Le sucre ne peut plus assurer son rôle de source d'énergie chez le diabétique, il en résulte un état de fatigue intense même au repos. Cela résulte des hypoglycémies qui sont fréquentes. D'où l'importance de contrôler son taux de glycémie régulièrement lorsqu'on est diabétique.
Le diabète peut-être une cause d'altération du sommeil. Certaines insomnies sont en effet liées à des troubles de la régulation glycémique (notamment en cas d'hypoglycémies nocturnes, fréquentes chez les diabétiques de type 1).
Les symptômes du diabète de type 2 sont une soif intense, de la faim, de la fatigue, une miction intense ou encore des sueurs. Le diagnostic est effectué par des tests sanguins qui permettent de mesurer le niveau de glucose dans le sang (glycémie) et également le pourcentage de l'hémoglobine glyquée.
Ainsi, la fatigue constitue un témoin clé qui permet à une personne diabétique de suspecter une perturbation de la glycémie, et doit l'amener à contrôler le taux de sucre dans le sang.
Une fatigue excessive, chronique et inexpliquée peut avoir comme origine le diabète. L'insuline est une hormone qui intervient dans l'absorption du glucose, principale source d'énergie pour les cellules. Les cellules sont privées de leur énergie et cela explique l'un des symptômes principal du diabète : la fatigue.
Si le glucose dans le sang demeure trop souvent élevé avec le temps, cela a un impact dommageable sur plusieurs organes du corps, principalement : les reins (néphropathie) les yeux (rétinopathie) le système neurologique (neuropathie)
L'étude a mis en évidence trois principaux problèmes émotionnels causés par la vie avec le diabète : la dysphorie, l'anxiété et l'irritabilité. La dysphorie se manifeste par des sentiments d'insatisfaction, d'apathie, de perte d'intérêt, de malaise et de tristesse.
Le diabète n'est pas une contre-indication à la vie sexuelle. Au contraire, celle-ci peut être considérée comme une forme d'activité physique douce, qui est recommandée.
En effet, le stress provoque la libération de certaines hormones, dont le cortisol, qui occasionnent une hausse de la glycémie. Ce phénomène est généralement bien contrôlé.
Ayez un horaire de repas régulier. Ceux-ci devraient être espacés d'environ 4 à 6 heures. Les collations devraient être prises de 2 à 3 heures après le repas, s'il y a lieu.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
De plus, la neuropathie périphérique est une des complications du diabète qui se traduit, entre autres, par une perte de sensibilité au froid. Les nerfs responsables de l'envoi au cerveau d'informations sur la température ne fonctionnent pas bien.
Une perte de poids inexpliquée peut également être l'un des signes avant-coureurs d'un diabète. "Elle est liée à la perte d'eau et de sels minéraux puisqu'on urine davantage", décrit-il. Cet amaigrissement survient sans raison, malgré un fort appétit.
La neuropathie est une atteinte des nerfs. Les nerfs permettent de transmettre des messages entre le cerveau et le reste du corps. On parle de neuropathie diabétique lorsque la glycémie, c'est-à-dire le taux de sucre dans le sang, est souvent élevée et endommage les vaisseaux sanguins qui nourrissent les nerfs.
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.
Le pied diabétique peut se manifester par de véritables lésions cutanées de nature ulcéreuse (plaies), qui se développent généralement au niveau des doigts ou de la région plantaire. Elles peuvent, à leur tour, provoquer une gangrène et, dans des cas extrêmes, une amputation du membre.
Aussi, la prise de paracétamol, d'aspirine et de vitamine C peuvent perturber les résultats de certains capteurs de glycémie. Il est souhaitable de mesurer sa glycémie à distance de toute prise médicamenteuse.
Avec un diagnostic à 80 ans, l'espérance de vie était la même que celle des contrôles, alors qu'un diagnostic avant 20 ans était associé à 10 années de vie en moins. Dans l'ensemble, les sur-risques étaient numériquement plus élevés chez les femmes atteintes de diabète de type 2.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
Comme le diabète favorise le processus d'athérosclérose (dépôt de gras et durcissement des artères) et que le pénis est irrigué par de très petits vaisseaux sanguins, il est fréquent que ceux-ci soient les premiers atteints. La circulation sanguine étant ainsi compromise, des problèmes érectiles peuvent apparaître.
Les personnes diabétiques ont un risque plus élevé d'artériopathie des membres inférieurs. Cette complication est due à la présence de plaques d'athérome, dépôt principalement formé de cholestérol, dans les artères, gênant la circulation du sang.
Les traitements de l'érection sont efficaces aussi chez les hommes diabétiques comme le Viagra® (ou Sildenafil en générique), le Cialis®, ou le Levitra®.
« Le fait d'avoir un tour de taille élevé n'est pas une maladie en soi mais il est associé à d'autres anomalies, comme un excès de triglycérides, un faible taux de bon cholestérol, une tension artérielle et une glycémie qui commencent à augmenter.
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Les études montrent que le diabète de type 2 peut constituer un facteur de risque de la maladie d'Alzheimer, des maladies cérébrovasculaires et d'autres types de troubles neurocognitifs.