Ainsi les connaissances en biologie sont basées sur des données expérimentales, et le savoir peut toujours être remis en cause par de nouvelles expériences. Un « fait scientifique » est donc toujours provisoire, sa vérité n'est que temporaire et sous réserve de données nouvelles.
On les subdivise en sciences physiques (physique et chimie) et sciences de la nature (biologie et médecine), la géologie pouvant quant à elle être classée parmi les premières ou les secondes.
Fondamentalement, parce que c'est une science étudiant un objet qui évolue, en l'occurrence le vivant. Spécificité qui la distingue des autres sciences sur plusieurs points, dont voici quelques exemples. Du fait de l'évolution du vivant, la biologie possède une dimension historique et se construit sur des récits.
Nous appelons sciences expérimentales toutes les sciences qui ont pour objet l'étude de la réalité matérielle et de ses lois parce que la méthode expérimentale est celle qu'elles utilisent ou tendent à utiliser.
Les sciences empiriques, telles que la biologie, la physique, l'économie, ou encore la psychologie, se basent sur l'observation et l'expérimentation pour tester leurs hypothèses et construire des théories.
On distingue trois types de science dont les sciences formelles, les sciences sociales et les sciences naturelles.
L'objet de la biologie est l'être vivant et la vie, dans son ensemble et son fonctionnement.
L'Étude expérimentale est une activité dans laquelle les élèves créent une expérience à réaliser en laboratoire qui leur permettra d'étudier les causes, les effets, la nature ou les propriétés d'objets ou de phénomènes par la manipulation ou l'expérimentation.
1La méthode expérimentale est une démarche scientifique qui consiste à contrôler la validité d'une hypothèse au moyen d'épreuves répétées, au cours desquelles on modifie un à un les paramètres de situation afin d'observer les effets induits par ces changements.
2La découverte de la circulation du sang publiée en 1628 par William Harvey est considérée comme l'acte fondateur de la méthode expérimentale dans les sciences de la vie.
Dans son acception la plus large, la biologie correspond aux « sciences de la vie » et couvre tous les aspects de l'étude du monde vivant (→ vie). Elle regroupe les disciplines consacrées aux animaux, aux végétaux et aux micro-organismes, à leur environnement et à leur évolution.
Une vision stricte de la biologie la réduit aux comportements des vivants, qu'ils soient pris isolément ou en relation avec leur milieu. Une vision large de la biologie propose l'étude complète des êtres vivants, englobant l'ensemble des sciences du vivant.
Tous les êtres vivants sont caractérisés par trois grands ensembles de fonctions, les fonctions de nutrition, les fonctions de reproduction et les fonctions de relation.
La physique expérimentale est la branche de la physique qui s'attache à sonder le fonctionnement de l'univers par l'expérience, par opposition à la physique théorique qui tente de l'expliquer par la théorie.
La méthode expérimentale consiste à étudier un phénomène en termes de relation de cause à effet. Le chercheur s'intéresse exclusivement à la relation qui existe entre les variables indépendantes et la variable dépendante.
La méthode expérimentale est employée au sein de disciplines considérées comme des sciences humaines, telles que la sociologie, la psychologie, l'économie ou l'archéologie. L'expérience de Milgram est un exemple d'expérience de psychologie réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram.
Réponse simple des sciences expérimentales : une hypothèse est une proposition relative aux conditions de production d'un certain type de phénomènes, proposition qu'on se propose de vérifier expérimentalement en réalisant ces conditions ; la réponse du réel est espérée du type « vrai » ou « faux ».
Galileo Galilei, Le Tintoret en 1605.
Le rôle de la biologie est de comprendre le fonctionnement des êtres vivants (plantes et animaux), leur origine, la manière dont ils ont évolué, et leurs caractéristiques.
Il s'agit de Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829). Il naît à Bazentin (Somme) dans une famille picarde peu fortunée.