Comme pour les autres troubles anxieux, les causes de la peur de parler en public sont « multifactorielles » : des participations génétiques, congénitales, éducatives et sociales sont évoquées. Dans certains cas on retrouve des événements traumatisants dans les antécédents, dans la vie familiale ou scolaire.
Si votre voix déraille quand vous prenez la parole en public, cela serait dû à des activations cérébrales causées par le stress, révèle une nouvelle étude américaine. La glossophobie ou peur de parler en public est un phénomène qui touche de très nombreuses personnes.
L'anthropophobie, aussi appelée phobie de relations interpersonnelles, et une crainte pathologique des gens et de la compagnie des gens.
La phobie sociale peut concerner une situation en particulier ou plusieurs situations. Ce qui alimente la peur, c'est les pensées qui y sont associées. Ce sont des pensées « déformées » dans le sens où elles ne sont pas adaptées à la réalité ou excessives, par exemple « tout le monde va penser que je suis nul(le) ».
Les médicaments que votre psychologue peut vous prescrire en complément ont pour but d'atténuer les symptômes physiques de l'anxiété ainsi que la survenue des pensées négatives. Parmi eux on retrouve : Les antidépresseurs comme : la phénelzine, la paroxétine, l'escitalopram ou encore la sertraline.
On parle souvent de “timidité” pour exprimer cette peur d'aller vers les autres. Comme le souligne la psychologue Sabrina Philippe, “c'est quelque chose de très courant et cela touche en moyenne 1 Français sur 2. Elle va le plus souvent s'exprimer dans des situations qui ne nous sont pas familières.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
A la croisée des chemins entre l'anxiété, la timidité et l'introvertisme, l'anxiété sociale est à la fois un trouble à part et un savant mélange des trois. Laurie Hawkes, psychothérapeute, nous guide pour mieux comprendre les subtilités de l'anxiété sociale.
Le Trouble d'anxiété sociale (ou Phobie sociale)
La personne est en contact avec des gens non familiers ou exposée à l'éventuelle observation d'autrui. La personne craint d'agir (ou de montrer des symptômes anxieux) de façon embarrassante ou humiliante.
La timidité maladive est une forme de timidité sévère au point de ne plus avoir envie d'entretenir de contacts avec l'extérieur. Les personnes qui souffrent de timidité maladive vont éviter les relations humaines, se renfermer sur elles-mêmes.
La peur est une émotion ressentie en présence ou dans la perspective d'un danger ou d'une menace. Elle est un instinct de conservation provoqué par l'analyse du danger et elle permet au sujet de le fuir ou le combattre.
Lorsqu'elle est modérée, l'angoisse de parler en public est pesante mais pas invalidante. En revanche, lorsque le trac se fait plus intense et confine à la phobie, ceux qui en sont atteints se retrouvent comme enfermés, incapables de surmonter la terreur qui les paralyse.
L'anxiété généralisée est une maladie qui se soigne. Il existe des traitements reconnus pour traiter ce trouble. Les traitements permettent aux personnes qui présentent ce trouble de reprendre le contrôle sur leur vie et leurs activités quotidiennes.
L'anxiété généralisée constitue le trouble anxieux le plus courant. Elle touche entre 5 % et 8 % de la population. Les femmes sont deux fois plus touchées que les hommes, surtout après 40 ans. À partir de cet âge, une femme sur dix est concernée.
C'est une façon d'apporter un signal de bienveillance au cerveau. Le toucher est également un sens qui aide à réduire la rumination mentale et les pensées négatives.
la génétique : les phobies peuvent être transmises d'une génération à une autre; l'environnement : un événement effrayant ou un traumatisme peut provoquer une phobie. Par exemple, une personne qui évite la noyade de justesse pourrait développer une phobie de l'eau.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
L'agoraphobie est un trouble dont la définition psychiatrique peut se résumer par la peur de sortir de chez soi ou de ne pas pouvoir s'échapper facilement d'un endroit. Cette phobie peut avoir des conséquences lourdes sur la vie quotidienne et sociale du patient, et cela ne se guérit pas du jour au lendemain.