Une envie d'uriner trop fréquente est parfois le signe d'une hyperactivité de la vessie. L'hyperactivité vésicale résulte d'une contraction anormale du muscle de la vessie, dont la cause n'est pas identifiée.
Se coucher ou rester debout vous permettra de libérer toute pression de votre abdomen. Même le simple fait de changer de position un instant peut également vous permettre de retenir vos selles jusqu'à ce que vous puissiez aller aux toilettes. Au cas où vous seriez assise, changez de position sur le siège.
Faux besoins
Sensation de besoin impérieux d'évacuer une selle, alors que rien n'est évacué, si ce n'est parfois un gaz, ou encore quelques glaires mélangées à du sang.
Un transit est considéré normal lorsque la fréquence d'évacuation est comprise entre deux fois par jour et tous les trois jours. La fréquence des selles n'est pas le seul élément de diagnostic de constipation ou de diarrhée. En effet, quand on est constipé, les selles sont dures et difficiles à expulser.
Une envie d'uriner trop fréquente est parfois le signe d'une hyperactivité de la vessie. L'hyperactivité vésicale résulte d'une contraction anormale du muscle de la vessie, dont la cause n'est pas identifiée.
Le fécalome est la conséquence d'une constipation chronique favorisée par une immobilisation prolongée, des troubles nerveux empêchant d'aller à la selle correctement, une carence en fibres ou la prise de certains médicaments comme les anticholinergiques, les morphiniques, les inhibiteurs calciques, ou les ...
Se retenir d'uriner favorise la stagnation de bactéries
Se retenir d'uriner fréquemment et longtemps provoque en effet une stagnation de l'urine et une accumulation de bactéries dans la vessie qui peut être à l'origine d'une infection urinaire (aussi appelée cystite).
Selon le site WebMD, on considère qu'il est normal d'aller vider sa vessie entre quatre et huit fois par période de 24 heures. Certains facteurs peuvent toutefois influer sur ces chiffres: une trop grande absorption de liquide, par exemple, va de toute évidence vous pousser à aller plus fréquemment aux toilettes.
L'encoprésie est l'émission régulière de selles formées ou semiformées dans les sous vêtements ou des endroits "inhabituels" (sur le sol…) après l'âge de 4 ans.
Habituellement, le cancer du côlon évolue silencieusement, parfois des années durant, avant de provoquer le moindre symptôme. Lorsque les symptômes apparaissent, il s'agit essentiellement de douleurs abdominales, d'une modification du transit intestinal et de la présence de sang dans les selles.
Causes. Des problèmes peuvent survenir en raison de l'alimentation, d'un excès de poids et du manque d'exercice. Les voyages et les changements dans les habitudes contribuent à la santé intestinale, mais peuvent aussi entraîner des problèmes temporaires.
en apprendre davantage ) ou de leur consistance (molles ou grumeleuses et dures), une distension abdominale, la présence de mucus dans les selles et la sensation d'évacuation incomplète après l'exonération.
Le syndrome du côlon irritable n'est pas dangereux pour la santé. Il est donc important de sortir de la culpabilisation, d'écarter l'idée d'une maladie psychologique ou de mauvaise alimentation. Il faut trouver des traitements et aider les patients atteints du syndrome du côlon irritable.
le fait de manger; les flatulences (excès de gaz); les hormones féminines (chez les femmes atteintes du SCI, les symptômes s'aggravent souvent pendant les menstruations); l'utilisation de certains médicaments et de certains aliments (par ex.
Lors de poussées de maladie de Crohn, les patients souffrent de maux de ventre (en particulier après les repas), d'épisodes de diarrhée pouvant durer plusieurs semaines, d'émissions de selles contenant du sang (parfois en quantité importante) ou des glaires, ainsi que de nausées, de vomissements et de perte d'appétit.
Si vous êtes atteint du cancer du pancréas, vous pourriez avoir différents types de diarrhée. Chez certaines personnes dont un canal biliaire est bloqué, les selles peuvent avoir la couleur de l'argile.
Le test immunologique, qui a remplacé l'Hémoccult, permet de repérer 70 à 80 % des cas. Il consiste à rechercher du sang occulte dans les selles. Cinq pour cent des tests se révèlent positifs et nécessitent un examen complémentaire pour savoir s'il s'agit d'un cancer (une fois sur deux environ).