L'alcool affecte ainsi la mobilité intestinale (les mouvements spontanés de l'intestin pour y faire progresser les aliments) et augmente la perméabilité intestinale (le passage de molécules à travers la paroi intestinale) pouvant être à l'origine notamment d'inflammation.
En termes d'impact sur la santé, il est donc clair que toutes les boissons alcoolisées ne sont pas équivalentes. Pour les personnes qui consomment de l'alcool, l'ensemble des études indique qu'une consommation modérée de vin rouge demeure le meilleur choix à faire.
L'alcool ne détruit pas que le foie. La pancréatite chronique est caractérisée par une inflammation chronique du pancréas qui évolue vers sa destruction progressive. Le signe principal est une douleur abdominale. Dans la majorité des cas, la maladie est causée par une consommation excessive d'alcool.
Au niveau des intestins, on remarque au lendemain d'une soirée bien arrosée qu'on a «un transit facile», voire la diarrhée. «C'est un effet de l'alcool au niveau de l'intestin grêle, qui irrite et accélère le transit intestinal.
Néanmoins, il apparaît clairement que la consommation régulière d'alcool est associée à une altération du microbiote et de la barrière digestive qui induit augmentation de la translocation bactérienne et provoque ainsi en cascade une activation des processus inflammatoires ».
Elle peut présenter les symptômes suivants : fatigue, maux de ventre, nausées, vomissements, accumulation de liquide dans l'estomac et jaunisse (coloration des yeux et de la peau).
Eviter les chewing-gums. Boire beaucoup d'eau plate. Éviter les aliments glacés (qui provoquent des crampes). Réduire les matières grasses (qui stimulent les mouvements intestinaux).
Les chercheurs ont conclu que boire deux pintes de bière suffit à atténuer une douleur physique (mal de tête, maux de ventre, etc.) de 25 %, soit plus que le paracétamol.
Boire beaucoup d'eau (1,5 à 2 litres par jour) pour faire fonctionner le foie et détoxifier l'organisme. Adopter un régime alimentaire équilibré et pauvre en graisses saturées (viandes rouges, fritures, pâtisseries, plats préparés, fromages). Opter pour les huiles végétales, les viandes blanches et le poisson.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
L'alcool affecte le cerveau et le système nerveux, notamment les nerfs des jambes. C'est un produit neurotoxique qui affecte entre autres la mémoire, l'équilibre et les capacités d'anticipation des individus.
Le vin, et notamment le rosé et les vins doux contiennent du fructose en excès (le « M » de FODMAPs) tandis que le cidre et la bière présentent des teneurs non négligeables en polyols (le « P » de FODMAPs).
À l'inverse, une consommation d'alcool excessive s'avère être un élément inflammatoire et donc potentiellement dangereux pour le corps humain. Une forte consommation d'alcool non contrôlée pourrait aggraver des affections telles que l'arthrite ou encore la goutte.
Estomac : La consommation d'alcool entraîne des malaises gastriques comme des ballonnements, des gaz et de douloureux ulcères. Elle peut aussi affaiblir le système immunitaire et rendre plus vulnérable aux maladies.
Le mal de ventre est le symptôme le plus fréquent dans le syndrome du côlon irritable. La douleur abdominale se caractérise par une sensation de spasme ou de crampe et se situe habituellement au niveau des fosses iliaques droite et gauche ou dans la région de l'ombilic.
Le syndrome du côlon irritable n'est pas dangereux pour la santé. Il est donc important de sortir de la culpabilisation, d'écarter l'idée d'une maladie psychologique ou de mauvaise alimentation. Il faut trouver des traitements et aider les patients atteints du syndrome du côlon irritable.
Le syndrome de l'intestin irritable est un trouble du tube digestif qui provoque des douleurs abdominales, une constipation ou une diarrhée. Les symptômes sont variables, mais incluent fréquemment des douleurs dans le bas du ventre, des ballonnements, des flatulences et une constipation ou une diarrhée.
On évoque aussi parfois un intestin poreux (sa paroi laisserait passer des fragments bactériens à l'origine de réactions inflammatoires, ce qui le rendrait hyper sensible). Enfin, le stress, l'anxiété, un état dépressif, des événements douloureux peuvent déclencher le syndrome ou en accentuer les symptômes.
Manger lentement en mâchant correctement. Limiter la consommation d'aliments provoquant des gaz intestinaux. Repérer les aliments dont la consommation provoque le plus de ballonnements (chacun n'a pas les mêmes prédispositions alimentaires au ballonnement). Eviter les boissons gazeuses et les chewing-gum.
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Parmi les grands responsables, on distingue le vin blanc, la bière et le whisky.
La consommation excessive d'alcool peut provoquer des dommages au pancréas sans provoquer de symptôme durant de nombreuses années. Puis, soudainement, la personne peut développer les symptômes d'une pancréatite sévère tels que : des douleurs intenses à l'abdomen ; une perte de la fonction pancréatique.
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.