L'hyperventilation est caractérisée par une augmentation de la vitesse de respiration, souvent en situation de stress ou de panique (mais pas toujours). Lorsque nous respirons, nous inspirons de l'oxygène et expirons du gaz carbonique(CO2).
Les causes
Il peut s'agir alors d'une maladie bénigne et ponctuelle comme une bronchite (inflammation des bronches) ou d'une réaction allergique à une substance inhalée. Une maladie respiratoire chronique comme l'asthme est aussi envisageable.
L'hyperventilation désigne une respiration rapide, ample et supérieure aux besoins métaboliques. Ce symptôme peut avoir de nombreuses causes dont le stress, l'anxiété et l'hypoxie (manque d'apport en oxygène).
La position
Dormir sur le dos peut faire glisser votre langue vers la gorge et bloquer ainsi le flot d'air. Essayez de vous positionner sur le côté pour dormir. Si vous avez tendance à vous retourner sur le dos pendant la nuit, vous pouvez coudre une balle de tennis à l'arrière de votre pyjama.
En fait, le "râle" dans les poumons témoigne d'un problème lors du passage de l'air dans les bronches. Il peut s'agir d'un début de pneumonie, mais aussi d'une bronchite aiguë ou infectieuse (avec une respiration sifflante). Dans tous les cas, il faut consulter immédiatement son généraliste.
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
"La respiration abdominale est utile parce qu'elle améliore l'oxygénation du corps. La qualité de la respiration étant meilleure, le corps va mieux, et si le corps va mieux l'équilibrage du système nerveux est meilleur, ce qui annihile la production du cortisol, hormone du stress.
Respirer par la bouche expose à un plus grand nombre d'infections car l'air entrant est froid et encore chargé en bactéries. Une croissance de la face : Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage.
La respiration sifflante provient d'une gêne au niveau des voies respiratoires. Un bruit aigu peut alors être entendu lors de l'expiration et, de manière plus occasionnelle, lors de l'inspiration. Ce sifflement provient en général d'un rétrécissement des voies respiratoires.
Respiration bruyante chez les patients durant les derniers jours de vie qui serait due à l'accumulation de sécrétions dans les voies aériennes. On les entend en général dans les 24 à 48 heures avant le décès.
Des douleurs au dos
La grande majorité des cancers peuvent se propager aux os. C'est le cas du cancer du poumon, qui lorsqu'il métastase au niveau des os, peut entraîner des douleurs osseuses particulièrement au niveau de la colonne vertébrale, des côtes, des bras et des jambes.
Légèrement surélevée : la meilleure position en cas de rhume
L'idée est de dormir en position inclinée plutôt qu'allongée : cela permet d'atténuer la pression sur les sinus et de dégager les voies respiratoires. Résultat : on respire mieux et l'endormissement est facilité.
L'apnée du sommeil. L'apnée du sommeil touche en général les personnes âgées de plus de 60 ans. Néanmoins, cette détresse respiratoire nocturne peut également être détectée chez certains enfants et jeunes adultes, notamment chez les personnes souffrant d'obésité.
Ce peut être aussi un essoufflement à l'effort. Il est souvent déclenché par des facteurs précis : allergie, tabac, pollution, stress, rire, parfums, sport, cycle menstruel... ». L'essoufflement peut être en rapport avec des maladies plus graves mais aussi plus rares : cancer, fibrose pulmonaire, etc.
L'essoufflement a le plus fréquemment une origine pulmonaire ou cardiaque et peut être due à de l'asthme, une obstruction des voies respiratoires, notamment par un corps étranger, une infection ou autre maladie pulmonaire, un problème cardiaque comme une embolie pulmonaire ou une insuffisance cardiaque.
Un problème respiratoire peut être provoqué par un épisode de stress, sans qu'il s'agisse d'une pathologie chronique. En effet, le stress peut provoquer de nombreux symptômes, tout aussi difficiles à vivre que ceux provoqués par une maladie infectieuse. Néanmoins, le stress peut également être facilement maitrisé.
La seule action qui permet de nettoyer vos poumons c'est d'arrêter du fumer et d'attendre que vos micro-cils évacuent les mucosités pour dégager les voies respiratoires. 10 à 15 ans après la dernière cigarette, là alors l'espérance de vie reviendra à l'identique des personnes n'ayant jamais fumé.
La dyspnée est la perception consciente d'une gêne respiratoire, une sensation de manque d'air accompagnée d'un essoufflement. Le patient se plaint « d'avoir du mal à respirer » ou encore de « manquer d'air ».
Selon une étude parue dans Nature : nos poumons ont la capacité de se régénérer après l'arrêt du tabac. Cela confirme un vieil adage : il n'est jamais trop tard pour arrêter de fumer.