La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
Pour le psychologue Boris Charpentier, le fait de cogiter en permanence permet également d'éviter les dangers. «Dans la nature, on cherche le prédateur. En l'absence de prédateur ou de problèmes extérieurs, le cerveau continue de chercher d'autres menaces», explique-t-il.
Pourquoi je rumine sans cesse ? Les ruminations mentales peuvent concerner tout le monde, mais elles sont souvent liées à des caractères anxieux. Même s'il est tout à fait possible d'être un. e « overthinker » sans être un.
Parmi les médicaments de cette catégorie, citons la rispéridone (Risperdal), la quétiapine (Seroquel), l'olanzapine (Zyprexa), la ziprasidone (Zeldox), la palipéridone (Invega), l'aripiprazole (Abilify) et la clozapine (Clozaril).
La réflexion excessive peut avoir pour origine le doute de soi ou un manque d'estime de soi, elle peut être liée au stress et à l'anxiété, ou encore être le résultat de traumatismes passés ou d'expériences négatives dans la vie.
Tout d'abord, essayez de pratiquer des techniques de pleine conscience telles que la méditation ou des exercices de respiration profonde ; elles peuvent vous aider à rester présent au moment présent au lieu de ressasser le passé ou de vous inquiéter de l'avenir.
Ce problème courant peut être résolu grâce à quelques gestes apaisants qui permettent de détendre les tensions musculaires et d'aider l'esprit à s'apaiser. La respiration, les souvenirs heureux, l'écriture, les techniques visuelles ou quelques gouttes d'huile essentielle de lavande peuvent suffire.
PSYCHOLOGIE - Les névrosés ont souvent mauvaise réputation. Nerveux, tendus, lunatiques, ils réfléchissent toujours trop et ne laissent rien passer. De l'avis général, ils n'ont pas bonne presse (après tout, ce comportement entraîne un certain nombre de risques susceptibles de nuire à la santé et au bonheur).
Angoisse d'anticipation : pourquoi je crains toujours le pire ? Imaginer une situation peut être une réelle source d'angoisse pour certaines personnes. Cette anxiété dite d'anticipation ou anticipatoire naît principalement d'une habitude ou d'un traumatisme.
L'overthinking, littéralement “penser trop”, se traduit par un torrent d'émotions et de pensées négatives qui persistent dans le cerveau de l'individu. État d'hésitation permanent, l'overthinking impacte le quotidien et le bien-être de celui ou celle qui en est victime.
Qui ne s'est jamais dit : je n'arrive pas à dormir car je pense trop, je rumine, je me repasse le fil de la journée. En effet, les pensées négatives qui tournent en boucle entrainent une suractivité mentale et intellectuelle qui vous stimule au point de retarder l'endormissement.
Souvent, c'est une stratégie pour éviter d'être face à des angoisses mais le mal-être ne disparaît pas pour autant. En effet, ces pensées sont habituellement accompagnées de sentiments et d'émotions désagréables comme la tristesse, la dévalorisation, la culpabilité ou la colère.
La méditation vous exerce à libérer votre esprit des idées du passé et des soucis de l'avenir, à vous concentrer sur le moment présent comme sur votre respiration. Elle peut clarifier vos pensées et réduire votre stress. Rire fait toujours du bien : le corps libère de l'endorphine, comme lors de l'activité physique.
C'est une "pensée involontaire" et répétitive, qui serait une tentative, mise en échec, de réponse à une détresse psychologique, à une douleur morale. Elle se traduit par une lamentation répétitive focalisée sur les symptômes de la détresse et/ou sur ses causes et conséquences possibles ou supposées.
Nom commun. (Médecine) Symptôme psychopathologique caractérisé par une accélération anormale du rythme de la pensée créant un état de surexcitation.
Les intolérances et les allergies. Le brouillard cérébral (brain fog) peut également être un indice d'intolérance ou même d'allergie à certains aliments. Le gluten, en particulier, est soupçonné de limiter la performance du cerveau - et pas seulement chez les personnes atteintes de la maladie coeliaque.
Distraire son esprit en discutant, entretenir le scepticisme et se donner une limite de temps comptent parmi les méthodes efficaces pour lutter contre la rumination, un réflexe susceptible d'augmenter le stress et les risques de dépression, selon Sonia Lupien.
Occupez plutôt votre cerveau à autre chose. Les jeux vidéo et les jeux de société sont très utiles pour cela. Vous pouvez également lire un livre, regarder la télévision ou téléphoner à un ami. Trouvez-vous quoi que ce soit qui requiert assez de concentration pour détourner votre pensée de ce que vous ruminez.