Les maladies les plus courantes liées à la plongée sont le barotraumatisme de l'oreille, le mal de décompression et la surpression pulmonaire. Ces accidents de plongée peuvent généralement être évités avec une bonne formation.
La plongée sous-marine fait partie des quelques sports pour lesquels il existe des contre-indications absolues : toute maladie qui peut être à l'origine d'un malaise : diabète, maladies du cœur ou des vaisseaux, maladies ORL, épilepsie et autres troubles neurologiques.
La plongée sous-marine est une activité de loisir relativement sans danger pour la personne en bonne santé convenablement formée. Les cours sur la sécurité en plongée sous-marine proposés par des organismes nationaux de plongeurs sont largement disponibles.
L'objectif est d'évacuer l'azote accumulé dans votre organisme. Si en effet vous remontez trop rapidement, l'azote ne sera pas éliminé. Pire, des bulles de gaz - transportées principalement par le sang - risquent de boucher certains vaisseaux, entraînant entre autres des risques de paralysie, de thrombose...
La décompression
Durant la remontée et pendant les heures qui suivent l'immersion, votre corps va devoir consommer de l'énergie pour évacuer ce surplus d'azote afin de retrouver son état de fonctionnement normal. Ce travail supplémentaire explique en partie pourquoi vous êtes fatigué après la plongée.
9- Pas de sport violent après la plongée
Toujours à cause de la saturation en azote des tissus, il est recommandé de ne pas faire d'apnée ni de sport après une plongée. Un effort violent favorise en effet les accidents de décompression. Ce serait quand même dommage de se blesser après avoir plongé.
Les accidents de décompression sont principalement connus pour être des accidents de plongée. Ils surviennent lorsque l'azote se dissout lors de la plongée dans les tissus de l'organisme lorsque la pression environnante est élevée, forme des bulles de gaz lorsque la pression baisse.
Vous n'avez pas le niveau pour le site ou le type de plongée prévu. Vous avez une condition médicale (cardiaque, épileptique, enceinte…) ou psychologique (schizophrénie, paranoïaque, claustrophobie ou autres) qui ne permet pas de plonger. Il n'y a pas d'équipement de premier secours sur le bateau ou au club de plongée.
La narcose, aussi appelée « l'ivresse des profondeurs », est un phénomène naturel, du à un excès d'azote qui, par conséquent, agit sur le système nerveux et provoque des troubles comportementaux.
En pratique, Il faut se pincer le nez et souffler doucement en continu, bouche fermée (comme si vous vouliez vous moucher). Ce geste va alors forcer l'ouverture de la trompe d'Eustache et de l'air va pouvoir passer dans l'oreille moyenne, ce qui permet ainsi d'égaliser les pressions.
La plongée est classée comme un sport extrême mais sa pratique en loisir avec des accompagnants diplômés et expérimentés devient une activité nautique ouverte à toutes et tous.
La narcose à l'azote (ivresse des profondeurs) est provoquée par une pression partielle de l'azote élevée. Les symptômes ressemblent à ceux de l'intoxication alcoolique. Les personnes sont euphoriques, désorientées et leurs capacités de jugement sont altérées.
La surpression pulmonaire est l'un des accidents les plus graves qui guettent le plongeur. Il est provoqué par une dilatation excessive des poumons au cours de la remontée vers la surface. Lorsque, en remontant, le plongeur bloque sa respiration, l'air contenu dans les poumons se dilate (Loi de Boyle-Mariotte).
Et il m'a fait (re)prendre conscience d'une réponse partielle à cette question : on peut sans problème monter à 300 m après une plongée. En effet, si on évacue un plongeur accidenté, on utilisera un hélicoptère, et celui-ci volera autour de 300 m au-dessus du sol.
Pour éviter l'accident de décompression, il faut que le plongeur ait expulsé tout l'azote avant d'avoir remonté en surface. Cet accident survient à des personnes qui, après une plongée profonde ou prolongée, remontent trop vite ou sans respecter les paliers de décompression.
Il faudrait donc prendre une goulée d'air, enlever l'embout de respiration, introduire la nourriture, déglutir, et si l'expérimentateur ne s'est pas étouffé, reprendre l'embout pour respirer.
Victor Vescovo a résisté à la pression écrasante de l'océan et a battu le record du monde de plongée sous-marine en atteignant les 10 925 mètres de profondeur, marquant un nouveau chapitre dans l'histoire maritime d'OMEGA.
L'accident de décompression est un trouble au cours duquel l'azote, qui s'est dissout dans le sang et les tissus lorsque la pression était élevée, forme des bulles gazeuses lorsque la pression diminue. Les symptômes peuvent comprendre fatigue et douleurs dans les muscles et les articulations.
Les médecins diplômés en médecine du sport, en médecine de plongée ou en médecine hyperbare sont également habilités. La reprise de la plongée après un accident ne peut se faire qu'après avis d'un médecin fédéral, d'un médecin de plongée ou d'un médecin hyperbare, tout comme le certificat pour l'enfant de 8 à 14 ans.
C'est à ce moment-là que l'avion après une plongée comporte des risques. En effet, les cabines des avions sont pressurisées une fois en altitude, cela peut entraîner une augmentation du volume d'azote encore présent dans votre organisme.
La maladie des caissons (ou mal de décompression) résulte d'une exposition rapide de l'organisme à une diminution significative de la pression atmosphérique.
Les causes humaines les plus fréquentes : l'alcoolémie et la vitesse sont présentes respectivement dans 31% et 25% des accidents mortels, la fatigue ou la somnolence sont en cause dans près de 8% des accidents mortels. La distraction est aussi un facteur humain d'accident de la route.
Pourquoi les plongeurs doivent-ils observer des paliers de décompression ? Pour revenir à la surface, pas question de remonter d'un coup, au risque d'être victime d'un accident parfois grave ou même mortel. Car quand les gaz se dilatent, gare aux bulles dans le sang.