif (évitant)
Selon Bowlby (1988), il s'agit d'un évitement au service de la proximité. Le comportement d'attachement ayant pour but de maintenir la proximité, la fonction de cet évitement est de désactiver les sentiments et les idées qui menacent la relation réelle ou perçue.
Une nouvelle étude, publiée dans « The Journal of Sexual Medicine » avance de nouvelles données surprenantes sur ce déclic amoureux. Selon les scientifiques de l'Université de Syracuse, tomber amoureux ne prendrait pas des jours mais moins d'une seconde. 1/5ème de seconde très exactement.
Par conséquent, les types d'attachement qu'Ainsworth a identifiés dans son expérience s'appliquent également aux relations amoureuses. Il s'agit de l'attachement anxieux, de l'attachement évitant et de l'attachement sécurisant.
Une perturbation sociale et affective persistante, accompagnée d'au moins deux des comportements suivants : absence d'attention aux autres, affect positif limité, comme le plaisir ou l'émerveillement, épisodes inexpliqués d'irritabilité, de tristesse ou de peur lors d'interactions avec des adultes non menaçants.
L'amour demande beaucoup de choses : du temps, la connaissance de l'autre, avoir vécu des moments forts ensemble, etc. L'attachement est une certaine emprise sur l'autre, on a peur de le perdre, on a souvent de grandes attentes par rapport au comportement de l'autre, des frustrations et des déceptions en découlent.
La sphère privée de l'autre n'est plus respectée. Un des deux ou même les deux partenaires n'investissent plus dans le couple: Il n'y a plus d'engagement dans la relation. Un partenaire ignore l'autre dans les décisions importantes, les promesses ne sont pas tenues, on ne prend plus de temps l'un pour l'autre.
Ce comportement peut se manifester de diverses manières : ne pas écouter activement, ne pas réagir aux histoires ou aux nouvelles partagées par son mari, ou changer de sujet sans reconnaître ce qui a été dit. Ce type de communication rompue est souvent un indicateur que la relation n'est plus une priorité pour elle.
Il existe de nombreuses raisons qui poussent les gens à tromper leur partenaire. Insatisfaction conjugale, détachement affectif, peur de l'engagement ou vengeance, insatisfaction sexuelle, goût de nouveauté et vulnérabilité temporaire sont des motifs évoqués pour avoir une relation extraconjugale.
La peur de se tromper peut se montrer paralysante. L'agilité émotionnelle en est l'antidote. Commencez par mettre des mots sur vos pensées et sur vos sensations : par exemple, « J'ai peur de ne pas savoir contrôler suffisamment bien mes clients pour protéger mes collaborateurs. »