Le vrai bonheur s'accompagne de la peur de la douleur Au final, il n'y a pas de bonheur qui dure éternellement et les tristes jours viendront inévitablement. C'est pourquoi nous avons tellement peur de nous lancer dans une histoire d'amour, qui remplira nos cœurs de bons sentiments, mais qui peut aussi être douloureux.
"Mais en réalité, la peur de l'amour est inconsciemment liée à la peur du rejet. Les personnes qui en souffrent ont énormément d'affection et d'attention à donner, mais ne souhaitent pas s'exposer aux blessures amoureuses", précise la psychologue.
Un risque inévitable
Peur de souffrir à cause d'une rupture, peur d'être trahi(e), déçu(e), trompé(e), manipulé(e), peur de montrer sa vulnérabilité et qu'elle soit utilisée,… Les peurs liées au sentiment amoureux sont nombreuses et, je vous l'accorde, pas toujours illégitimes ou irrationnelles.
En effet, elle sécrète une quantité importante de deux substances soit la dopamine et la noradrénaline. Ces deux hormones liées à l'humeur font disparaître la tristesse et l'anxiété. Le sentiment de bien-être qu'atteint la personne amoureuse s'apparente à celui que procure la cocaïne.
Du grec “philo” qui signifie “amour” et phobos pour “peur”, la philophobie est littéralement, la peur de tomber amoureux.
Des blessures mal guéries ou d'anciennes expériences négatives peuvent faire que nous n'ayons pas confiance d'ouvrir notre cœur à une nouvelle personne. Et par la suite, nous pouvons aussi nous éloigner de l'intimité car elle suscite des sentiments de douleur, de perte, de colère ou de rejet.
Il peut se traduire par un manque de confiance en soi, une tendance à se victimiser ou se suradapter, des angoisses répétées, un sentiment d'illégitimité… Ce sentiment d'insécurité peut provenir de différents facteurs : un attachement insécure. de mauvaises expériences qui ont ouverts des blessures.
Il est important alors de s'intéresser aux fausses barrières de cette personne et de la rassurer sur ce qui la rebute le plus et sur ce qui semble important à ses yeux. Il faut utiliser les bons mots et les arguments pour lui prouver qu'une relation sérieuse n'est pas synonyme d'enfermement.
L'amour entre deux êtres humains a pour connotation d'être un sentiment fort, incontrôlable et qui déchaîne les passions. Il peut altérer notre perception de la réalité, augmenter drastiquement notre bonheur et finalement bouleverser notre existence, oui rien que ça !
La peur de l'amour (ou de tomber amoureux) est connue sous le nom de philophobie. Le mot vient du grec filos qui signifie aimer et de phobos qui signifie peur ou crainte. Les personnes qui en souffrent ont peur de l'amour ou d'avoir de l'attachement émotionnel pour qui que ce soit.
La peur d aimer et d etre blessé, pour certain c est perdre sa liberté, pour d autre c est l engzgement qui fait peur. Donc c est la peur tout simplement. Ce qui peut empêcher quelqu'un d'aimer une autre personne relève tout simplement de sa propre expérience, douloureuse pour la majeure partie du problème.
Peur d'être abandonné, perte de confiance en soi, jalousie pathologique qui déchire à chaque fois que l'être aimé détourne son regard vers un autre que soi, peur de ne plus être soi-même,… Accusé « Amour », levez-vous : « vous êtes déclaré coupable de faire mal ! »
On parle alors de dépression amoureuse, une forme de dépression réactionnelle. La tristesse quasi-permanente et la perte d'intérêt pour ses activités habituelles sont les symptômes les plus importants de la dépression.
En effet vu que la personne hypersensible donne intensément, elle peut avoir le sentiment que la réciprocité n'est pas à la hauteur de ses attentes. Le risque d'étouffement dans le couple et sensation que l'autre ne donne pas au même niveau peuvent générer des tensions.
Plonger dans un film ou aller courir une heure, ça vide l'esprit. On peut aussi sortir avec ses amis jusqu'à pas d'heure, commencer une série, découvrir le tricot, la céramique ou enfin se mettre à Top Chef ou Koh Lanta. Tout ce qui vide la tête est bon à prendre.
Certainement, une femme aussi peut oublier. Curieusement, on garde parfois en mémoire précieuse de personnes avec qui “il ne s'est rien passé”, comme quelqu'un avec qui on a eu une grande conversation dans un train, et on oublie complètement des gens avec qui on a eu des rapports intimes.
Selon la psychologue Bluma Zeigarnik, le cerveau de l'être humain n'arrive pas à oublier les tâches qu'il a commencées et qu'il n'a pas pu achever. Même s'il en a accompli d'autres à côté, il va toujours avoir tendance à se focaliser sur ce qu'il n'a pas terminé.