Le passif du bilan représente l'ensemble des dettes de l'entreprise. On y trouve les dettes vis à vis des fournisseurs, de l'état (TVA, IS), des salariés (dernier mois de salaire), de l'URSSAF et de la banque (emprunt et découvert bancaire éventuellement).
Le montant du capital social s'inscrit au passif du bilan, dans la partie fonds propres. L'entreprise doit obligatoirement mentionner le montant du capital social dans ses statuts et le faire figurer sur tous les documents officiels qu'elle émet.
Le dépôt de capital social s'opère par la remise de fonds (apport en numéraire) qui sauf indication contraire, peut prendre la forme : d'un chèque de banque émis par un établissement bancaire domicilié en France. d'un virement bancaire. d'espèces.
Les éléments du passif courant sont les dettes de fournisseurs, les provisions, les emprunts et découverts, qui seront réglés durant l'exploitation de l'entreprise sur l'exercice comptable suivant. La distinction entre passif courant et non-courant s'effectue sur la base de la durée, inférieure ou supérieure à 12 mois.
Le passif correspond aux éléments faisant partie du patrimoine de l'entreprise et qui ont une valeur négative pour l'entité. Il comprend toutes les dettes de l'entreprise vis-à-vis d'un tiers qui lui permettent de financer l'actif et qui provoqueront une sortie de ressources.
Le total des ACTIFS est toujours égal au total des PASSIFS puisque tous les fonds à disposition de l'entreprise sont utilisés pour quelque chose. Si ce n'est pas pour acheter du matériel, l'argent sera gardé en liquide ou mis dans un compte bancaire ou postal.
Le capital social permet donc, dans une certaine mesure, de rassurer les partenaires d'une société (clients et fournisseurs essentiellement). Plus le capital est élevé, plus ils disposeront de garanties et donc plus ils seront psychologiquement prêts à travailler avec une entreprise.
Le capital social, ou plus simplement le capital, désigne toutes les ressources en numéraire et en nature définitivement apportées à une société anonyme par ses actionnaires au moment de sa création (ou d'une augmentation de capital). En contrepartie, ces derniers reçoivent certains droits sociaux.
Le capital social est égal au montant cumulé des apports (en numéraire ou en nature) réalisés par les associés d'une société à sa création. Une fois le capital social constitué, il n'est pas définitivement figé. Il peut être augmenté ou réduit en cours de vie en fonction des besoins de la société.
Le passif équivaut à l'ensemble des dettes légales qu'une entreprise doit à ses créanciers. Il peut inclure les comptes créditeurs, les effets à payer et la dette bancaire.
On parle de capitaux propres négatifs pour désigner la situation dans laquelle les capitaux propres d'une société sont inférieurs à la moitié de son capital social. Alors que des capitaux propres positifs témoignent de la solidité financière de l'entreprise, des capitaux propres négatifs démontrent ses difficultés.
Les comptes d'actif du bilan et de charges du compte de résultat fonctionnent de la même façon. Ils augmentent par le débit et diminuent par le crédit. Les comptes de passif du bilan et de produits du compte de résultat fonctionnent de la même façon. Ils augmentent par le crédit et diminuent par le débit.
Le montant du capital social représente les apports des associés / actionnaires à la société, en argent et en biens et en contrepartie de la jouissance de titres financiers (parts sociales ou actions). Il est mentionné dans les statuts.
Deux raisons principales ressortent. La première est le renforcement financier de la société. Augmenter le capital en numéraire permet en effet de réaliser de nouveaux investissements, d'équilibrer la trésorerie ou encore de développer son activité. La seconde raison est l'évitement du recours à l'endettement.
La définition générale du capital social
La définition du capital social est égale à la somme du montant total de tous les types d'apports donnés par les actionnaires et les associés à l'entreprise en échange de droits sociaux lors de sa création ou au moment de l'augmentation du capital.
L'actif social constitue toutes les ressources dont dispose une société. Or, cette notion n'a pour l'instant que peu intéressé la doctrine. Pourtant, l'actif social est une notion essentielle de notre droit des sociétés, au même titre par exemple que l'intérêt social ou le capital social.
Le capital versé d'une société sert à déterminer, pour une année d'imposition suivante, l'admissibilité de la société à certaines mesures d'aide fiscale, à calculer le montant de l'aide à laquelle elle a droit et à toute autre fin prévue par la Loi sur les impôts.
L'ouverture du capital social à des investisseurs permet à une entreprise d'obtenir de nouveaux financements en fonds propres. L'argent apporté en capital social par les investisseurs ne devra pas être remboursé par la société, ce qui constitue un réel avantage par rapport à l'emprunt bancaire.
Il s'agit d'une opération essentiellement comptable qui consiste à faire passer des valeurs du compte « dettes » au compte « capital ». Les créances à convertir doivent être certaines, liquides et exigibles. Il peut s'agir de créances ordinaires ou d'obligations.
Lorsque votre entreprise est trop endettée, vous pouvez décider de réaliser une augmentation de capital, lui permettant ainsi de rembourser une partie de vos emprunts. Les intérêts de la dette diminueront et la flexibilité financière de votre entreprise en sera accrue.
Le résultat net
Par ailleurs, nous pouvons également souligner que peu importe qu'il s'agisse d'un bénéfice ou d'une perte, le résultat s'inscrit toujours au passif du bilan comptable. Cela s'explique par le fait que le résultat est une dette de l'entreprise envers ses associés.
Nous voyons que le bilan peut se décomposer en cinq grandes catégories, deux à l'actif : l'actif immobilisé et le circulant, trois au passif : les capitaux propres, les provisions et les dettes. Le total de l'actif est toujours égal au total du passif.
Le capital libéré, appelé aussi capital souscrit appelé, signifie que les associés ont effectivement versé cette somme sur le compte bancaire de la société. Les associés peuvent verser cette somme en plusieurs fois, on parle alors de libération partielle du capital.