Le TOM peut être relié à différents facteurs tels: Une respiration buccale avec ou sans obstruction nasale; Un manque de tonus au niveau de la bouche (hypotonie); de mauvaises habitudes orales nuisibles (ex: sucer son pouce, ronger ses ongles, porter les doigt/objets à la bouche);
Le mot polyglotte vient des racines grecques polus, signifiant « nombreux » et glôtta, signifiant « langue ». Ceux qui parlent deux langues sont plus spécifiquement appelées bilingues et ceux qui en parlent trois, trilingues et ainsi de suite.
Le sigmatisme est une manifestation courante des troubles orofaciaux myofonctionnels. Il désigne un positionnement inadéquat de la langue qui affecte la production de certains sons. Ce trouble de l'articulation affecte plus souvent les sons « s, z », les sons « ch, j » et parfois les sons « t, d, n ».
Au repos la langue doit être en position haute : la pointe et le dos au contact de la partie avant du palais, en forme de vague (ce sont les papilles palatines). Les dents au fond ne doivent pas se toucher et les lèvres sont jointes mais souples.
Exercice de l'élastique : Placez un petit élastique sur la pointe de la langue et plaquez-le sur les papilles situées sur le palais. Avalez ensuite votre salive en prenant soin de ne pas avaler l'élastique bien sûr. Répétez ensuite cet exercice jusqu'à ce que l'élastique ne bouge plus du palais.
Machouyou est un dispositif médical très simple qui permet aux enfants d'arrêter la succion en douceur, de libérer la langue et d'équilibrer les muscles de la bouche en seulement 3 mois. Machouyou prépare la bouche à l'arrivée des dents définitives et agit en prévention orthodontique.
La langue est normalement rosée, mais il peut arriver qu'elle se couvre d'un dépôt blanchâtre et donne l'impression d'avoir la bouche pâteuse. Une langue blanche est aussi parfois appelée en médecine langue saburrale.
La langue est dans une bonne position au repos lorsque sa pointe est en contact avec la zone apexienne du palais qui se situe juste en arrière des incisives maxillaires et que les dents sont presque jointes. Les contours de la langue se placent sur le pourtour du palais, le long des molaires supérieures.
Afin de déglutir correctement, il faut garder les lèvres, les joues et le menton immobile, ne pas bouger non plus la pointe de la langue, serrer les dents et surtout les molaires qui doivent être en occlusion ainsi qu'appuyer la pointe de la langue sur les papilles palatines situées sur le palais.
Le trouble primaire du langage oral, ou la dysphasie, est un trouble neurodéveloppemental du langage qui affecte la compréhension et/ou l'expression d'un message verbal, peu importe la modalité de présentation, langage oral ou écrit.
Les troubles du langage oral correspondent à un trouble de l'articulation, à un retard de parole ou de langage, à un bégaiement ou à une dysphasie. Parfois associés à d'autres troubles, ils peuvent être à l'origine de difficultés scolaires et perturber le comportement de l'enfant.
La dyspraxie verbale est un trouble qui affecte la capacité à prononcer les sons. L'enfant dyspraxique a de la difficulté à planifier et à programmer les mouvements nécessaires pour parler.
Un trouble d'articulation est d'origine fonctionnelle lorsque toutes autres anomalies physiologiques ou sensorielles ont été écartées. La dentition peut aussi être impliquée lorsque des dents sont soit manquantes, mal alignées ou mal positionnées.
Qu'est-ce que le zozotement ? Le sigmatisme interdental, plus communément appelé « zozotement », « zézaiement » ou encore « cheveu sur la langue », résulte de l'interposition antérieure de la langue entre les deux arcades dentaires. Il touche préférentiellement les consonnes dites constrictives : [S]/[CH] et [J]/[Z].
Le sigmatisme interdental apparaît lorsque la langue se place entre les deux arcades de dents. Le "s" est alors prononcé comme un "th" anglais, la langue contre les dents de devant. Le sigmatisme latéral est provoqué par une anomalie au niveau des mâchoires.
Voici les conséquences néfastes qui découlent directement des symptômes du Bruxisme. Une inflammation des muscles de la mâchoire. Une usure accélérée et prématurée des dents. Des problèmes importants à l'articulation.
On commence par prendre l'habitude de "laisser tomber" sa mâchoire vers le bas (en dirigeant le menton vers la poitrine, pas vers l'avant) le plus souvent possible. Pour s'aider, on pose le bout de sa langue dans le creux du palais. Les mâchoires s'ouvrent automatiquement et se détendent.
Dans la journée, pour éviter de serrer les dents, il suffit de pincer les lèvres. C'est imparable, on ne peut pas faire les deux à la fois. On peut aussi placer le bout de la langue entre les dents quand on veut être plus discret.
Une intense envie de boire, la langue collée au palais, les lèvres fissurées par le dessèchement voire une gêne permanente à la déglutition… Ne cherchez pas : vous souffrez de sécheresse buccale. Ce trouble que les spécialistes appellent aussi xérostomie, est provoqué par un déficit de sécrétion salivaire.
Les canines jouent un rôle très important dans la fonction de la mastication. La canine doit idéalement prendre les forces de la mastication. Ainsi, en mangeant, les molaires se touchent. Toutefois, lorsque la mâchoire inférieure glisse latéralement, les molaires et les incisives ne doivent pas se toucher.
On peut par exemple avoir mal à un endroit précis parce que la langue frotte sur une dent en mauvais état. Il y a aussi des langues sensibles à certains aliments, les douleurs peuvent aussi êtres liées à un manque de salive ou à une carence en vitamine ou en fer.
Des ulcérations buccales ou des plaques rouges et enflammées sur les tissus, souvent recouvertes par la mycose. Une peau rouge et craquelée aux coins des lèvres.
Le diagnostic du cancer de la langue débute habituellement par une consultation motivée par une douleur buccale, une plaie linguale qui ne cicatrise pas (ulcère), un bouton ou une masse anormale sur la langue, des difficultés d'élocution et/ou de déglutition, ou encore une hypersalivation.