Parmi les causes les plus fréquentes, on retrouve la fatigue mentale et physique, des changements hormonaux (cycle hormonal, syndrome prémenstruel, ménopause, andropause...). Parfois, cela peut être le symptôme d'un mal-être plus profond.
Il est normal, par exemple, d'être plus en colère après une mauvaise nuit de sommeil. Cependant, une irritabilité extrême ou prolongée peut indiquer des problèmes physiques et psychologiques sous-jacents, tels qu'une infection, du diabète, de l'anxiété ou une dépression.
Faites régulièrement de l'exercice, grand modérateur de stress. Apprenez à vous relaxer. Non pas simplement quand vous êtes au calme, mais aussi dès l'instant où vous sentez l'irritation monter. Apprenez les mouvements respiratoires ou les images mentales qui vous aideront à redevenir serein.
Les facteurs psychologiques
Les mauvaises habitudes de vie (manque de sommeil, peu d'activité physique...) et les événements extérieurs (conditions économiques, stress, traumatismes, difficultés relationnelles…) sont susceptibles d'affecter profondément l'état psychologique.
Certaines maladies comme l'arthrite, le cancer, la maladie de Parkinson, les maladies cardiovasculaires, etc. Les causes peuvent également être chimiques et physiologiques : le faible taux de certains neurotransmetteurs comme la sérotonine, la dopamine et bien d'autres, peut affecter l'humeur.
Le trouble explosif intermittent, ou TEI, est un problème de santé mentale caractérisé par de fréquents accès de colère excessive et d'impulsivité.
La cyclothymie est un tempérament, qui touche environ 6% de la population ; il se caractérise par une humeur changeante et intense. Les personnes qui ont un tempérament cyclothymique sont très sensibles aux émotions et peuvent changer brusquement d'humeur. Ce qui ne les empêche pas d'être heureuses !
Se sentir en permanence en colère peut également être le signe d'un mal être que l'on ne reconnait pas ou que l'on ne veut pas reconnaitre. Comme il faut bien que cela s'exprime à un moment, cela passe par une émotion vive et forte.
Exercice régulier: Le mouvement et l'exercice sont excellents pour votre santé physique et mentale. Ils peuvent également vous aider à traiter ou à prévenir les sautes d'humeur.
Fatigue réactionnelle : quand le corps ne supporte plus le stress. La fatigue réactionnelle est une forme de fatigue temporaire qui trouve son origine dans des perturbations du mode de vie (souvent un rythme de de vie exténuant et usant, des états de stress répétitifs) ou des maladies de courte durée.
Les infusions de thé vert et la camomille ont un effet tranquillisant qui est très efficace sur le stress et l'anxiété. Dans le même registre, les tisanes à la lavande ont aussi des bienfaits pour la relaxation. En effet, la lavande agit sur le système nerveux : elle apaise les migraines et permet de se relaxer.
Savoir désamorcer, une question de bon sens
Parfois, il est nécessaire d'attendre le bon moment pour aborder la situation avec la personne, il s'agit là de faire preuve de bon sens. Savoir comment désamorcer : soit tout de suite si nous nous sentons en mesure de le faire, soit en remettant la discussion à plus tard.
La tristesse sans raison apparente peut être déroutante, surtout lorsque tout semble aller bien dans votre vie. Parfois, cette tristesse peut être le signe d'un trouble anxieux ou d'un stress chronique. L'anxiété peut se dissimuler derrière d'autres symptômes, tant mentaux que physiques.
Si l'éthylisme chronique et les états d'agitation et d'agressivité qu'il entraine sont la principale raison de prescrire du Tiapridal®, il en existe d'autres. Ce neuroleptique peut en effet également traiter certains troubles du comportement chez l'enfant.
Personnalité anxieuse
Ces personnes ont tendance à toujours penser que le pire est probable ou du moins plausible et s'entourent alors d'un maximum de précaution pour éviter les difficultés auxquelles elles ont songé. Le moindre évènement quotidien peut ainsi devenir une affaire compliquée.
Dans le trouble cyclothymique, des épisodes d'exaltation (hypomanie) relativement courts et légers alternent avec des épisodes de tristesse (dépression) courts et légers. Le trouble cyclothymique ressemble au trouble bipolaire. en apprendre davantage , mais il est moins grave.
Tristesse et joie font partie de l'expérience normale de la vie quotidienne et diffèrent de la dépression et de la manie qui caractérisent les troubles de l'humeur. La tristesse est une réponse naturelle à une perte, un échec, une déception, un traumatisme ou une catastrophe.
La colère fait partie de la palette d'émotions naturelles chez l'être humain. Elle est d'ailleurs nécessaire pour faire face à de nombreuses circonstances. Le problème surgit lorsque sa manifestation est trop violente et nous fait dire ou faire des choses que l'on regrette.
la JOIE et le CŒUR ; la TRISTESSE et le POUMON ; la PEUR et le REIN ; le SOUCI, lié à la RATE et à l'ESTOMAC.
Le critère principal du TEI consiste en l'occurrence d'épisodes où la personne ne peut résister à ses impulsions agressives et qui mènent à des actes de violence dirigés vers autrui ou vers des objets.
Les hormones sont les facteurs les plus sensibles chez les femmes, car elles subissent souvent plus de fluctuations hormonales que les hommes. Par exemple, le syndrome prémenstruel, la grossesse et la ménopause peuvent tous contribuer aux changements d'humeur.
Dépression : dans certains cas, les sautes d'humeur peuvent être le symptôme d'un trouble dépressif. Lorsqu'il s'agit d'un symptôme de dépression, les humeurs peuvent fluctuer de l'irritabilité à la tristesse extrême. Trouble bipolaire : Les sautes d'humeur peuvent également être un symptôme du trouble bipolaire.
Les sautes d'humeur dépendent en grande partie des niveaux d'œstrogènes et de progestérone dans l'organisme. Le phénomène que tu vis est tout à fait naturel – d'autres femmes ressentent la même chose.