Le 25 juillet 1978, le monde entier apprend la naissance du premier « bébé éprouvette », une petite fille de 2,6 kilos prénommée Louise. L'opération, qui a nécessité une césarienne, a lieu dans l'hôpital d'Oldham, au Royaume-Uni.
LES ARCHIVES DU FIGARO - Le 25 juillet 1978, le premier enfant issu d'une fécondation in vitro voyait le jour à l'hôpital d'Oldham en Angleterre.
Amandine, le premier bébé né grâce à la fécondation in vitro (FIV) en France, est née le 24 février 1982 dans les Hauts-de-Seine et fête donc ce vendredi son 35e anniversaire.
Enfant issu d'un œuf obtenu par fécondation in vitro d'un ovule par un spermatozoïde et réimplanté dans l'utérus.
Après 9 mois passés dans le ventre de la maman, vient le moment de l'accouchement, quand le bébé sort de l'utérus pour naître. La femme ressent alors des douleurs dans le ventre, ce qu'on appelle les contractions. Le col de son utérus s'élargit et le bébé peut alors passer par le vagin pour venir au monde.
Les FIV sont prises en charge 0 100% par la Sécurité Sociale jusqu'au nombre de 4. Le coût moyen d'une FIV pour la CPAM est d'environ 4000 euros, ce montant comprenant à la fois les analyses, l'hospitalisation et la surveillance.
En 1978 naissait Louise Brown, premier « bébé-éprouvette » conçu grâce à la PMA. Le 25 juillet 1978, le monde découvre les photos de Louise Brown née grâce à l'une des procédures de procréation médicalement assistée (PMA) : la fécondation in vitro.
Après de nombreuses années de recherche, deux scientifiques britanniques, Robert Edwards et Patrick Steptoe, perfectionnent la technique de la fécondation in vitro. Leurs travaux aboutissent le 25 juillet 1978 avec une première mondiale, la naissance du premier « bébé éprouvette », Louise Brown.
L'ICSI est apparue en 1992 pour traiter des cas de stérilité masculine comme l'oligozoospermie (faible concentration de spermatozoïdes), l'asthénozoospermie (faible mobilité) ou tératozoospermie (peu de spermatozoïdes à la morphologie adéquate), entre autres.
1978 : Louise Brown voit le jour en Grande-Bretagne. Elle est le premier enfant né après une fécondation in vitro, une nouvelle technique élaborée pour pallier les lésions des trompes que la chirurgie ne peut réparer. Robert Edwards a été le promoteur de l'utilisation de cette technique.
La loi élargit l'accès à la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes célibataires et supprime le critère médical d'infertilité. Elle était jusqu'à présent réservée aux couples hétérosexuels sur indication médicale.
Combien de temps entre 2 FIV? Le temps d'attente est un peu plus long après une fécondation in vitro. Après le résultat d'un béta négatif, il faut attendre que les ovaires reviennent à la normalité après la ponction folliculaire. Il faudra donc généralement laisser passer deux ou trois cycles.
En examinant ce résultat de plus près, on constate que le taux de réussite des FIV atteint 53,48 % au 1er essai, grimpe à 75,61 % au 2e essai et culmine à 86,97 % au 3e essai.
Même en ne transférant qu'un seul embryon dans l'utérus d'une femme, certaines donnent quand même naissance à des jumeaux ou à des triplés. Voici pourquoi. Avoir des jumeaux ou des triplés augmente les risques de mort fœtale, de fausse couche, d'accouchement prématuré et de faible poids du bébé à la naissance.
Légalement, l'âge de procréer en France est fixé à 50 ans maximum pour les femmes. Un « âge physiologique » auquel les grossesses naturelles et spontanées sont encore possibles.
Si elle est un peu importante, elle peut occasionner des douleurs persistantes durant quelques jours. Il s'agit souvent d'un ballonnement abdominal avec constipation et de douleurs dans les épaules.
Les femmes ayant subi des fécondations in vitro ont un risque augmenté de 30% de cancer des ovaires (10). Dans une étude, on observe ainsi 15 cancers des ovaires pour 10 000 femmes au lieu de 11 sur 10 000 chez des femmes n'ayant pas fait de FIV.
La PMA, ça fait grossir ? Les femmes réagissent toutes différemment aux traitements hormonaux. Certaines vont prendre un peu de poids (c'est surtout de la rétention d'eau), d'autres pas et d'autres enfin vont en perdre.
Le principe est qu'un couple lesbien fait la rencontre d'un couple gay ou d'un homme célibataire. Ce dernier leur fournit un échantillon de son sperme. Ensuite, les deux femmes procèdent à l'insémination de ce sperme de manière artisanale au niveau du col de l'utérus.
Par conséquent, dans la première technique, la fécondation a lieu à l'intérieur du corps de la femme. Dans la seconde, comme son nom l'indique, la fécondation se fait in vitro, c'est-à-dire en dehors du corps de la femme.
La FIV est remboursée par la Sécurité sociale, dans le cas où : Le couple souffre d'infertilité pathologique ou de stérilité, médicalement constatée. L'une des personnes du couple est porteuse d'une maladie grave susceptible d'être transmise au conjoint ou au futur enfant.
Les principales raisons de ces échecs peuvent être regroupées en trois catégories: une pathologie utérine ou des trompes (polype ou fibrome utérin, endomètre inadéquat, hydrosalpinx, endométriose) une mauvaise qualité des embryons conséquence d'une mauvaise qualité des ovocytes et/ou du sperme.
Les bébés conçus par procréation médicalement assistée (PMA) présenteraient un risque plus élevé que les autres de mort néonatale, d'être morts-nés, de naître prématurément ou de souffrir d'une insuffisance de poids à la naissance.
Insémination artificielle conyugal (IAC) entre 700 et 1.100 euros. Insémination artificielle de donante (IAD) entre 1.000 et 1.700 euros.