Le bambou peut contribuer à la déforestation
La monoculture épuise les sols, éradique la biodiversité nécessaire, et génère donc plus de risques de maladies. Une fois le bambou installé, impossible de retrouver la biodiversité originelle. Autre impact écologique non-négligeable : son empreinte carbone.
Contrairement à la plupart des autres matériaux de construction, le bambou est totalement recyclable. Les déchets de bambou recyclés sont par exemple largement utilisés dans la culture d'autres végétaux et même pour la production d'engrais.
Un bambou a besoin de 900 à 1000 mm d'eau par an pour bien se développer. L'année de sa plantation, un bambou ne doit pas manquer d'eau. L'eau de pluie ne sera pas suffisante pour couvrir ses besoins.
Le bambou est une plante à la croissance extrêmement rapide. Son usage n'a donc pas d'impact sur l'environnement. En outre, la culture du bambou est idéale pour éviter l'érosion des sols, car il favorise l'infiltration de l'eau grâce à ses racines denses sur une profondeur de 60 cm et à ses petites feuilles étroites.
Le bambou absorbe le CO2
Plusieurs études s'accordent à dire que l'absorption du gaz à effet de serre par une forêt de bambou serait 3 fois plus importante qu'un volume équivalent d'arbres ! Une bambouseraie est ainsi un puits de carbone intéressant dans une logique de réduction et de compensation de son empreinte.
Le Bambou : des bienfaits pour les os, les articulations et plus encore. En plus de sa teneur élevée en silice, l'exsudat de Bambou favorise la fixation du calcium et du phosphore, indispensables pour la santé des os. Il se révèle donc très intéressant pour conserver son capital osseux.
Un bambou nouvellement planté subit un stress physiologique qui peut se manifester par le jaunissement de certaines feuilles. Cette période peut durer jusqu'à un an après la plantation. Ne faites rien d'autre que d'arroser régulièrement tout au long de la première année (20 litres d'eau tous les 15 jours).
Nous conseillons dans ce cas un traitement à l'huile de Lin diluée a 30 % de therebentine , appliquée sur les bambous avec un chiffon. La couche de silice recouvrant le bambou est si dense que rien ne peut l'impregner .
– Il améliore l'infiltration de l'eau dans le sol 2 fois plus qu'une forêt de feuillus. – Grâce à un réseau racinaire très dense sur 60 centimètres de profondeur, le bambou limite l'érosion des sols. Il limite également le lessivage des sols et contribue à restaurer les sols appauvris.
Du côté des matières compostables disponibles sur Adiserve, vous pouvez retrouver le palmier, le bambou et la canne à sucre. Certains produits sont OK COMPOST et il faut les jeter dans les bacs à compost installés dans les villes ou certaines déchèteries.
-Les matériaux: les couverts en bambou sont fabriqués à 100% en bambou naturel. Le set est donc fabriqué sans laque, ni colle. Utiliser ces ustensiles à forte température ne présente donc aucun risque pour la santé.
Ses atouts sont nombreux et variés : de croissance très rapide et ultra-léger, dans la construction le bambou nécessite dix fois moins d'énergie que le béton. Extrêmement solide (27% plus résistant que le chêne), le bambou ne pourrit pas, isole remarquablement, et est aussi totalement recyclable.
De ce fait, il ne peut être envisagé dans la construction de mobilier de jardin. La durée de vie en milieu humide d'un bambou non traité est seulement de 1 à 3 ans, alors qu'à l'intérieur, dans un climat peu humide, sa durée de vie est de 10 à 15 ans.
Quant aux techniques telles que l'eau de Javel, le vinaigre ou le gros sel, elles sont non seulement sans effet pour lutter contre les bambous, mais elles peuvent, en plus, être source de préjudices à l'encontre de l'écosystème.
Enfin la chimie. Oubliez le désherbant à base de glyphosate, parce que c'est interdit et de plus pas très efficace. Oubliez l'acide chlorhydrique, le gros sel, le débroussaillant de l'agriculteur du coin (qui est aussi interdit dans les jardins !), au risque de polluer et de détruire d'autres plantes et animaux.
Si vous coupez tous les chaumes d'un bambou en laissant ses rhizomes sous terre, dans ce cas votre bambou coupé va repousser. En effet, les nouvelles pousses et donc les nouveaux chaumes se développent à partir des bourgeons sur les nœuds du rhizome.
Les champignons qui peuvent rendre votre bambou malade sont de type Capnodium oleaginum ou Fumago silicina. Leur principale cause est donc la présence d'insectes et de parasites comme les cochenilles et les pucerons. ? La fumagine n'est généralement pas dangereuse pour le bambou et disparaîtra après quelques temps.
Avec l'excès d'eau, le manque d'eau est l'une des raisons les plus courant pouvant expliquer qu'un bambou soit mort. Surtout dans les premières semaines après avoir été planté, il est important de bien arroser votre bambou.
Pour accumuler une énergie suffisante pour son métabolisme, le panda est contraint de manger du bambou pendant 12 à 16 heures par jour, avec 12,5 kg de bambou ingérés par jour en moyenne !
Les pousses de bambou contiennent une forte teneur en protéines, acides aminés (17 acides aminés dont 8 essentiels au corps humain), fibres, glucides, et de nombreux minéraux & vitamines (E, C et B6). De plus, elles ont une faible teneur en graisses et en calories.
L'activité physique entretient la densité osseuse
L'exercice physique est le meilleur moyen de continuer à construire de l'os. Privilégier les activités durant lesquelles le squelette soutient le poids du corps, comme le vélo, la marche, les exercices de musculation, voire le ménage.
Le bambou : LA solution contre les gaz à effet de serre
En effet, le bambou absorbe 5 fois plus de gaz à effet de serre et produit 35% d'oxygène supplémentaire qu'un volume d'arbres équivalent !
Surnommé, l'arbre impérial, le Paulownia a cette capacité de filtration hors norme qui en fait un arbre indispensable à la planète. Il peut absorber 10 fois plus de CO2 que les autres arbres et donc purifier l'air beaucoup plus vite. Qui plus est, il croît très vite.