En cause : l'épaisseur d'atmosphère traversée par les rayons du Soleil.
En effet, le Soleil émet plus de longueurs d'onde bleues que de longueurs d'onde violettes. Une partie de la lumière violette est absorbée par la haute atmosphère qui est plus éloignée. Il y a donc moins de violet provenant du Soleil qui se rend jusqu'à notre atmosphère, et donc, pas autant de violet à disperser.
Les rayons du soleil ne sont pas uniquement blancs : ils sont un spectre visible de couleurs. Au fur et à mesure de leur progression dans la mer, ces dernières disparaissent. Les rayons sont d'abord de couleur jaune, puis se transforment en rouge, en vert pour terminer en bleu.
Il arrive que le ciel soit gris car il est composé de nuages qui vont du blanc jusqu'au gris très foncé. Ces nuages sont constitués de milliards de gouttelettes d'eau, cristaux de glace et gouttes d'eau plus grosses. Ces gouttes restent en suspensions et barrent la lumière du soleil vers la terre.
Les nuages sont, eux, chargés d'eau présente sous forme de gouttelettes ou de cristaux de glace qui sont beaucoup plus gros que les molécules d'air : ils diffusent chacune des 7 couleurs composant la lumière du soleil. Ce mélange de tous les rayons lumineux nous apparaît avec une couleur blanche.
Le ciel, observé de jour et par temps clair est vu bleu. On a longtemps cru que la couleur bleue du ciel était due à la diffusion (c'est-à-dire la déviation) de la lumière par les poussières en suspension dans l'air. On pensait même qu'un air très pur (sans poussière) ne diffuserait pas la lumière.
Vers 60 mètres, le vert disparaît à son tour et il ne reste plus que le bleu, qui finit d'être absorbé vers 90 mètres de profondeur. Par conséquent, la couleur qui est la plus réfractée par la mer est le bleu, ce qui explique sa couleur.
Le ciel est bleu, ou blanc s'il y a des nuages, voire gris si l'orage n'est pas loin. Ces couleurs sont simplement dues à la présence de notre atmosphère, dont les molécules absorbent certaines longueurs d'onde du rayonnement solaire.
Mais quand le Soleil est près de l'horizon, la lumière traverse une plus grande couche d'air, et la totalité de la lumière bleue est déviée. La lumière qui nous atteint devient alors très rouge donnant ces teintes rosées aux couchers de Soleil.
Même par temps dégagé et en l'absence de poussières, le ciel n'est pas d'un bleu uniforme. En cause : l'épaisseur d'atmosphère traversée par les rayons du Soleil. Au coucher de soleil, les rayons de notre astre traversent une plus grande épaisseur d'atmosphère que lorsque le Soleil est au zénith.
Les rayons traversent l'atmosphère, rendant le ciel bleu et nos yeux perçoivent moins de bleu, mais plus de vert et de rouge. Vert et rouge, ça donne du jaune! La véritable couleur du Soleil est donc le blanc!
L'Emiliania huxleyi, un plancton de la famille des coccolithophores, dont les algues sont connues pour donner une teinte turquoise à des cours d'eau.
Un Soleil légèrement jaune
La lumière qui nous parvient du Soleil est donc une lumière blanche à laquelle il manquerait un peu de bleu. Lorsque nos yeux la perçoivent, les cônes rouges et verts de la rétine sont davantage impressionnés que les bleus et le Soleil nous apparaît donc comme légèrement jaune.
Le rayon vert est un phénomène atmosphérique rare provoqué par la réfraction à travers l'atmosphère des premiers ou derniers rayons du soleil.
La dilatation de l'espace allonge les longueurs d'onde des photons, les particules dont est constitué tout rayonnement électromagnétique. Cet effet, d'autant plus prononcé que les photons proviennent d'un objet lointain, décale le spectre lumineux vers les grandes longueurs d'onde, c'est-à-dire vers le rouge.
Comme on l'a dit plus tôt, les molécules de l'air ont une bande de résonance dans l'UV. La diffusion par ces molécules est plus grande près de l'UV (violet/bleu) que loin (rouge). Lorsqu'on regarde le ciel (à midi), on ne regarde pas directement le Soleil.
Au coucher du Soleil, l'effet de dispersion augmente car la lumière doit voyager sur une distance plus importante au travers de l'atmosphère. La lumière verte d'abord, puis la jaune sont affectées jusqu'à ce que finalement, la seule lumière que nous puissions voir directement du Soleil soit le rouge orangé.
Au lever et au coucher, lorsque le soleil est proche de l'horizon, sa lumière traverse une couche atmosphérique plus épaisse. C'est la lumière rouge orange qui est diffusée.
Le ciel n'est bleu que parce qu'il y a une atmosphère autour de la Terre : la couche de gaz qui entoure notre planète. Cette atmosphère diffuse la lumière. Les rayons lumineux vont, généralement, en ligne droite.
C'est à cause de l'atmosphère. La lumière en provenance du Soleil est composée de plusieurs couleurs, chacune possédant une longueur d'onde différente. Lorsqu'elle traverse l'atmosphère, cette lumière entre en collision avec les diverses molécules qui y flottent.
Bleu céleste et cæruleum, synonymes, désignent des pigments ou des mélanges en se référant à la couleur du ciel, avec une définition plus précise que la commune.
En effet, le lac Retba est surnommé « le lac Rose » en raison de sa couleur. Oui, oui, l'eau de mer du lagon est rose ! Cette couleur originale est due à Dunaliella salina, une algue verte halophile, c'est-à-dire qui a besoin de fortes concentrations en sel dans son milieu pour subsister.
Si l'eau de mer contient de nombreux sédiments et algues, comme c'est le cas dans la mer du Nord, les rayons bleus ne pénètrent pas l'eau et la lumière est moins réfléchie. L'eau prend donc les teintes grises ou brunâtres auxquelles nous sommes habitués à la côte.
Le sel de mer provient de l'action des eaux de ruissellement et des eaux souterraines sur la croûte continentale. Les ions (Na+, Cl-...) apportés par les rivières se concentrent dans l'eau de mer car ces éléments sont peu réactifs avec les particules et les minéraux marins.