Le dioxyde de carbone est un polluant que l'on trouve dans l'air intérieur et extérieur. À l'intérieur, le CO2 est principalement produit par la respiration des occupants, mais peut également provenir des sources suivantes : fumée du tabac. appareils de combustion non ou mal raccordés.
Les activités humaines, telles que la combustion de pétrole, de charbon et de gaz, ainsi que la déforestation, sont les causes principales de l'augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère.
LES ACTIVITÉS HUMAINES EN PREMIÈRE LIGNE
Les activités telles que l'utilisation de carburants d'origine fossile (charbon, pétrole ou gaz), l'élevage, l'utilisation de produits chimiques et la déforestation sont en effet à l'origine d'émissions de GES.
Utilisez un détecteur de CO2 : il permet de déterminer à quel moment ventiler, en fonction de la concentration du gaz dans une pièce.
800 ppm : provoque des maux de tête, vertiges et nausées. Cette concentration en CO entraîne la perte de connaissance en 45 min, et la mort en 2 à 3 heures. 12 800 ppm : entraîne la perte de connaissance immédiate et la mort entre 1 et 3 minutes.
Pour réduire la présence de micro-organismes pathogènes et diluer le CO2 présent dans l'air intérieur de votre habitat, il est utile de rappeler : chaque personne assise émet au minimum 0,5 litre d'air par expiration (12 à 15 fois par minute) : de la vapeur d'eau : au minimum 40 grammes de vapeur d'eau par heure.
En été, le poids de la photosynthèse est bien plus important que celui de la respiration. Suffisamment pour faire infléchir la courbe du taux de CO2 dans l'atmosphère. En hiver, c'est l'inverse, la respiration prend le dessus. Et la courbe repart à la hausse.
En 2018, la production d'électricité reste le premier secteur émetteur de CO2 dans le monde, avec 41 % du total des émissions dues à la combustion d'énergie. Elle est suivie par les transports (25 %) et l'industrie (18 %, y compris la construction).
Agriculture, foresterie et utilisation des sols (24%) Industrie (21%) Transports (14%) Autre production d'énergie (10%)
Pour extraire du CO2 de l'atmosphère, il faut d'abord faire passer l'air sur ce qu'on appelle un absorbant à l'aide de ventilateurs. Cet absorbant fixe le CO2 jusqu'à ce que sa capacité d'absorption du gaz à effet de serre soit épuisée.
Le système va donc s'équilibrer en rejetant une partie du CO2 dans l'eau vers l'air. Globalement, il faut 100 ans pour perdre 50% du CO2 et non la totalité comme on peut le voir indiqué dans certains ouvrages. Il faut ensuite attendre 1000 ans pour qu'il ne reste que 20 à 30% de ce CO2.
Pour se débarrasser du dioxyde de carbone, certains préconisent la plantation de forêts ou de favoriser le plancton à la surface des océans. D'autres proposent de l'enfouir dans d'anciens champs pétrolifères.
Un adulte expire en moyenne 20 litres de CO2 par heure. En une nuit de 8h, cela représente un volume d'environ 160 litres. Si on prend une chambre de 10m2 avec 2.5m de plafond, qui nous donne un volume de 25m3 soit 25'000 litres (désolé pour les maths), il aura remplacé 0.64% du volume par du CO2.
Pour le CO, la valeur limite est une concentration de 30 ppm pour 1 heure d'exposition (MDDEP, 2010). Au Canada, il est recommandé de limiter l'exposition au CO dans l'air intérieur à 25 ppm pour 1 heure et à 10 ppm pour 24 heures (Santé Canada, 2008).
Parmi ces chiffres, l'activité la plus polluante est la production et distribution d'électricité, de gaz, de vapeur et d'air conditionné, précise Eurostat.
Les principales causes de la pollution de l'air sont en relation avec l'ignition de combustibles fossiles (charbon, pétrole et gaz). La combustion de ces matières premières se produit principalement, au cours ou dans le fonctionnement des secteurs industriel et du transport terrestre.
En première position se place le Qatar, dont le taux de dioxyde de carbone émis par habitant s'élève à près de 37 tonnes .
Le CO2 est en partie responsable de l'effet de serre. Cela a pour conséquence l'augmentation des températures et ainsi, la perturbation de tout notre écosystème (voir nos articles traitant des conséquences du réchauffement climatique sur les océans, la fonte des glaces et les forets).
Quand il fait un peu plus chaud, le cycle du carbone et la solubilité de CO2 dans les océans sont modifiés : le dioxyde de carbone est relâché dans l'atmosphère, ce qui augmente la température, avec effet boule de neige (c'est l'inverse quand il fait plus froid).
Par exemple, utiliser un gobelet réutilisable ou refuser les pailles en plastique sont des actions simples qui profitent à la planète. De plus en plus de personnes apportent ces petits changements à leur vie quotidienne, les engageant dans l'action climatique.
Le dioxyde de carbone peut principalement être trouvé dans l'air, mais aussi dans l'eau en tant que partie du cycle du carbone. Vous pouvez consultez la page sur le cycle du carbone.
à partir d'une concentration de CO2 de 2 % dans l'air, l'amplitude respiratoire augmente et des maux de tête peuvent se faire sentir après quelques heures ; la valeur d'exposition à ne pas dépasser lorsque le taux de CO2 est de 3 % est de 15 minutes.
Celles-ci provoquent artificiellement l'augmentation des concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère, et par conséquent, accentuent le réchauffement climatique.